En route vers le Centenaire : l’Assemblée Régionale, top départ

L’Assemblée régionale de l’Opus Dei en Côte d’Ivoire aura lieu dans les prochaines semaines. En suivant diverses suggestions du Prélat, les fidèles et les amis de l’Œuvre ont été invités à réfléchir à la manière de répondre aux défis de l’époque actuelle grâce à l’esprit de l’Opus Dei. L’idée a été accueillie avec un grand intérêt. Quelques-uns de ceux qui ont apporté leurs idées nous racontent.

C’est sur le thème «Vers le Centenaire de l’Œuvre. Approfondir le charisme et renouveler notre désir de servir Dieu, l’Église et la société », annoncé par le Prélat de l’Opus Dei dans son message du 15 novembre 2023, que toutes les personnes de l’Œuvre, les jeunes, les coopérateurs et les proches parents et amis ont été invités à réfléchir dans le cadre de l’Assemblée régionale 2024. Un processus d’écoute active dans lequel chaque personne est entrée à sa manière mais dont tous semblent sortir transformés !

Clarisse, avec d'autres dames, a commencé à travailler sur le sujet dès le mois de janvier. Elle nous en parle :

Au mois de janvier, le Centre où je reçois les moyens de formation nous a transmis par Whatsapp, les documents de préparation à l’Assemblée régionale prévue pour le mois d’avril, en nous conseillant de les utiliser pour la lecture spirituelle et pour les méditer. C’est ce que j’ai fait, en prenant des notes pour mieux assimiler les enseignements de notre Père notamment, contenus dans ses Lettres n°4, n°6 et n°29 que je découvrais.

Puis, au mois de février, j’ai participé à une rencontre d’un groupe de membres de l’Œuvre qui a essentiellement porté sur la préparation du Centenaire. Il nous a été indiqué que chacune de nous peut et doit faire plus, car les âmes ont soif de Dieu, et que nous devions aider les autres surnuméraires à faire plus également, en vivant mieux notre vocation au milieu du monde.

Nous avons eu une séance de travail, et constitué trois groupes de réflexion, chaque groupe devant travailler sur un aspect particulier ; celui auquel j'ai participé, a travaillé sur les aspects de l’esprit de l’Opus Dei dont il fallait améliorer aussi bien la transmission que la compréhension ici en Côte d’Ivoire, afin de les vivre tels que reçus de notre Père, c’est-à-dire, comme fondements d’un véritable chemin de sainteté au sein de l’Eglise catholique. Ce travail mené en commun, m’a également permis de me rendre compte qu’il est de notre responsabilité de faire accepter et aimer notre vocation sous quelque forme qu’elle soit, grâce à notre propre vécu, notre propre fidélité et notre témoignage ; en somme, par un engagement personnel.

Ces échanges m’ont également ouvert l’esprit quant à l’apostolat. En effet, j’ai compris que je devais davantage chercher à aider tout le monde, à élever la température spirituelle autour de moi sans faire acception de personnes, tout en respectant les convictions religieuses et morales de chacun.

Inès nous explique un peu plus :

Depuis lors, de nombreux membres, coopérateurs et amis de l’Œuvre ont participé à des groupes de travail pour la préparation des Assemblées qui se tiendront prochainement. Le sentiment de tous a été de reconnaissance et de grand intérêt pour pouvoir donner leurs suggestions sur la vie et les apostolats de l’Œuvre dans les prochaines années. Leurs contributions seront analysées lors de la prochaine Assemblée, en vue de les mettre en valeur.

Nous vous offrons des témoignages de quelques-uns qui se sont joints aux travaux de préparation:

Félix, jeune marié et bientôt père de famille travaille au collège Makoré.

Angela vient de terminer la licence professionnelle en logistique. Avec ses amies qui fréquentent le centre Marahoué, elle travaille sur divers thèmes pour la préparation du Centenaire.

Parmi elles, Maria, étudiante en Economie et Gestion à l’Université des Lagunes,

Marie-Vianney, étudiante en Droit

et Véronique, étudiante en Mathématiques.

Camille-André, chimiste, fait partie de la direction du collège Makoré et est très engagé dans la formation des jeunes qui fréquentent le centre Niéré.

Jean-Louis, pharmacien, est à Yamoussoukro. Il collabore avec le centre médico-social Walé et fait partie de la direction du centre Yaouré, qui s’adresse à des lycéens, des étudiants et des professionnels.

Jean-Christian, pharmacien lui aussi, fait partie de la direction du centre Comoé.

Ange-Joël, quant à lui, est l’un des étudiants qui fréquentent Comoé.

Il aurait été impossible de recueillir les témoignages de tous ceux et toutes celles qui ont fait part de leurs réflexions pour enrichir le travail de l’Assemblée. Nous vous présentons, pour conclure, le témoignage d’Hélène, jeune professionnelle :