Merci, ô Jésus, d'avoir voulu devenir un Homme parfait, au Cœur aimant et très aimable, et qui aime jusqu'à la mort et qui souffre ; qui se remplit de joie et de douleur ; qui s'enthousiasme pour les chemins des hommes, et nous montre celui qui mène au Ciel ; qui se soumet, héroïque, à son devoir, et agit avec miséricorde ; qui veille sur les pauvres et sur les riches ; qui prend soin des pécheurs et des justes... — Merci ! Merci ! mon Jésus, et donne-nous un cœur à la mesure du Tien !
Sillon, 813
Si tu es apôtre la mort te sera une bonne amie qui aplanira le chemin.
Chemin, 735
Jésus, qui s'est fait enfant — méditez bien cela — a vaincu la mort. Par son anéantissement, par sa simplicité, par son obéissance, par la divinisation de la vie courante et vulgaire des créatures, le Fils de Dieu s'est rendu vainqueur.
Quand le Christ passe, 21, 6
Et lorsque viendra la mort — qui viendra inexorablement — nous l'attendrons, avec joie, comme j'ai vu tant de personnes saintes l'attendre, dans leur existence ordinaire. Avec joie, parce que, si nous avons imite le Christ en faisant le bien — en obéissant et en portant la croix malgré nos misères —, nous ressusciterons comme le Christ : surrexit Dominus Vere, qui est vraiment ressuscité.
Quand le Christ passe, 21, 5
Les « autres », la mort les arrête et les paralyse. — Nous, la mort — la Vie — nous stimule et nous encourage.
Pour eux, c'est la fin ; pour nous, le commencement.
Chemin, 738
Quand tu penses à la mort, n'en aie pas peur, malgré tes péchés... En effet il sait bien, Lui, que tu L'aimes..., et Il sait bien de quelle argile tu es fait.
— Si tu Le cherches, Il t'accueillera comme le père accueille son enfant prodigue : mais tu dois vraiment Le chercher !
Sillon, 880
Comment t'es-tu consolé ? Grâce à cette idée : la vie c'est se dépenser, la vie, il la faut brûler au service de Dieu. Alors, si nous nous dépensons complètement pour Lui, la mort viendra nous délivrer et nous apporter la possession de la Vie.
Sillon, 883