La messe du centenaire du Vénérable Alvaro del Portillo

À l’instar de ce qui a été fait un peu partout dans le monde, pour marquer le centenaire de la naissance du Vénérable Alvaro del Portillo, né le 11 mars 1914, une messe a été célébrée ce jour-là à 19 h à la paroisse Saint-Jacques d’Abidjan.

Mgr Alexis Touabli, évêque d'Agboville et président de la Conférence Épiscopale de la Côte d'Ivoire, a présidé la concélébration, à côté de Mgr Francisco Sánchez-Casas, Vicaire Régional de l'Opus Dei en Côte d'Ivoire, de l'Abbé Basile Gbangbo, curé de la paroisse Saint-Jacques et de dix autres prêtres.

Des centaines de personnes remplissaient la vaste église, dans un climat de joie très remarquable.

Dans son homélie, Mgr Touabli a parlé dans des termes très chaleureux et très encourageants de la vocation universelle à la sainteté, sujet qui est au cœur du message que l'Opus Dei essaie de diffuser à la suite de son fondateur, saint Josémaria, et des vertus resplendissantes du Vénérable del Portillo, qui sera béatifié le 27 septembre prochain. Il a tenu aussi des propos très affectueux envers l'apostolat que les prêtres et les membres laïcs de l'Opus Dei réalisent en Côte d'Ivoire. L'occasion était pour lui d'exprimer sa reconnaissance à Mgr Sanchez, qu'il connaît depuis son époque de séminariste et à l'aide spirituelle que l'Opus Dei lui a prêtée lors de ses études à Rome.

Puisque les trois acteurs principaux de la célébration —Mgr Touabli, l'Abbé Gbangbo et Mgr Sánchez sont de très bons amis depuis de nombreuses années, leurs interventions ont été marquées par un ton extrêmement amical et ponctuées d'anecdotes et de détails de grande envergure surnaturelle et humaine, émaillées de points de bonne humeur.

Le ton était à l'exigence ambitieuse de sainteté, dans un climat familier de naturel et de joie : on pourrait dire que l'esprit de l'exhortation apostolique « Evangelii gaudium » du pape François planait dans l'ambiance.

Une messe à la même intention a été célébrée aussi à la même heure à la paroisse de la Visitation à Yamoussoukro.