Inauguration d'un centre culturel en lien avec l'Opus Dei à Marseille

Le centre Castelvieil invitait les journalistes mercredi 20 janvier. L’occasion pour le centre de présenter ses nouveaux locaux et les activités qui y sont organisées.

Tous les responsables du projet Castelvieil sont là : le président de l’association, Jean, ainsi que Pascal et Thierry responsable des activités spirituelles pour l’un, des activités culturelles pour l’autre. Ils ont ouvert les portes du centre le mercredi 20 janvier .

L’Opus Dei à Marseille a « pignon sur rue » affirme Pascal. Et pour cause : cela fait presque cinquante ans que l'Opus Dei a pris en charge les activités de formation chrétienne de Castelvieil… Pourtant, Castelvieil, contrairement à ce que peut évoquer le nom de ce centre, n’a pas une ride. Arrivé en 1963 sur le Boulevard Michelet et après un passage par la rue Farges, il est aujourd’hui installé, et ce depuis 1982, rue Vallence.

Entièrement refait et inauguré l’année dernière, Castelvieil est aujourd’hui flambant neuf. « On est très bien connu dans le diocèse et l’évêque nous témoigne sa confiance en nous encourageant. La collaboration avec les paroisses de Marseille est très bonne » insiste Pascal devant la presse. Celle-ci était d’ailleurs étonnée de la diversité des habitants et de leur ouverture. Pascal a expliqué à la presse la formation spirituelle dispensée par le centre : « On propose de prolonger et d’approfondir le catéchisme qu’ont eu les jeunes, car seule la religion peut donner un sens profond à la vie !». Saint Josémaria l’affirmait : l’Opus Dei est une grande catéchèse. Ce dernier est d’ailleurs bien connu des marseillais : la ville a été la première à organiser, en 1996, une exposition sur lui, à Notre-Dame-de-la-Garde, et en 2005, le prélat de l’Opus Dei était venu inaugurer une statue du saint, installée dans la basilique du Sacré Cœur.

Un important projet culturel

Doté d’une salle de conférence, Castelvieil a une vaste ambition culturelle au service des Marseillais. Les précédentes conférences et les cycles prévus « sont vraiment là pour  aider les gens » affirment les responsables. Pour preuve le cycle sur « les pères éducateurs » et la conférence sur « les décideurs » (inspirée de la dernière encyclique de Benoît XVI, Caritas in veritate ) ou encore la conférence sur la sexualité et Jean Paul II.

Et Pascal de conclure : « un journaliste m’a dit qu’il n’aurait jamais cru que des catholiques soient si ouverts sur ces thèmes de société… »