Opus Dei

Le 2 mai au soir, Benoît XVI a présidé la récitation du rosaire en la Basilique Sainte Marie Majeure, « le temple marial par excellence » où l'on vénère, comme l'a rappelé le Saint-Père l'image de Marie Salus populi Romani.

Nous vous proposons une réflexion de l'abbé Antoine Fernandez sur une dimension essentielle du carême : la prière.

Les chrétiens de toutes confessions ont en partage un large patrimoine commun. Néanmoins, le corps de l’Église reste blessé par la persistance de la division. Alors que vient de s’achever l’octave pour l’unité des chrétiens, nous proposons cette réflexion sur l’œcuménisme, qui s'inscrit dans la perspective ouverte par Benoît XVI et par ses prédécesseurs.

Dans une époque où le relativisme a convaincu de nombreuses personnes de l’impossibilité de connaître la vérité, sa recherche devient pour les chrétiens une tâche nécessaire, pour la transmettre avec joie.

La liberté n'est pas seulement un droit, elle comporte une responsabilité qui engage les chrétiens à s'impliquer dans les questions de société, en proposant, dans le pluralisme, des solutions aux problèmes de chaque époque.

La charité est la meilleure façon d'informer sur l'Église et sur l'Opus Dei : « aimer est une façon de connaître et de se faire connaître. » Le texte qui suit explique comment le pardon, l'humilité et une vie droite sont le moyen de faire apparaître la vérité.