Le prélat, à Torreciudad : "Dieu nous aime à la folie".

Le prélat de l'Opus Dei s'est rendu à Torreciudad (Huesca, Espagne) du 18 au 21 août. Cette étape marque la fin de ses voyages pastoraux de juillet et août, au cours desquels il s'est rendu à Milan (Italie), en Suisse, en Autriche, en Hongrie, en Croatie et en Slovénie.

Torreciudad |Milan|Budapest, Zagreb et Ljubljana|Autriche|Suisse| Barcelone

Torreciudad (18-21 août)

Mgr Fernando Ocáriz a célébré la messe au sanctuaire de Torreciudad le 20 août. Au cours de l'homélie (cliquez ici pour la lire), il a remercié Dieu pour le 50e anniversaire de son ordination sacerdotale et a proposé aux personnes qui ont participé à la cérémonie - et à celles qui l'ont suivie sur YouTube - de demander au Seigneur d'augmenter notre foi pour savoir comment découvrir l'amour de Dieu, même dans la douleur : "Ce n'est possible qu'avec la foi et en regardant la Croix de Jésus-Christ, en essayant de nous identifier à Lui. Cette foi nous éclaire sur cette merveilleuse vérité : Dieu est vraiment Amour ; Dieu nous aime follement, d'une folie qui l'a conduit à la Croix pour nous sauver".

Pendant ces trois jours, il a rencontré plusieurs groupes de personnes qui participaient à des activités de formation. Des jeunes lui ont fait part de leur rêve de présenter le Christ à leurs amis. «Lorsque saint Josémaria nous présentait l'immense panorama de l'Œuvre consistant à placer le Christ au sommet de toutes les activités humaines, il disait que pour réaliser cela, il faut être des personnes de vie intérieure, des âmes de prière, des âmes d'Eucharistie. C’est la clé : la force du Seigneur lui-même», a répondu le prélat.

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Le Prélat à Milan : « Le Christ et les autres : telles sont les priorités du chrétien »

« Pour un fidèle de l'Œuvre, le plus important est sa relation avec le Christ et son souci des autres. Pour cela, nous avons besoin de formation et d'humilité afin d’ouvrir nos âmes à l'Amour de Dieu » a dit le prélat. La proximité du Christ fera que nous ne nous contenterons pas de nous "réfugier" dans une ambiance chrétienne, mais "que nous voudrons exercer un véritable apostolat ad gentes, c'est-à-dire rapprocher la Parole de toutes les personnes" a-t-il poursuivi. C'est ce que les premiers chrétiens ont fait avec les Gentils (les non-croyants) aux premiers siècles.

Angela, qui est policier, a raconté au prélat comment elle a travaillé pour accueillir les migrants à Lampedusa et à Syracuse. Sur les côtes italiennes, elle a touché la souffrance de ces personnes, et a pu les aider physiquement et prier pour elles et pour leur avenir. Angela a animé des cours de formation chrétienne et spirituelle avec ses collègues à Syracuse.

Sara a raconté les activités de volontariat qu'elle a menées avec de jeunes étudiantes et comment cet exercice de dévouement aux autres en a conduit beaucoup à parler avec le Seigneur pour savoir comment trouver la mission que chacun reçoit de Dieu et y répondre.

Lors de rencontres en petits groupes, le prélat a pu écouter quelques récits provenant des régions où la pandémie a le plus durement sévit en Italie. Piergiorgio lui a raconté, par exemple, que sa tante âgée avait été très heureuse parce qu'elle avait pu parler à un prêtre et recevoir les sacrements après des mois de confinement dans une maison de retraite.

Interrogé sur le prochain centenaire de l'Opus Dei en 2028, mgr Ocáriz a fait remarquer qu'« une institution de l'Église qui fête ses cent ans est encore proche de ses débuts. Nous sommes certains qu’il n’y a pas besoin de réinventer l'Opus Dei, mais que nous devons vivre l'esprit que saint Josémaria nous a transmis comme s'il était nouveau chaque jour, afin que le don que Dieu nous a fait porte du fruit ». Il a également encouragé chacun à se préparer personnellement au centenaire, dans son propre cœur, pour offrir à notre Seigneur une fidélité toujours plus mûre.

Avant de poursuivre son voyage de retour en Espagne, mgr Ocáriz a déclaré que "même si nous nous disons au revoir, nous restons toujours unis dans la communion des saints. Nous ne nous séparons jamais".

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Voyage pastoral à Budapest, Zagreb et Ljubljana

Mgr Fernando Ocáriz était à Budapest (Hongrie) le 3 août. Il y a partagé quelques moments avec les membres de l'Opus Dei et leurs familles. "Rêvez et la réalité dépassera vos rêves", a-t-il dit, reprenant une phrase de saint Josémaria. "Nous, chrétiens, avons la mission d'amener le monde à Dieu. Il est sans doute dommage que le monde soit si loin de Lui, mais son absence doit nous pousser à développer un apostolat plus intense."

Lors de rencontres avec des fidèles de l'Opus Dei, le prélat les a invités à "être ouverts à tous, et à développer l'amitié avec les personnes qui nous entourent". Un chrétien apporte Dieu aux autres s'il "s'habitue à tout faire avec Lui, en Sa présence". Et lorsque les choses "semblent plus difficiles ou que nous expérimentons de plus près notre faiblesse, nous devons nous rappeler que l'Amour de Dieu pour nous demeure toujours, et c’est la cause la plus profonde de notre optimisme et de notre joie".

Après sa brève visite à Budapest, le prélat de l'Opus Dei s'est rendu à Zagreb et à Ljubljana. À Zagreb, mgr Ocáriz a souligné l'importance de l'amitié, qui "lorsqu'elle est réelle et profonde, est la forme d'amour qui nous fait partager ce qui nous tient à cœur. Dieu nous invite tous à agir avec Lui pour que sa Parole atteigne tout le monde. Deux amis n'échangent pas seulement des impressions sur la société, le monde ou leur profession. Lorsqu'il y a une véritable amitié, il y a aussi une syntonisation spirituelle", a-t-il expliqué.

Lors de l'une de ces rencontres, Blaženko a raconté au prélat qu'il avait demandé à être admis dans l'Opus Dei, la veille de son arrivée. Il lui a donc demandé conseil pour faire ses premiers pas sur ce chemin chrétien. " Saint Josémaria te dirait que l’Œuvre dépend dès maintenant de ta responsabilité. Cela dépend de ta prière, de ton travail… Dans l'Opus Dei, nous faisons tous partie du Corps mystique du Christ, et donc nous soutenons tous l'Œuvre avec Lui, grâce à la communion des saints. Profite bien des moyens de formation chrétienne, pour mieux connaître chaque jour ta foi et ta vocation."

Ksenija, pour sa part, a demandé des conseils pour se reposer dans le Seigneur et éviter le stress : " Il y a deux points fondamentaux pour se reposer dans le Seigneur, retrouver la joie et pouvoir se donner aux autres : ce sont l'Eucharistie et la prière. Ces moments sont la source de la vraie paix, de la vraie sécurité et de la vraie joie".

Jeudi 5 au soir, mgr Ocariz est arrivé dans la capitale slovène. Il s'est réuni avec plusieurs familles à Vintgar, une résidence pour étudiants universitaires. Le prélat de l'Opus Dei a souligné l’importance de prier les uns pour les autres, pour chacun, d'apprendre à aimer les autres plus et mieux. "Demandez au Seigneur de vous donner un cœur comme le Sien, pour pouvoir apporter chaque jour son amour à tous.

Cecilia lui a dit qu'elle aimait parler de beaucoup de choses avec ses amis, mais qu'il était souvent difficile de parler de foi et de vie spirituelle. « Nous ne pouvons pas attendre d'un ami qu'il nous ouvre son intimité si nous n'ouvrons pas la nôtre, car c'est cela l'amitié. L'amitié requiert de la sincérité, de l'intérêt et de l'affection pour l'autre personne, et cela demande du temps et de la persévérance, car il n'est pas toujours facile de se faire des amis. »

Kati a rappelé que la Slovénie fête les 30 ans de son indépendance. Le prélat a invité chacun à regarder l'avenir avec beaucoup d'espérance : "L'avenir est entre vos mains. Mettez votre espérance en Dieu, qui nous soutient continuellement".

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Le prélat de l'Opus Dei en Autriche : "Être apôtre c'est aimer les gens"

Le prélat de l'Opus Dei a invité les personnes qu'il a rencontrées à Vienne (Autriche) à avoir confiance en Dieu : " Nous sommes certains que l'impossible est possible, car la grâce de Dieu ne fait pas défaut. Que chacun de nous soit appelé à être un saint ? Cela peut nous sembler impossible ! Mais nous nous rendons compte que cela ne dépend pas seulement de nos propres forces, de nos propres efforts, mais surtout de la grâce de Dieu, qui nous appelle", a-t-il déclaré.

Il a rappelé que saint Josémaria n'avait que 26 ans lorsqu'il a fondé l'Opus Dei, il n'avait pas de moyens et la société était divisée. Près de cent ans plus tard, son invitation a touché des milliers d'hommes et de femmes qui veulent découvrir leur vocation de chrétiens au milieu du monde.

Selon le prélat, dans de nombreux pays, "nous vivons dans une société post-chrétienne, mais ce n'est pas une raison pour se décourager. Dans le monde, il y a beaucoup de bonnes personnes qui attendent de rencontrer Dieu, un Dieu qui nous aime, nous aide et nous fortifie". En même temps, il nous a rappelé que "Dieu veut aussi notre amour", c'est pourquoi la prière sera toujours l'un des fondements de notre vie spirituelle.

"Nous ne pouvons pas vraiment aimer Dieu si nous n'aimons pas notre prochain", a-t-il poursuivi. L'amour est également la force motrice pour apporter la foi aux autres, sans les traiter "jamais de haut en bas, mais d'égal à égal". Le zèle apostolique ne signifie pas vouloir convaincre les autres de quelque chose, ou imposer ses propres idées aux autres. Être apôtres, c'est aimer les gens.

D'autres thèmes ont été abordés lors de la rencontre : l'éducation chrétienne des enfants, le dévouement des parents à la famille et à une vie professionnelle intense, l'apostolat chrétien dans une société post-chrétienne, la prière pour l'Église et le Pape, la contemplation au milieu de l'agitation quotidienne, savoir accueillir la vocation de ses enfants, la joie comme signe du chrétien.

Bernhard a dit au prélat que parfois il n'est pas facile de voir que les enfants, lorsqu'ils grandissent et après avoir reçu une éducation chrétienne, ne veulent rien savoir de la foi et vivent loin de l'Église. M. Ocáriz a déclaré : "Priez toujours pour vos enfants, même lorsqu'ils grandissent et quittent la maison. Prenez soin de votre amitié avec eux. Tout ce que vous priez pour vos enfants portera ses fruits, rien n'est perdu".

Petra l'a interrogé sur les soins que les malades méritent. "Le prélat m'a dit qu'une personne malade ne peut pas se considérer comme un fardeau pour les autres, mais comme un don. Pour ceux qui s'occupent de lui, c'est un cadeau d'être à sa disposition et de le servir".

Pendant son séjour à Vienne, le prélat a prié devant Notre-Dame de Marie-Pocs dans la cathédrale, devant laquelle saint Josémaria a également prié. Le 3 août, il est parti vers Budapest et Zagreb.

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Le Prélat à Zurich (Suisse) : "Tout peut devenir une occasion de rencontrer Jésus"

Lors de sa visite pastorale à Zurich, Mgr Ocáriz a axé son message sur trois thèmes : l'esprit de famille dans l'Œuvre, la prière et la joie. Il a également demandé de beaucoup prier pour le pape et pour l'Église.

La vocation à l'Opus Dei, a-t-il dit, est "une mission globale qui comporte la responsabilité d'être toujours apôtres, au travail, au repos, en famille, à l'université...". Pour les fidèles, "toute la journée est Opus Dei" car, en offrant chaque journée à Dieu, "tout est une occasion de rencontrer Jésus-Christ et tout peut se transformer en prière".

Les différentes réunions ont été principalement suivies par des fidèles de l'Œuvre et des coopérateurs, qui ont partagé avec mgr Ocáriz leurs joies, leurs petites aventures mais aussi les difficultés auxquelles ils sont confrontés, surtout en période de pandémie, comme la maladie ou les situations familiales compliquées.

Le prélat a souligné l'importance de la joie qui doit imprégner toutes les circonstances de notre vie, même les difficultés, car "nous pouvons être heureux avec la foi" quelles que soient les circonstances. La foi, a ajouté Mgr Ocáriz, "c'est être heureux, quoi qu'il arrive, à cause de l'amour de Dieu pour nous". En outre, cela "nous aide à nous donner aux autres et à nous oublier".

Lors d'une de ces réunions, Sara, 29 ans, a demandé comment elle pouvait maintenir vivante et constante son union avec le Seigneur et avec sa famille, dans un environnement non croyant. Mgr Ocáriz l'a encouragée à rechercher la présence de Dieu, en particulier dans l'Eucharistie et dans la prière, où nous trouvons la force d'affronter les difficultés, même dans des environnements différents.

Galà, une Russe vivant à Zurich, lui a dit qu'elle essayait de rapprocher ses amis de la foi. "L'une des missions de tout chrétien est d'aider les gens à ouvrir leur cœur à Dieu, à renforcer les liens d'amitié, à s'écouter vraiment les uns les autres. Il l'a également encouragé à soutenir son élan évangélique par la prière, qui "est le principal moyen d'apostolat".

Un coopérateur de l'Opus Dei a remis au prélat un sac de farine provenant du moulin où travaille son fils comme apprenti. C'est la farine qui sert pour produire les hosties utilisées dans les centres de l'Œuvre.

M. Ocáriz a également pu saluer quelques personnes malades et s'est entretenu par vidéoconférence avec une femme de l'Œuvre, âgée de 91 ans. Il lui a demandé des prières pour les fruits de son parcours pastoral. Il a également prié quelques instants sur la tombe de Toni Zweifel, un ingénieur suisse mort avec une réputation de sainteté.

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À Barcelone : "le sourire aux lèvres apporte la joie à l'âme" (25-27 juillet)

Mgr Fernando Ocáriz profite de l'été pour faire plusieurs voyages pastoraux. Première étape à Barcelone. Le lundi 26 juillet au matin, il a visité la basilique de la Merced - comme saint Josémaria l'avait fait si souvent - et l'après-midi, il a eu deux réunions avec des fidèles de la prélature de l'Opus Dei, dans le respect de toutes les mesures sanitaires nécessaires.

Dans la basilique, le recteur, le père Fermín Delgado, a salué le prélat. Ils sont ensuite allés prier ensemble devant la Sainte Vierge et devant le bas-relief situé derrière la chapelle, où l'on voit saint Josémaria en prière aux pieds de Notre-Dame de la Merced.

Mgr Ocáriz a écrit ces mots dans le livre d’or : « C'est avec une grande joie que je suis venu prier Notre-Dame de la Merced, m'associant à la prière et aux intentions qui furent celles de saint Josémaria ici. »

La formation ne s'arrête jamais

Dans l'après-midi du lundi 26 juillet, il a tenu deux réunions avec des fidèles de la prélature, dont beaucoup de surnuméraires. Il a surtout parlé de la formation, soulignant que " nous sommes tous toujours en période de formation " et il a expliqué pourquoi elle est importante : " La formation cherche à transformer l'enseignement de saint Josémaria en une réalité dans nos vies, à savoir que nous devenions Ipse Christus, le Christ lui-même. Mais, pour nous, le Christ n'est pas seulement un modèle extérieur. Dieu le Père et Dieu le Saint-Esprit demeurant en nous, le moment viendra où nous serons le Christ lui-même, nous aurons les mêmes sentiments que Jésus, la même façon de réagir, selon les circonstances.

Isabel, de Lleida, lui a raconté que son mari était mort du Covid au début de la pandémie. Ce fut très rapide et à un moment où tout le monde était confiné, mais elle s'est sentie très accompagnée par les prières des fidèles de la prélature. Mgr Ocáriz a considéré que nous sommes appelés à "être des enfants devant Dieu et forts face aux difficultés". On y parvient en étant des âmes d'Eucharistie et des âmes de prière, et en demandant la lumière de la direction spirituelle afin de prendre des décisions sur son propre cheminement chrétien.

Être de vrais amis

Elena, mère de six enfants, a demandé des conseils pour élever ses enfants dans un environnement défavorable. Le prélat lui a suggéré de "renforcer sa propre vie spirituelle et d'éviter de s'isoler. La solution consiste plutôt à les former davantage et mieux. Cela passe par l'amitié avec les enfants : mères et pères, soyez amis avec vos enfants. Éduquer, c'est non seulement donner des directives, mais aussi donner son affection et transmettre sa propre expérience. C'est ça, l'amitié."

"être patient est une façon d'aimer les gens".

Paco voulait savoir comment rester de bonne humeur. « La source de notre joie se trouve dans le Seigneur, - a rappelé mgr Ocáriz -. Un détail qui peut paraître minime et sans importance, mais qui est très important : le sourire. Un sourire sur le visage apporte de la joie à l'âme".

Inma voulait savoir comment encourager davantage de personnes à collaborer à des initiatives ayant un impact social. Mgr Ocáriz a souligné l'importance de l'amitié pour aider les gens à rêver, "surtout avec les personnes qui n'ont pas eu l'occasion de recevoir une formation chrétienne". Nous devons leur offrir une amitié authentique, vraie, sans impatience. Comme les plantes, les âmes ont le temps de mûrir, de grandir. Vous ne pouvez pas prendre une plante à peine sortie de terre et tirer dessus pour la faire pousser plus vite, car alors vous ne la faites pas pousser, mais vous la tuez. La véritable patience naît de l'affection. Être patient est une façon d'aimer les gens".

"Toujours voir le côté positif des choses"

Rocio, mère de trois enfants adolescents, a demandé comment conjuguer toutes les occupations de la journée. " Notre vie n'est pas faite de compartiments étanches : vie spirituelle, professionnelle, familiale, sportive... Non. C’est tout un : chaque instant est la vie du Christ en nous" a répondu le prélat.

Un père de famille a demandé quelle attitude adopter lorsque des enfants s'interrogent sur leur propre vocation chrétienne : "Tout d'abord, vous devez transmettre votre propre expérience et partager la joie de votre vocation. Parfois, lorsqu'une vocation implique le célibat, vous pouvez avoir peur, mais le célibat n'est pas un renoncement, c'est un don de Dieu. Le mariage est également un don de Dieu, mais le meilleur cadeau pour chaque personne est ce que Dieu demande à chacun. C'est pourquoi nous devons être ouverts et encourager un discernement sincère et généreux".

Au terme de sa visite pastorale à Barcelone, le prélat s'est rendu en Suisse, où il partagera d'autres moments catéchétiques avec des personnes qui participent aux moyens de formation proposés par l'Opus Dei.