Des communautés religieuses attendent avec joie la canonisation du bienheureux Josémaria

Mgr Flavio Capucci reprend quelques passages de lettres écrites par des communautés religieuses qui coopèrent aux apostolats de la prélature. Rome, 25 février 2002.

À l’occasion de la nouvelle de la prochaine canonisation du bienheureux Josémaria, des supérieurs de beaucoup de communautés religieuses ont écrit au prélat pour le féliciter et partager sa joie.

Comme on le sait, les communautés religieuses peuvent aussi être nommées coopératrices de l’Opus Dei. Leur contribution consiste à prier chaque jour pour le travail d’évangélisation réalisé par la prélature. Actuellement, il y a plus de 500 communautés coopératrices, composées d’hommes ou de femmes, qui soutiennent la prélature par leurs prières, dans de très nombreux pays du monde.

Cela vaut la peine de retranscrire quelques paragraphes parmi les nombreux messages reçus :

La prieure du couvent des Carmélites Déchaux de Coimbra écrit : « Comme coopératrices de l’Opus Dei depuis quelques dizaines d’année, nous voulons manifester à Son Excellence notre joie pour la prochaine canonisation du bienheureux Josémaria. » Et elle ajoute : « Cette joie est partagée par Sœur Lucie, qui réitère ce qu’elle a déjà dit à l’occasion de la béatification du serviteur de Dieu. » La voyante de Fatima fit la connaissance du fondateur de l’Opus Dei et l’« obligea » avec affection à commencer le travail apostolique au Portugal.

Une religieuse fait référence à la future canonisation en ces termes : « Je ne peux vous expliquer seulement en quelques lignes ce que je ressens en ce moment (…) Les saints m’encouragent toujours beaucoup ; mais dans ce cas, ma dévotion envers le bienheureux Josémaria et mon affection pour l’Opus Dei me poussent avec encore plus de force. Les écrits du Père ont été depuis longtemps ma nourriture et, depuis que j’ai été nommée Supérieure, la source à laquelle je bois et je fais boire les sœurs que le Seigneur m’a confiées. »

La Supérieure d’une autre communauté écrivait le 9 janvier, précisément le jour du centenaire de la naissance du bienheureux Josémaria : « Un autre motif de joie et d’action de grâces est l’approbation du miracle pour la canonisation, qui rapidement mènera le bienheureux Josémaria sur les Autels. Nous voulons vous féliciter et nous féliciter. Qu’à cette occasion, il aide l’Église dans ses besoins et obtienne la paix des cœurs, pour les familles et pour le monde (…) Affectueusement dans le Seigneur et au nom de toute la communauté, nous continuons d’offrire nos prières, nos sacrifices et toute notre vie consacrée, pour Son Excellence et pour l’œuvre qu’a fondé le bienheureux Josémaria. »

Un religieux espagnol faisait référence aussi au Centenaire dans sa lettre : « Aujourd’hui est un jour important non pas seulement pour vous, mais aussi pour toute l’Église, et plus encore pour le monde (…) Depuis cinq heures ce matin, je rends grâces à Dieu, du plus profond de mon âme, pour le don si ineffable qu’il nous fit en la personne du bienheureux Josémaria Escriva de Balaguer (…) Mes nombreuses infirmités ne me permettent pas d’assister à la canonisation du bienheureux Josémaria, mais je me réjouirai grandement à cette occasion, car depuis qu’il a été béatifié, tous les jours j’ai prié pour sa canonisation rapide. »

D’une communauté française, le prélat a reçu ces lignes : « Nous nous unirons de tout notre cœur aux différentes cérémonies qui auront lieu à Rome pour honorer le futur saint, pour rendre grâces pour tout ce qu’il a réalisé avec sa vie, et toutes les faveurs dues à son intercession. »

Dans toutes les lettres reçues, on trouve un sentiment partagé que résume bien cette affirmation : « Nous nous réjouissons de la future canonisation du bienheureux Escriva, sûr que c’est un don pour toute l’Église. » L’appui de la prière et de l’affection de toutes ces personnes est un motif de profonde reconnaissance à Dieu, qui a voulu faire des saints des instruments d’unité dans son Église.