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Ale, Bolivie : « J'ai pensé à ces moments où j'avais été heureuse, et je me suis souvenue de mes années à l'Opus Dei. »

Ale est une Bolivienne, mère de deux enfants, psychothérapeute et médecin. Elle a consacré une grande partie de sa vie au service social. Inspirée par l'enseignement de saint Josemaría, elle a compris que la pauvreté n'est pas seulement matérielle, mais aussi un manque d'amour et de Dieu. Avec son mari, elle a choisi de se consacrer à la réhabilitation sociale. À la mort de celui-ci dans un accident, elle a compris qu'elle devait poursuivre, soutenue par sa foi.

Mon histoire

Méditation audio : La lumière qui se révèle aux nations

Moment de prière à partir de l'évangile de la fête de la présentation du Seigneur au Temple.

Evangile

Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."

Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.

Mon histoire

Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."

Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.

Mon histoire

Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »

Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »

Mon histoire

Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"

Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.

Mon histoire

Avec Saint Joseph

Alors que nous entamons notre chemin vers la fête de Saint Joseph, jalonné par les 7 dimanches qui nous séparent encore du 19 mars, nous vous proposons quelques textes et vidéos pour apprendre à mieux connaître le patron de l’Église universelle.

Maria Angeles, Espagne: "Je regarde un peu en arrière et je vois que j'ai une vie bien remplie "

Mª Angeles a connu l'Opus Dei par hasard, lorsqu'un professeur de son lycée lui a parlé de la possibilité de vivre dans un Centre d'étude et de travail (CET). Elle y a surtout appris trois choses : « D'abord, à concilier études et travail, à mieux utiliser mon temps, car à la maison, je ne faisais pas grand chose. Ensuite, cela m'a aidée à connaître la vie chrétienne, vécue de manière cohérente. Et la troisième chose, qui a favorisé plus tard la découverte de ma vocation, connaître l'Opus Dei de l'intérieur

Mon histoire

Méditation : Vendredi de la 3ème semaine du Temps Ordinaire

Les thèmes proposés pour la méditation du jour sont : c’est Dieu qui donne la croissance à son Royaume ; ajouter notre force à la force du Seigneur ; nous cherchons Jésus, comme certains disciples.

Textes spirituels

Inma, Espagne: "chaque décison m'a aidée à comprendre qui je suis et quelle était ma place"

Inma vive en Valencia y es la segunda de siete hermanos. Fue numeraria auxiliar del Opus Dei durante un tiempo. Tras un período de reflexión y oración, entendió que su lugar no estaba ahí: “Me costó mucho porque yo adoro la vocación de numeraria auxiliar”.

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