La question du titre de cet article, "Dans quel monde voulons-nous vivre ?", a été posée par Anna Claire Pache, professeur en innovation sociale à l'ESSEC Business School de Paris, lors du panel qui a donné le coup d'envoi de BeToCare.
Elle a ajouté une deuxième question : "Et quel genre de vie voulons-nous vivre dans ce monde ? La vision du monde qu'il défendait comportait trois messages : le protagonisme de toutes les personnes, la réalisation du changement social par l'amélioration personnelle et la formation qui comprend la sensibilité sociale.
En bref, une conviction qui commence à l'intérieur de chaque personne : nous sommes tous vulnérables, nous avons tous besoin les uns des autres.
Dans son article publié par Aceprensa, Clara Fontán reprend plusieurs initiatives sociales présentes dans BeToCare, qui reflètent le fait que l'inclusion est bien plus profonde qu'une simple conformité à des comportements externes. Par exemple, la fondation Espartanos, fondée par l'avocat argentin Eduardo Oderigo, qui se consacre à l'enseignement du rugby dans les prisons comme solution pour que les détenus qui sortent de prison ne récidivent pas.
L'article raconte également une partie de l'histoire d'Alejandra Costas, qui dirige un foyer pour sans-abri dans la ville de La Paz (Bolivie), qui a déclaré dans son discours : "Nourrir les pauvres n'est pas la même chose que manger avec eux. L'engagement chrétien va au-delà d'un acte de charité : c'est être capable d'avoir la capacité de s'asseoir avec son frère pour partager sa vie, pour partager son temps.