L’auteur y décrit la manière dont la Prélature a réagi à la formidable campagne de marketing qui a été menée par Sony Pictures, producteur du film adapté du célèbre roman de Dan Brown. Dès l’annonce du tournage, le Bureau d’information de l’Opus Dei à New York a réfléchi à la manière dont il pourrait être répondu à cette campagne, allant au-delà de la simple distanciation qui avait été prise par rapport au livre pendant la carrière de celui-ci.

Lorsque l’on commença à parler d’un film, en 2004, le vicaire de l’Opus Dei aux USA écrivit aux dirigeants de Sony Pictures pour leur demander de bien vouloir omettre ce nom dans le scénario. En l’absence de réponse, le Service Communication de l'Opus Dei tenta de neutraliser de façon positive, et sans polémique ni procès, les effets négatifs que le film devait normalement produire, en faisant « de la limonade avec le citron ». 

D’abord en contribuant, avec d’autres chrétiens, à informer le public sur l’Église et sur la personne de Jésus-Christ, puisque le roman qui inspirait le scénario travestissait la foi des chrétiens et l’histoire. Puis en montrant les membres de l'Opus Dei tels qu’ils sont : des catholiques ordinaires qui s’efforcent de vivre l’Évangile dans le monde. Le site internet de l'Opus Dei a connu une augmentation spectaculaire et croissante de sa fréquentation en 2005 et au printemps 2006, donnant lieu à de nombreux échanges avec des internautes. Cette politique de communication de l’Opus Dei a été unanimement saluée par les médias.

Plusieurs encadrés du dossier présentent des activités menées en France par des femmes de l’Opus Dei : l’école hôtelière Dosnon près de Soissons, participation à un soutien scolaire à Marseille et des échanges de jeunes avec la Pologne pour aider des personnes âgées.

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