1. « Nous portons le trésor de notre vocation en des vases d’argile, pour qu’on voie bien que cette extraordinaire puissance appartient à Dieu et ne vient pas de nous. »

Amis de Dieu, 139

2. « La vocation chrétienne ne nous change pas de place, mais elle exige que nous abandonnions tout ce qui entrave la volonté de Dieu. La lumière qui s'allume n'est qu'un commencement ; nous devons la suivre si nous désirons que cette clarté soit étoile, puis soleil. »

Quand le Christ passe, 33

3. « Notre vocation divine nous confère une mission et nous invite à participer à la tache unique de l'Église porter témoignage du Christ devant les hommes et ramener toute chose à Dieu. »

Quand le Christ passe, 45

4. « La vocation humaine — la vocation professionnelle, familiale et sociale — ne s'oppose pas à la vocation surnaturelle ; bien au contraire, elle en est partie intégrante. »

Entretiens, 60

5. « À la base de notre vocation, nous trouvons la connaissance de notre misère et la conscience que les lumières qui illuminent notre âme (la foi), l'amour avec lequel nous aimons (la charité) et le désir qui nous soutient (l'espérance) sont des dons gratuits de Dieu. »

Quand le Christ passe, 3

6. « C'est Dieu qui donne la vocation, et pour Lui il n'y a pas d'acception de personne. »

Entretiens, 40

7. « Jésus-Christ nous cherche — et son appel est un appel à la sainteté — pour achever, avec Lui, la Rédemption. »

Quand le Christ passe, 31

8. « Par amour de Dieu, par amour des âmes et pour répondre à notre vocation chrétienne, nous devons donner l’exemple. »

Amis de Dieu, 70

9. « Cet appel de Dieu qu'est ta vocation consiste à diriger les autres, à les entraîner, à les servir, et donc à être un chef. Si toi, en vertu d'une humilité fausse ou mal comprise, tu t'isoles, en t'enfermant dans ton coin, tu manques à ton devoir d'instrument divin. »

Sillon, 287

10. « Ta vocation, tu l'as vue très claire : vouloir aimer Dieu ! — mais cela, seulement dans ta tête. Tu m'assures que tu as bien fait entrer ton cœur dans ce chemin..., mais parfois tu as une distraction ; ou même tu tentes de regarder en arrière : voilà un signe que ton cœur n'y est pas vraiment. — Allons ! sois plus délicat ! »

Sillon, 815