14 février: l’Œuvre est de Dieu

C’est le 14 février 1930 que Saint Josémaria a compris en profondeur que Dieu appelait les femmes à être et à faire l’Opus Dei. Un autre 14 février, celui de 1943, il a compris que les prêtres pouvaient également faire partie de l’Œuvre. Nous vous offrons une série de textes, de vidéos et de témoignages en rapports avec ce double anniversaire.

Pour pouvoir publier cet article le 14 février, nous vous offrons pour l'instant seulement la traduction d'une partie des documents liés. D'autres traductions suivront.

Le Prélat de l'Opus Dei a fait mention dans sa lettre mensuelle du premier février du 85e anniversaire du moment où Dieu a fait comprendre à saint Josémaria que l'Opus Dei concernait aussi femmes, au même titre que les hommes : « Que d'actions de grâce notre Fondateur a-t-il adressées à Dieu pour cette lumière divine, j'insiste, qui s'est allumée avec la présence des femmes dans l'Opus Dei ! Comme il l'a dit en d'autres occasions, sans cette manifestation expresse de la volonté du Seigneur […] l'Œuvre n'aurait pas été complète »

Vidéos

“En te regardant, je vois qu'il faut des gens comme toi"

Paroles de saint Josémaria pour commémorer le 14 février, le jour où le Fondateur a compris avec une clarté définitive que l'Opus Dei était un chemin et pour tous les hommes et pour toutes les femmes (02'07'')

14 février 1930-2010

Plusieurs femmes racontent leur vocation à l'Opus Dei, cet appel de Dieu qui donne une nouvelle couleur à la réalité de chaque jour (05'13'')

La Société Sacerdotale de la Sainte Croix

Le 14 février 1943 saint Josémaria a vu la solution canonique pour les prêtres de l'Œuvre.

Textes

« Deux sujets fondamentaux : elles et les prêtres » : C'est ainsi que s'exprimait saint Josémaria en 1940. Puisque l'appel à la sainteté est universel, Dieu a montré en 1930 et 1943 que le chemin de l'Opus Dei est ouvert à tous.

Le 14 février 1930. Récit publié dans « Le Fondateur de l'Opus Dei », biographie écrite par Andrés Vázquez de Prada, Volume I, publié en français par Le Laurier en 2001, pages 315-324. « Le 14 février 1930, j'étais en train de célébrer la messe dans la chapelle privée de la vieille marquise d'Onteiro, mère de Luz Casanova, à qui j'apportais une aide spirituelle, quand j'étais aumônier de la Fondation. Au cours de la messe, immédiatement après la communion, toute l'Œuvre féminine ! Je ne peux pas dire que je vis, mais bien qu'intellectuellement, en détail (j'ai ajouté en suite d'autres choses, en développant cette vision intellectuelle), je saisis ce que devrait être la section féminine de l'Opus Dei ».

Le 14 février 1943. Récit publié dans « Le Fondateur de l'Opus Dei », biographie écrite par Andrés Vázquez de Prada, Volume II, publié en français par Le Laurier en 2003, page 641. « J'ai prié avec confiance et enthousiasme pendant beaucoup d'années, pour vos frères qui allaient être ordonnés prêtres et pour ceux qui, plus tard, suivraient leur chemin ; et j'ai tellement prié que je peux dire que tous les prêtres de l'Opus Dei sont les fils de ma prière ».

Extrait d'un Article de Francisca R. Quiroga publié en « Studia et Documenta » sur le 14 février 1930.

Le 14 février 1930 a comrpris que Dieu appelait aussi des femmes de l'Opus Dei à adhérer à l'Opus Dei, pour se sanctifier dans la vie ordinaire.

Dans les Noces d'Or de la Société Sacerdotale de la Sainte Croix. Etude de Lucas F. Mateo Seco, professeur de la Faculté de Théologie de l'Université de Navarre, publié en Romana.

« Des hommes et des femmes » : un article de Mgr Fernando Ocáriz extrait de "La vocation a l'Opus Dei como vocation dans l'Église", deuxième chapitre de "L'Opus Dei dans l'Église "

« Le pouvoir de la confiance : saint Josémaria et la mission de la femme » : à propos d'une conférence prononcée par Jutta Burggraf.

Des témoignages de plusieurs prêtres de la Société Sacerdotale de la Sainte Croix

Au Tchad, « tous, musulmans et chrétiens, prient beaucoup » Mgr Rubén Darío Ruiz est argentin, prêtre diocésain et membre de la diplomatie vaticane. Il habite actuellement, envoyé par le Saint-Siège, à la République du Tchad, au centre du continent africain. Il nous raconte ses expériences en première personne.

« J'ai vu dans l'Église persécutée en Chine une foi et une piété à l'état pur ». « Seigneur, donne-moi un signe pour savoir que tu veux que j'aille en Chine », a demandé le prêtre Esteban Aranaz. En sortant de l'église, il s'est trouvé en face d'une religieuse orientale qui l'a salué et lui a dit : « Bonjour, mon Père, priez pour moi et pour mon pays, la Chine ».

José Antonio Abad: « Il savait que j'avais accepté les sept maisons et les 35 âmes du village où j'avais été affecté, mais que je ne les avais pas "digérées".

José Ignacio de Andrés (avec une vidéo) : « il me semble qu'il est de stricte justice de mentionner saint Josémaria comme un référent actuel, important pour moi, pour faire face au travail qui peut être développé dans cette paroisse ».

L'abbé Gendreau est curé d'une paroisse du diocèse de Montréal et prêtre de la Société sacerdotale de la Sainte-Croix. Il explique le complément harmonieux entre son obéissance à l'archevêque des lieux et son recours à l'Opus Dei sur les plans spirituel et doctrinal.. Voir la vídéo .

Histoires de femmes de l'Opus Dei

« J'ai le travail le plus merveilleux du monde : enseigner à vivre ». Le téléphone mobile de Carmen sonne souvent. Elle décroche avec un sourire déployé sur son visage, un geste habituel chez elle. Elle est maîtresse en Andalousie et a passé sa vie consacrée à l'enseignement d'élèves, garçons et filles, entre 6 et 14 ans, dans l'enseignement public.

« Pardonner de tout son cœur ». Pilar Rodríguez se souviendra toujours de cette nuit du 21 janvier 1992, lorsque sa fille, Marta Obregón, a été assassinée par un délinquant lorsqu'elle rentrait chez elle, après avoir étudié tout l'après-midi dans le Club Arlanza, un centre de femmes de l'Opus Dei.

« J'ai le meilleur manager du monde » Loreto Spá, une architecte qui se définit elle-même comme entrepreneur. Elle vit l'architecture comme un défi pour faire à chaque fois quelque chose de nouveau, de différent.

« Deux histoires avec plus d'un point en commun ». Marie est surnuméraire, est mariée et a cinq enfants. Ana est numéraire auxiliaire. Les deux sont convaincues que le travail au foyer est fondamental pour le bon fonctionnement de la société et c'est pour cela qu'elles soutiennent qu'il doit jouir d'une reconnaissance sociale et économique.

De Taiwan à Madrid. Isabel a 27 ans et elle est numéraire de l'Opus Dei. Elle habite à Taiwan depuis 2008 et travaille dans une radio internationale. Elle a participé aux JMJ avec un petit groupe d'étudiantes taiwanaises.

La simplicité de l'histoire d'Almudena. Je m'appelle Almudena et je viens de finir l'enseignement secondaire. L'histoire de ma vie est assez similaire à celle d'autres jeunes filles de mon âge, mais de toutes façons je me rends compte que j'ai eu beaucoup de chance ou, autrement dit, que Dieu m'aime beaucoup.

Des solutions simples pour concilier une famille nombreuse et un travail intense. Miriam Hernandez est mère de cinq enfants et enseignante au collège Pinoalba de Valladolid.

« J'ai toujours voulu venir en Afrique » : Maria Magrane a 24 ans et, depuis septembre dernier, elle habite dans un centre de l'Œuvre au Cameroun. Elle est la sixième des neuf enfants de Miguel et Mariuqui, « deux trésors sur la Terre » et « l'une des raisons qui m'aident à être en Afrique ».

Deux enfants de 84 et 86 ans : Julia est pharmacienne et habite à Valladolid. Elle se consacre maintenant à s'occuper de ses parents, qui sont âgés et ne peuvent pas vivre seuls.