Une aide pour mes études

Faveurs du fondateur de l’Opus Dei - 2007

Je préparais le mémoire préalable à l’épreuve de sélection à l’université et durant cette période, je priais saint Josémaria, avec beaucoup de foi et de dévotion, pour qu’il intercède auprès de Dieu le Père afin que je sois calme au moment de le soutenir. J’ai donc présenté ce travail qui m’a permis d’entamer les démarches pour être admis à l’Université. Ma famille avait de gros ennuis financiers qui se sont estompés depuis mais qui m’empêchaient de miser sur des universités privées où j’aurais voulu m’inscrire. J’ai encore supplié saint Josémaria de m’aider. Je puis dire aujourd’hui, en toute certitude, avec une grande foi et beaucoup de confiance, qu’il m’a accordé les faveurs que je lui ai demandées. Je lui serai toujours reconnaissant du fond du cœur. Je termine en confirmant que je fais des études de Droit (ce que j’avais toujours voulu faire) dans une Université de mon choix. Merci saint Josémaria !

André, Chili

30 décembre 2007

Au travail en voiture… et rentré sain et sauf

Le 26 décembre je devais aller travailler à cinquante kilomètres de chez moi afin de témoigner dans un procès en ma qualité d’expert judiciaire. En mon absence, le procès aurait été ajourné ce qui aurait fortement lésé de nombreuses personnes. J’ai donc mis la clé au contact et dès le démarrage j’ai compris que la direction était en panne. Je n’en ai pas fait grand cas et me suis tout doucement déplacé pour aller à la Messe. Et pour finir, j’ai dit textuellement à saint Josémaria : « Fais que je puisse me rendre au travail en voiture et rentrer chez moi sain et sauf, mais que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais celle de Dieu ». Persuadé que tout était accompli, j’ai démarré mais la panne persistait. C’est donc très doucement et avec une précaution infinie, sans perdre espoir, que je suis parti chez le concessionnaire officiel de la marque. Je n’avais pas rendez-vous et cependant, ils ont tout pris en main en un temps record, pour un montant dérisoire, avec l’amabilité extrême des employés. Il va sans dire que je suis arrivé dans les temps pour participer au procès et que je suis rentré chez moi sain et sauf. C’est la raison pour laquelle je viens remercier saint Josémaria pour la faveur reçue.

Alfonso Sanchez Hermosilla, Espagne

27 décembre 2007.

J’ai un emploi fixe depuis le 13

J’écris pour vous mettre au courant de la nouvelle faveur que saint Josémaria Escriva de Balaguer, fondateur de l’Opus Dei, m’a accordée. Institutrice de métier, après la naissance de mon enfant, j’avais décidé, avec l’accord avec mon mari, de rester au foyer pour m’occuper du bébé. Le fait d’avoir pu prendre soin de ma première fille fut une chance inouïe, mais le temps passait et nos dépenses ne faisaient que croître alors que, pour des raisons variées, les ressources de mon époux diminuaient. Après un mauvais passage, j’ai trouvé plusieurs emplois provisoires, des remplacements, qui ne résolvaient pas notre problème. Nous étions tous les deux franchement préoccupés. Finalement, lorsque la situation semblait être désespérée et encouragée par ma confiance en saint Josémaria qui m’avait déjà tirée d’affaire très souvent, j’ai commencé une neuvaine. Le lendemain de la fin de la neuvaine, le 13 décembre 2007, j’ai un le coup de fil d’une vieille amie de l’université qui m’offrait un emploi stable. J’ai déjà signé le contrat et je commence à faire cours en janvier, après Noël. C’est saint Josémaria, à n’en pas douter, qui m’a trouvé ce travail et je lui en serai toujours reconnaissante.

L.M.M., Espagne

20 décembre 2007.

Nous prions avec beaucoup de foi

Mon beau-père est parti au Ciel, le 2 octobre dernier, après avoir beaucoup souffert pendant deux ans, des suites d’un cancer du colon. Nous sommes dans la paix parce que nous avons fait tout ce que nous avons pu pour lui, dès le début nous l’avons confié à saint Josémaria avec beaucoup de foi et d’amour. Dieu voulut le délivrer de sa souffrance juste le jour où saint Josémaria avait fondé l’Opus Dei. Ce fut vraiment un signe pour notre famille : nos prières avaient touché notre Seigneur par l’intercession de saint Josémaria. Les images dont nous nous sommes servis nous avaient été envoyées par mon frère qui, lui, participe activement à l’Opus Dei. Merci mille fois.

Robert R., Argentine

14 décembre 2007.

Une place dans mon ancienne école

Je tiens à faire connaître la nouvelle faveur que saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, vient de m’accorder ces jours derniers. Je dis bien la « nouvelle » faveur parce qu’elle n’est pas la première. Mon époux avait décidé de mettre notre fille de deux ans dans une école qui n’avait rien à voir avec mon ancienne école. Moi, je tenais beaucoup à ce que mon enfant aille dans mon ancien établissement, non seulement parce que je le connais bien mais pour la formation que l’on y reçoit. En effet il compte sur l’aide de la Prélature de l’Opus Dei dans la formation des élèves.

Je voyais qu’il était impossible de le faire changer d’idée, puisqu’il était sûr d’avoir fait un bon choix. J’ai donc décidé de faire une neuvaine à saint Josémaria pour lui demander que si c’était judicieux, il fasse que ma fille ait une place dans mon ancienne école, que mon époux change d’avis et que la petite commence y aller dès la rentrée prochaine. De mon côté, j’ai appelé l’école, j’ai eu un rendez-vous pour le mois de décembre. J’ai fini ma neuvaine le 7 novembre 2007.

Le lendemain, l’école qui avait accueilli ma fille a eu un ennui : ma fille de deux ans s’est égarée et elle a été trouvée par ma mère, de façon providentielle, à l’entrée de l’école et à deux pas de la route.

Revenue de mes émotions, j’ai demandé à mon époux de réfléchir à l’idée d’inscrire notre fille dans mon ancienne école. Mon époux n’a pas refusé mais il a quand même objecté que, mi-novembre, il était impossible d’avoir une place ailleurs, ce qui nous posait un sérieux problème : où laisser notre enfant en allant au travail? Je lui ai parlé de mon rendez-vous avec la directrice, en décembre. Il me rétorqua que si l’entretien n’avait pas lieu tout de suite, il chercherait d’autres écoles où la mettre parce qu’il ne tenait pas à la descolariser. J’ai continué de prier et j’ai demandé à mon mari de faire de même. C’est grâce un ancien professeur, amie personnelle, que la directrice nous a reçus immédiatement, le 12 décembre 2007, juste quatre jours après la fin de ma neuvaine. Pour notre soulagement, elle nous a annoncé qu’il y avait une place disponible. Nous avons quitté son bureau, assurés que le lundi d’après, ma fille serait une élève de mon ancienne école, pour ma plus grande joie.

Lorena M., Espagne

17 novembre 2007.

10 décembre

Bonjour ! Je tiens ma promesse et vous rapporte une faveur acquise : comme bien d’autres dans mon pays, j’étais dans une situation financière très embarrassante. Criblé de dettes car j’avais fait des dépenses au-dessus de mes moyens pour régler les frais de maladie de mon père (je dois ajouter ici que j’avais aussi prié saint Josémaria pour lui et qu’il va nettement mieux), j’avais quelques ruches et tenais à les vendre pour avoir quelques ressources. Mais personne n’en voulait. J’ai tant prié, tant demandé qu’il a fini par m’entendre. Et il m’a fait la faveur le 10 décembre dernier. Je suis donc plus apaisé et peux ainsi vous écrire. Ce qui m’est arrivé n’est sans doute pas énorme, mais pour moi ce fut plus que suffisant. C’est pourquoi je remercie saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei pour cette grâce et tiens à vous avouer que je suis vraiment très réconforté à l’idée que non seulement il m’écoute, mais que, dans la mesure du possible, il peut résoudre mes problèmes.

Ruben Neves Acuña, Uruguay

14 décembre 2007

Juste à temps

Je travaille dans une corporation d’entreprises en tant que responsable de la gestion financière. J’ai été chargé d’un projet très important pour nous qui devait être prêt à une date précise. Nous avons ardûment travaillé pour être dans les temps, mais au fur et à mesure que l’échéance approchait, le délai semblait impossible à tenir. J’ai donc eu recours à saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei pour que tout s’arrange et depuis que je me suis mise à faire la neuvaine, tout a commencé à marcher et nous avons repris espoir. Le projet fut remis à temps et je remercie la Sainte Vierge et saint Josémaria pour la faveur accordée.

Maria del Carmen Vega Gonzalez, Pérou

14 décembre 2007

J’ai désormais le travail qui me plaisait

J’ai fait la neuvaine du travail trouvée sur votre site et j’ai désormais le poste qui me plaisait : un service rendu aux autres grâce auquel je donne un coup de pouce à mon mari pour faire aller de l’avant la famille nombreuse que Dieu nous a donnée. Merci, saint Josémaria et merci, don Alvaro que j’avais aussi invoqué pour faire le bon choix.

Rocio M, Espagne

10 décembre 2007

J’aime le Christ et mon métier me passionne

Après avoir lu, il y a quelques années, un livre très controversé, j’ai commencé à m’informer sur l’Opus Dei. J’ai lu pour la première fois des écrits de ce saint dont je n’avais jamais entendu parler auparavant et je suis tombé sous le charme. Je venais enfin de trouver la manière de concilier mon amour du Christ et la passion pour mon métier et ma formation professionnelle. Saint Josémaria me fit comprendre, de façon nouvelle, comment participer au travail de l’Église. Je l’ai prié pendant des semaines, sur mon lieu de travail et on m’a chargé de former toute une promotion de futurs techniciens. Saint Josémaria agit en notre faveur toujours et sans relâche.

J.F., États-Unis

7 décembre 2007

Un fond commun tiré au sort

Au bureau nous avons constitué un “pandero”, fond commun d’argent déposé mensuellement par chaque participant et qui est tiré au sort périodiquement. J’ai pris trois numéros : un pour mon père, un pour ma mère et un pour moi. Au tirage du premier mois, j’ai prié saint Josémaria, à l’aide de son image, pour qu’il fasse que je gagne et que je puisse apporter la somme à mon père qui en avait un grand besoin. J’ai donc demandé et j’ai tiré son numéro : quel bonheur ! J’ai fait de même au second mois et demandé que cette fois-ci je puisse gagner pour ma mère. Et ce fut fait. Maintenant je m’adresse à lui : « mon bon Père, tu as déjà tout fait pour mes parents, fais que je tire le bon numéro pour moi ». Et j’ai eu cette chance en dernier. Je dois tout cela à mon saint Josémaria.

Celeste L., Pérou

27 novembre 2007.

Ma prière fut exaucée

Cette faveur m’a été accordée il y a longtemps, je tiens à en faire le récit parce que je l’avais ainsi promis à saint Josémaria. La femme de mon frère aîné a eu son premier enfant grâce à une intervention chirurgicale. Lors de l’accouchement de son second, les choses se sont compliquées, mon frère est sorti du bloc. Quant à moi, j’habitais chez eux à l’époque. J’ai pris l’image de saint Josémaria que m’avait donnée ma sœur et je me suis mis à dire la prière à saint Josémaria lui demandant d’intercéder pour nous pour que ma belle-sœur n’ait pas à subir une deuxième intervention. Ma prière fut exaucée et ma belle-sœur mit au monde son fils tout naturellement. Nous sommes très reconnaissants à saint Josémaria pour son intercession en notre faveur. Je pense vous écrire très bientôt parce que je suis en train de demander à Dieu quelque chose d’autre par l’intercession de saint Josémaria et de notre Mère, la Sainte Vierge.

Anselm, Nigeria

27 novembre 2007

J’ai commencé à travailler en novembre et me suis mariée en décembre

C’est dans une église, à Valladolid, qu’on m’a donné une image de saint Josémaria, en octobre 2002. Je cherchais du travail et je préparais mon mariage. Je venais de finir mes études et mes parents ne voyaient pas d’un bon œil que je me marie avant d’avoir trouvé un emploi. Mais celui qui est aujourd’hui mon époux, voulait que nous nous mariions le plus vite possible. J’étais tiraillée car je voulais les contenter tous. J’ai donc prié saint Josémaria de m’aider à trouver un travail, et en novembre, j’ai commencé à travailler dans une administration. Je me suis mariée en décembre. Je considère que saint Josémaria a intercédé pour moi dans cette situation délicate et je lui en suis publiquement reconnaissante.

Amparo, Espagne

20 novembre 2007

Des ennuis financiers

J’avais de sérieux ennuis financiers, je ne dormais pas bien, j’étais tout le temps tendu et je me disputais sans arrêt avec ma femme pour des broutilles. J’ai donc demandé de l’aide à mon patron et j’ai prié avec une grande foi saint Josémaria de me secourir pour que cela aboutisse. Ma demande a été agrée. Merci Père.

Marcos G., Chili

19 novembre 2007

Quelques précieuses heures de silence et de repos

Notre premier bébé est né voici une semaine... Une grande joie nous habite, mais les débuts sont un peu difficiles, bébé pleure toute la nuit... Toutefois, la prière à Saint Josémaria, prononcée dans la confiance, a permis quelques précieuses heures de silence et de repos. Merci Saint Josémaria.

Marie-Claire, Chine

17 Novembre 2007

Je n’avais pas de travail

J’étais désespéré, sans travail avec mes enfants à l’université lorsque je suis tombé sur un reportage sur notre saint Josémaria Escriva de Balaguer. Je ne saurais d’écrire ce que j’ai éprouvé : le journal à la main, j’ai eu une sensation de paix et de tranquillité. Je ne connaissais pas grand-chose sur saint Josémaria, je lui ai cependant tout confié, j’ai prié et peu de temps après, on nous a proposé un travail à mon épouse et à moi. J’ai donc un poste meilleur grâce au miracle de notre Saint Josémaria Escriva. Bénit soit-il lui et les siens. Je parle de ce miracle à mes amis qui me demandent des renseignements supplémentaires. Josémaria, je te prie de continuer à t’occuper de ma famille et mes amis. J’ai beaucoup de choses à leur dire.

John Hernan C., Pérou

7 Novembre 2007

Mon frère

Bonjour ! Je veux témoigner de ce qui s’est passé avec mon frère aîné. Il a toujours été timide, réservé, très gentil et dévoué en famille jusqu’au jour où il a rencontré une fille qui n’avait aucun sens de la famille ni de la dignité. Il a totalement changé. Il était peu de temps chez nous, devenu agressif envers tous, mal poli, il était quelqu’un d’autre. Mes parents et moi lui avons parlé, sans qu’il veuille nous entendre.

Moi j’étais curieuse de savoir ce qu’était l’Opus Dei et après avoir rencontré pendant mes vacances des familles où il y avait des gens de l’Œuvre, mon intérêt n’a fait que grandir, j’ai fait mes recherches et j’ai fini par trouver, saint Josémaria, mon « Ange protecteur ». Je lui ai demandé d’aider mon frère, de guider ses pas.

Depuis, et cela fait déjà un an, mon frère est redevenu ce qu’il avait toujours été : tendre, amical, amusant. C’est saint Josémaria qui a intercédé devant Dieu pour mon frère et je lui en suis très reconnaissante. Merci saint Josémaria.

Cristina G., Portugal

7 novembre 2007

Si je devais rapporter tant de faveurs, j’en écrirai un livre

Je n’ai fait que recevoir des faveurs par l’intercession de saint Josémaria. J’en écrirai un livre si je les rapportais toutes. J’en ai quelques unes à l’esprit. Celle du docteur qui me dit que je ne pouvais pas envisager de grossesse vu un problème à l’utérus qui m’empêchait d’en prendre le risque. Dieu merci et grâce à l’intercession de saint Josémaria, cela ne s’est pas passé ainsi. Mon enfant a déjà 5 ans.

Encore une grosse faveur : lorsque mon fils eut un an, il tomba gravement malade, fièvre jour et nuit, médecins ne trouvant pas la cause, des analyses, tout type de test… et grâce à l’intercession de saint Josémaria, on finit par trouver. Une doctoresse me dit : « Il n’a qu’une infection à la gorge, mais il est résistant à plusieurs antibiotiques ». Cependant mon fils s’en sortit !

Quant à mon mari, sa bourse fut prolongée alors qu’elle aurait dû lui être supprimée puisque, pour des raisons familiales, il n’avait pas pu achever son doctorat. Il n’en revenait pas. Mais ce fut bel et bien vrai, grâce à l’intercession de saint Josémaria ;

Un jour j’ai laissé ma lampe à alcool allumée. Je devais passer un examen de maîtrise très embêtant et j’ai oublié de l’éteindre. Comme je suis restée très longtemps à travailler en bibliothèque lorsque je suis rentrée chez moi j’ai vu que mon bureau avait brûlé, ainsi que plusieurs objets. Cependant l’image de saint Josémaria et celle de la Sainte Vierge n’avaient brûlé que sur les bords et la flamme n’avait pas embrasé le flacon d’alcool qui était à côté de la lampe. Le plastique de la bouteille avait un peu fondu, il y avait des cloques ! Ce fut miraculeux que toute la maison n’ait pas pris feu.

En ce moment j’ai trois souci importants : nous attendons avec foi le secours de saint Josémaria.

Lucero G., Mexique

31 octobre 2007

Se garer sans bloquer la circulation, sans rayer la voiture

Notre Père est un bon chauffeur. Je conduis depuis quelques années, mais j’ai du mal à faire mes créneaux et à rentrer en marche arrière dans mon tout petit garage.

C’est mon mari qui, normalement, fait cette manœuvre, mais il m’arrive de sortir seule de chez moi. Sur le retour, le commence à dire la prière de l’image en demandant à saint Josémaria de m’aider à bien me garer dans ce garage, sans bloquer la circulation et sans rayer la voiture. Et il m’aide toujours. Je suis souvent surprise de mon adresse à me garer ! Merci, Père.

Lilian A., Brésil

30 octobre 2007

Une maison

Je tiens à remercier saint Josémaria pour la faveur accordée : d’abord nous avons trouvé une maison à bon prix et tout près des écoles de nos enfants —comme nous le lui avions demandé— que, Dieu aidant, nous allons acheter sous peu et, bien entendu, nous avons vendu notre appartement. Saint Josémaria continue de nous aider autant et merci beaucoup.

Rocio Molina Leon, Espagne

Octobre 2007

Il m’aide à tenir bon

Lorsque j’ai demandé pour la première fois à Saint Josémaria de m’aider, Dieu m’a accordé la paix dans une circonstance difficile. Puis, m’étant à nouveau adressé à lui, j’ai toujours eu les faveurs que j’implorais. Et c’est essentiellement sous son inspiration que je suis raffermi dans mes convictions et que je n’ai plus peur de dire que ma foi est plus forte que le pire des affronts. Le fait d’être catholique nous engage à devenir saints.

R.E., Pérou

24 octobre 2007

Dans un rickshaw de Bombay

J’avais oublié mon agenda dans un rickshaw. Il y avait une image de saint Josémaria avec sa relique. J’étais en train de lui demander la guérison de mon père, gravement malade ainsi que d’autres faveurs. J’étais peinée à l’idée que je ne pourrais jamais la retrouver. Les rickshaw sont des véhicules taxi et il y en a des milliers à Bombay où je réside. Puis, le nombre de chrétiens est très infime, qui donc pourrait se soucier de l’image de ce prêtre catholique ?

Or, à ma grande surprise, le conducteur du risckshaw est venu au Lycée où je travaille grâce à l’adresse qu’il avait trouvée dans mon agenda. Quelqu’un lui avait donné une image semblable il y quelque temps en lui disant qu’il s’agissait d’un saint qui intercédait pour nous devant Dieu. Pensant ainsi qu’elle m’était précieuse, il a décidé de me la remettre. Je lui en suis très reconnaissante.

J’ai fait la connaissance du fondateur de l’Opus Dei, il y a cinq ans, lorsque Tarana, une amie hindoue, m’a donné la première image de saint Josémaria. Je ne pensais pas que ce prêtre prendrait une si grande place dans ma vie.

Cela faisait un bon moment que je cherchais un travail et dès que j’ai lu sa prière, j’ai su qu’il avait fondé « un chemin de sanctification dans le travail professionnel » et je lui ai dit : « aidez-moi à trouver quelque chose ? »

Et c’est ce qu’il a fait. J’ai été convoquée à un entretien au lycée espagnol où je travaille depuis dans les relations publiques. Je suis sûre que saint Josémaria a eu beaucoup à voir avec cela puisque quelque temps après j’ai su que l’une des personnes qui travaillent dans ce lycée avait donné l’image à mon amie Tarana, pour qu’elle me la passe.

Avec l’exemple de cette collègue et grâce aux écrits de saint Josémaria, j’ai appris à offrir mon travail à Dieu en tâchant de le faire de mieux en mieux. J’ai réalisé que, bien qu’en ayant eu la chance de naître dans une famille catholique, je ne connaissais pas bien ma foi. J’ai donc décidé de suivre des cours de formation chrétienne. Avec le temps, j’ai découvert ma vocation à l’Opus Dei et cela fait deux ans que j’ai demandé à être admise en tant que surnuméraire.

Saint Josémaria n’a pas cessé de m’aider dans de petites et de grandes choses. Je pense ne pas exagèrer si je dis que je lui dois la vie. En effet, durant la période de la mousson, il pleut très fort en Asie. Cependant, il n’avait jamais autant plu que l’année dernière. Des milliers de gens sont morts en Inde à cause de ces violents orages. Beaucoup ont tout perdu. Quant à moi, un après-midi, j’avais pris mon bus comme d’habitude. La pluie était vraiment très forte et peu de minutes plus tard, le bus s’est arrêté, l’eau venant à l’inonder. Le niveau ne faisait que monter et nous ne pouvions rien faire. Les portières, bloquées par la pression de l’eau, ne s’ouvraient pas. Nous y avons passé la nuit. J’ai prié saint Josémaria tout le temps, sans savoir que faire pour que le pire n’arrive pas. Lorsque l’eau atteignit un niveau réellement dangereux, il s’est arrêté de pleuvoir.

Inde

18 octobre 2007

Josémaria, un compagnon devenu mon ami

C’est en 2003 que j’ai fait la connaissance de saint Josémaria à l’Hospital Austral, à Pilar, en Argentine, où j’étais hospitalisé. Le mal dont je souffrais avait l’air bénin mais les médecins étaient précautionneux et moi j’avais très peur. Tout s’est bien passé, c’est un mauvais rêvé derrière moi et depuis Josémaria m’accompagne, il est à mes côtés dans ma chambre. Je l’invoque toujours et lui demande des faveurs. Il y a 15 jours ma mère a été opérée et le docteur, à la sortie du bloc, nous a communiqué qu’on lui avait extirpé une tumeur importante, un cancer de l’ovaire au pronostique réservé. À partir de là, la famille a vécu un calvaire. Aujourd’hui, 10 octobre 2007, j’ai commencé à parler de maman à Josémaria. Je viens de trouver l’enregistrement de l’homélie qu’il prononça sur le campus de l’université de Navarre et je l’ai écoutée, en la savourant. Je me suis vraiment recommandé à Dieu à travers mon compagnon Josémaria. Aux alentours de midi, j’ai croisé la doctoresse qui réalisait la biopsie, qui était mauvaise d’après l’avis de tous, d’elle-même, y compris. Elle m’a appelé pour me dire qu’elle était bénigne. Mais, comment cela peut-il se faire si les docteurs qui l’ont opérée l’ont vue et m’ont dit qu’elle était maligne ? Quant à elle, elle avait aussi pensé cela. Cela n’avait pas d’explication. Il y en a une, pour moi et seulement pour moi. Qui d’autre aurait pu intercéder pour ma mère ? Josémaria, mon compagnon devenu désormais mon ami. Comment pourrais-je lui montrer ma reconnaissance ?

Ronald Lombardi, Argentine

10 octobre 2007.

Grâce à son intercession

Chers amis, je vous écris pour vous faire partager ma joie et ma reconnaissance à saint Josémaria. J’ai visité votre web et imprimé la prière pour demander à saint Josémaria de m’aider : mon mari passait un concours et c’est grâce à son intercession qu’il a réussi. J’avais déjà eu vent de l’aide que saint Josémaria vous prête lorsqu’on a recours à lui avec foi et confiance en Dieu car ma sœur qui avait eu des problèmes durant sa grossesse avait eu recours à ce saint avant d’aller voir le docteur. Tout se passa miraculeusement bien. Merci beaucoup. Pour ma part, je vais ébruiter mon expérience personnelle. Amitiés.

P.G .D., Espagne

3 octobre 2007

Non seulement un travail, mais deux

Saint Josémaria m’avait accordé une faveur, il y a un mois… et un autre la semaine dernière. Je vous raconte : une amie très chère, au Pérou, vivait dans des circonstances très dures chez elle : son père était malade, ainsi que sa mère. Ses frères et sœurs et elle-même n’avaient pas de travail pour pouvoir faire tourner la maison et encore moins pour soulager la maladie de leur papa. Les services sociaux les avaient délaissés. J’ai donc fait une neuvaine à saint Josémaria pour que mon amie ou quelqu’un de sa famille trouve un emploi. Moins d’un mois après ma prière, mon amie m’a envoyé un mail pour me dire que non seulement elle avait un travail dans son domaine (ce qui est très difficile), mais qu’elle en a deux. Le deuxième, ce sont des cours à l’université. De plus, ils avaient eu un cadeau : un fauteuil roulant pour leur père. Mon âme s’est remplie de joie pour elle et sa famille et je n’arrête pas de remercier saint Josémaria parce que son intercession devant Dieu ne nous fait jamais défaut.

Mariela, Espagne

27 septembre 2007

Il n’a pas fallu opérer

Je remercie saint Josémaria Escriva de Balaguer pour un miracle. J’étais sur le point d’être opérée de la vésicule, pleine de calculs biliaires et j’ai demandé avec beaucoup de foi à saint Josémaria de me guérir. Il m’a guérie. Il n’a pas fallu m’opérer et je vais très bien. Je rends grâces à Dieu et à saint Josémaria.

M.A.G., Mexique

20 septembre 2007

Dieu est vraiment merveilleux

C’est un ami qui m’a fait connaître l’Opus Dei et qui m’a procuré une image de saint Josémaria. Je ne l’ai pas prié tout de suite, mais un peu plus tard. J’ai fréquenté des récollections et une retraite organisées dans un centre de l’Opus Dei et j’ai appris ce que voulait dire « offrir à Dieu son travail ». J’ai donc commencé à lui offrir le mien.

Cela faisait un an et demi que j’attendais une augmentation de salaire et je ne l’ai pas eue. J’en ai parlé à mes chefs, puisque cela faisait partie de mon contrat avec l’entreprise. Ils n’en ont donné aucune suite et je me suis dit qu’il ne fallait plus y penser. Un bon jour, mon chef m’a demandé ce qu’ils pouvaient faire pour moi. Rien, lui répondis-je. Mais il est revenu à la charge trois fois de plus. Je lui ai dit que je ne voulais vraiment rien, puisque, ayant demandé ce que je désirais, et n’ayant eu aucune réponse, j’avais tourné la page. Or mon chef a participé à une réunion avec le gérant de l’entreprise et lorsqu’il est rentré au bureau, il m’a remis une lettre : mon salaire doublait à partir de ce jour.

Réellement, je ne peux attribuer cela qu’à l’intercession de saint Josémaria qui savait combien j’avais besoin de cette augmentation que je n’avais pas formulée avec précision. Dieu est vraiment merveilleux et son amour demeure à tout jamais.

H.B., Ouganda

6 septembre 2007

Le prêt est accordé

Je tiens à remercier saint Josémaria. En effet, cela fait plus d’un an que nous n’arrivions pas à obtenir le prêt demandé pour acheter la maison dont nous étions locataires. Une amie de la famille nous a suggéré de faire une neuvaine et peu de jours après l’avoir commencée, la banque nous a appelés pour nous dire que le prêt était accordé. Avec mon épouse, nous le prions tous les soirs et j’ai sa petite image, sur moi, dans mon porte-feuille. Je lui demande maintenant de m’aider à surmonter un mauvais moment, à me sanctifier dans mon travail et à faire en sorte que dans notre couple il y ait toujours l’union et la paix. Merci, saint Josémaria pour les faveurs reçues.

Carlos D., Argentine

5 septembre 2007

Un petit souci

Je viens de faire la connaissance de saint Josémaria, c’est donc la première fois que je sollicite son intercession. Après avoir trouvé son image sur le site, je lui ai demandé de m’aider dans une petite chose, sans commune mesure avec les témoignages importants que vous évoquez ici. Il devait m’aider à trouver un bon gratuit de voyage en avion qu’une compagnie aérienne m’avait offert l’an dernier. Je l’avais égaré dans mon déménagement de l’an passé. Comme il périme dans un mois, je me suis vite mis à le chercher pour pouvoir l’utiliser dans un voyage que je vais faire d’ici peu. J’ai mis une journée et demie à le chercher, ouvert sans succès des douzaines de cartons de déménagement. Puis j’ai pensé à l’image de saint Josémaria. Je lui ai donc demandé de m’aider à trouver rapidement ce bon. Après avoir prié, j’ai vu qu’il y avait une boîte près des autres que je n’avais jamais remarquée. Et c’était là que j’ai trouvé le bon de la ligne aérienne, dans une enveloppe tout à fait différente à celle que je cherchais. Merci saint Josémaria. Je pourrais m’en servir pour un voyage professionnel que je dois faire sous peu.

C.A., U.S.A

4 septembre 2007

Elle a touché l’assurance chômage

Ayant dû voyager à l’étranger, je n’avais pas pu pointer au chômage et j’ai constaté au retour que je n’y avais plus droit. Ça m’a peiné et angoissé. J’ai prié saint Josémaria qui sait pourquoi j’ai dû voyager et j’ai eu un coup de fil d’un employé de l’anpe qui m’a proposé son aide. Dès mon retour, je l’ai contacté et il m’a aidée. Ce fut mon ange gardien. Il s’agissait d’une aide du ciel, j’en étais sûre. Tout rentra dans l’ordre. Je remercie Saint Josémaria d’avoir intercédé pour moi. Béni soit-il.

Mariela, Espagne

26 août 2007

Hors de danger

Lors de la dernière saison de Tee-Ball, une batte de base-ball a frappé la tête ma fille de six ans. Nous l’avons menée aux urgences. La radio de la tête a montré une tache au cerveau. On a prévu un autre examen pour mieux identifier cette tache. Ma femme a pu demander un rendez-vous au service des enfants de l’hôpital de Houston, au Texas. Ma famille priait tout le temps saint Josémaria pour que par son intercession, il n’y ait rien de grave. Les résultats ont confirmé que le kyste ne mettait pas la vie de ma fille en danger. Ma famille est très reconnaissante à saint Josémaria de nous avoir ainsi protégés.

Ken Taffi, United States

23 août 2007

Quelqu’un d’autre

Mon petit frère qui était très bien élevé est devenu un rustre en trois ans. Il n’avait plus le goût de vivre et a essayé plusieurs fois de porter atteinte à sa vie. J’ai prie avec ferveur le Seigneur et demandé à saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, d’intercéder pour lui. Finalement, après plusieurs mois, sa vie a prit un autre tournant. Il est devenu quelqu’un d’autre. Je le regarde, il est fort. Merci saint Josémaria pour l’avoir aidé à se reprendre. Il est ainsi en paix avec lui et avec le monde et il est revenu vers Dieu. Merci.

G.F., Canada

22 août 2007

Deux en un

Nous avons fait un voyage en Europe pour demander la guérison de mon épouse. Nous sommes allés à Sainte-Marie-de-la-Paix, église où reposent les restes du fondateur de l’Opus Dei et on nous a remis une image de ce saint. Le lendemain, à Madrid, à 23h30, nous étions dans le métro avec trois valises. Nous avons été assaillis, nos braqueurs ont mis la main dans le sac de ma femme sans qu’elle ne s’en aperçoive. Elle avait de l’argent et des bouches d’oreille en or. Elle a ouvert son sac et a tout de suite vu l’image de saint Josémaria, froissée, mais rien n’avait été volé. Merci pour cette faveur et pour sa guérison.

R.Z., Pérou

22 août 2007

Merci

Je tiens à remercier ici saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, parce que ses écrits ont enraciné en moi une profonde vie intérieure et le désir de faire connaître autour de moi l’appel à la sainteté au milieu du monde. Je veux aussi témoigner de ma reconnaissance à mgr Emilio Bonell, qui vient de décéder et que j’ai eu le plaisir de connaître, parce qu’à la suite des enseignements de saint Josémaria, il a cultivé aussi en moi la vie intérieure et raffermi chez moi l’appel à la sainteté.

A.G., Argentine

16 août 2007

Une image égarée dans un car

J’ai quitté ma ville pour aller passer un concours qui me dépassait : 11.000 candidats pour 3.500 postes. Je n’ai jamais eu de chance dans tous les concours passés précédemment. Le matin de mon départ, j’ai regardé ma mère et lui ai dit : « Maman, dis-moi si je suis en train de perdre mon temps. Si tu me dis de ne pas y aller, je n’irai pas ; je suis découragée et ce n’est pas ainsi qu’on réussit des épreuves ». Ma mère qui sait combien je tiens à intégrer la police, m’a encouragé à me présenter. Dans le car, j’ai trouvé une image d’un saint inconnu de moi. J’ai commencé à lire la prière et j’ai réalisé que cet homme avait consacré sa vie à ce à quoi il croyait. Je me suis vue reflétée en lui. J’ai lu la prière jusqu’au bout et j’ai vu qu’on pouvait demander une faveur par son intercession. Je n’ai dit que : « J’aimerais être heureuse. À toi de voir. » Puis j’ai dit un Notre Père, un Je vous salue Marie et un Gloire au Père. Je vous écris sous le coup de l’émotion et détachée des résultats éventuels de ce concours. Je suis heureuse d’avoir rencontré saint Josémaria. Quoiqu’il en soit, je vous informerai des résultats.

Valeria Buccolieri, Italie

17 août 2007.

Via internet

« La plaie fait mal. Mais elle est en voie de guérison. Sois conséquent avec tes résolutions. Bientôt la souffrance deviendra une paix joyeuse. » (Chemin, 256). Ce sont les premières

paroles de saint Josémaria que j’ai lues il y a cinq ans sur internet. J’avais fait une recherche pour en savoir plus sur l’Opus Dei parce que j’avais vu une femme, à la télévision, qui parlait de son rôle d’épouse et de mère alors qu’elle avait aussi un travail professionnel en dehors de son foyer. Elle disait combien l’Opus Dei l’avait aidée à se stabiliser intérieurement. Ceci n’allait pas dans le sens de l’information que j’avais alors de l’Œuvre. Mais je tenais à avoir la recette pour atteindre cette stabilité. J’avais 23 ans, j’étais déjà mariée et avec Angelo, un fils de 5 ans. J’étais en dernière année de mes études d’éducation et j’étais frustrée, n’ayant pas trouvé l’équilibre dans ma vie.

Lorsque j’ai trouvé la page web de l’ Œuvre, j’ai surfé un bon moment. Puis durant deux mois je l’ai visitée quelques fois et ai demandé à recevoir les nouveautés. Plus tard, je me suis décidée à vous contacter et à vous montrer mon intérêt. J’ai reçu une réponse gentille et très rapide qui me transmettait des propos de saint Josémaria dont j’avais spécialement besoin ces jours-là. Je ne m’y attendais pas du tout.

J’ai gardé un contact internet avec quelqu’un de l’Opus Dei qui m’a bien aidée. J’ai pris conscience de mon rôle d’épouse et de mère. Mon mari et moi avons décidé d’attendre Giana, notre deuxième bébé. Plus tard, j’en ai eu un troisième, Paolo, et mon travail a fait que je relâche un peu cette communication.

Il y a un an à peu près, j’ai repris ce contact et demandé à être formée. Voilà les termes de mon message : « S’il vous plaît, je tiens à recevoir une formation ». La réponse m’a alors invitée à prendre contact avec un centre de l’Opus Dei.

Et c’est ainsi que je suis arrivée à Ausangate, un centre de l’Opus Dei à Lima pour commencer à participer aux moyens de formation chrétienne : j’en tire le plus grand bienfait. J’ai découvert que le chemin vers la sainteté me concerne. Il n’est pas facile, mais pas impossible non plus. Je tâche de mettre en pratique l’ordre, la discipline, la constance, la collaboration, l’espérance et tant d’autres choses… et ceci ne concerne pas que mon amitié avec Dieu, je l’applique aussi dans ma vie ordinaire.

Je suis désormais Coopératrice de l’Opus Dei. J’attends mon quatrième, je suis une compagne plus attentive à mon époux et je suis pleine d’enthousiasme et de projets pour reprendre mes études que j’avais bien négligées. Josémaria avait donc raison : « Sois conséquente avec tes résolutions et bientôt ta souffrance deviendra une paix joyeuse. »

Mary Liz Castello de Gamboa, Pérou

14 août 2007

Si la voiture est ouverte, prends en soin

Il y a quelques semaines je n’ai pu dormir que très peu d’heures par nuit parce que j’ai dû travailler pour terminer un travail pressant et important. Un matin il m’a fallu aller sur mon lieu de travail pour quelques démarches. En rentrant chez moi, vers midi, je me suis mis à faire mon moment de prière. Peu de minutes après, un doute m’a assailli : avais-je correctement fermé ma voiture ou pas ? J’étais presque convaincu que je l’avais fermée mais le doute m’empêchait de prier tranquillement. J’ai donc demandé à saint Josémaria de veiller sur mon véhicule au cas où il ne serait pas fermé. Et, ô surprise, quelques heures après je suis allé voir et j’ai constaté que le matin je ne l’avais pas fermée. Elle était intacte. Merci beaucoup, Père.

C.C.E., Espagne

7 août 2007

Soucis informatiques

C’est grâce à saint Josémaria que j’ai pu finir d’imprimer ce matin un document important, après plusieurs essais sur des imprimantes différentes. Je m’apprêtais à dire la prière de son image pour la deuxième fois lorsque le document a pu être imprimé sans problème. Merci.

C.E.C., Espagne

1 août 2007

Nous avons trouvé notre maison

Mon époux et moi avons vendu notre maison pour déménager en ville. Nous avions une marge de temps très courte pour en trouver une autre. Les mois se sont passés et nous avons dû quitter la nôtre et en louer une, puisque nous n’arrivions à rien trouver qui nous convienne. C’est alors que l’une de mes belles-sœurs m’a donné une image de saint Josémaria en me conseillant de faire une neuvaine. Elle prierait elle aussi. Une semaine plus tard, juste à la fin de ce délai, nous avons trouvé notre maison. J’ai trouvé un bon ami et je compte sur saint Josémaria à tout moment. Je suis sûre qu’il est tout près de moi.

M.J., Espagne

28 juillet 2007

Je serai guérie, j’en ai la foi

Saint Josémaria, je viens te remercier pour le courage que tu me donnes qui me permet de surmonter ce mal dont je souffre. Je serai guérie, par ton intercession, j’en ai la foi. Tu m’as d’ailleurs déjà aidée bien souvent. Merci beaucoup.

Miluska, Pérou

25 juillet 2007

Une place de parking

Je tiens à remercier le fondateur de l’Opus Dei pour la faveur qu’il m’a accordée. Cet après-midi j’ai dû faire une démarche importante pour laquelle il m’a fallu prendre ma voiture. Le lieu du rendez-vous était dans une zone où il est très difficile de se garer à l’heure où je m’y rendais. Avant de partir, j’ai donc dit la prière à saint Josémaria lui précisant que si je trouvais une place de parking j’écrirais la faveur. Merci infiniment, Père.

E.C., Espagne

24 juillet 2007

Il a retrouvé ma boucle d’oreille

En arrivant au bureau j’ai remarqué que je n’avais qu’une boucle d’oreille. En rentrant chez moi, je n’ai pas trouvé l’autre que je croyais avoir laissée sur une table. Je l’ai cherchée par terre, à genoux, sous la table. J’ai dit : « saint Josémaria, si tu me trouves la boucle, j’écrirai cette faveur. » Ce qui fut dit, fut fait. J’ai trouvé sur le champ ce que j’avais cherché une minute avant.

C.N. Royaume-Uni

20 juillet 2007

Travail de recherche auprès d'athlètes

Dans le cadre de ma thèse de doctorat, au bout de mes études à Jaen, j'ai entrepris une recherche auprès d'athlètes de haut niveau.

Le 26 juin était la dernière date retenue pour les méditions. Afin de faire les tests permettant de compléter mes recherches, j'ai besoin de trois appareils.

Pour effectuer ces mesures, je les ai installés tandis que les athlètes attendaient pour ce travail. De façon inattendue, l'un des trois appareils, le plus important, est tombé en panne. Cela ne m'était jamais arrivé. Nous avons tout essayé pour le mettre en route, sans aucun succès. C'était très embêtant pour la recherche qui ne pouvait donc pas être complétée. Après avoir rangé le matériel et communiqué aux athlètes que les tests n'auraient pas lieu, j'ai pris un peu de recul et j'ai eu recours à l'intercession de saint Josémaria lui demandant de venir à mon secours. Lorsque j'ai fini de le faire, j'ai demandé aux athlètes d'attendre un peu parce que j'allais tester une dernière fois l'appareil. Je l'ai remis en place et nous avons réalisé un test. L'appareil a marché tout au long de la journée. Tous les tests prévus ont été faits ce qui m'a permis d'achever ma thèse de doctorat. Je remercie saint Josémaria pour cette faveur, cet événement spécial survenu précisément un 26 juin, en la Saint-Josémaria, fête du fondateur de l'Opus Dei. Après avoir fait toutes ces méditions, je suis allé à une messe en l'honneur de saint Josémaria, célébrée en la cathédrale de Jaen pour le remercier très spécialement pour la faveur que j'avais reçue par son intercession.

P.J.R. Espagne

11 juillet 2007

Des poumons sont arrivés

Je suis à Stockholm depuis près de deux ans. Physiothérapeute, je soigne des patients avec des fibroses kystiques, maladie mortelle des poumons. Il y a 15 jours, l’une de mes patientes a été hospitalisée, gravement malade, elle était en attente d’une greffe pulmonaire. Je l’ai soignée dimanche, presque aux portes de la mort. J’ai quitté l’hôpital sans presque plus d’espoir. J’ai dit alors : « Saint Josémaria, je ne me souviens plus de ta prière, mais cette fille a besoin de poumons, là, maintenant » ! Lundi, ô surprise, à mon arrivée à l’hôpital, j’ai appris qu’elle avait été transportée à Lund (au sud de la Suède), au petit matin, parce que « par hasard » des poumons étaient arrivés. Tout marche bien…

M.C.R., Suède

5 juin 2007

Une musique qui invite à se rapprocher de Dieu

J’ai 19 ans et je suis organiste. Le 24 juin dernier, deux jours avant la fête de saint Josémaria, j’ai donné un concert de musique sacrée. Tout au long de ce concert j’avais à côté de mes partitions l’image du fondateur de l’Opus Dei. Je l’ai invoqué afin qu’il m’aide à offrir aux personnes présentes une musique qui les invite à se rapprocher de Dieu. Ce concert a eu beaucoup de succès. Merci saint Josémaria.

Jean-François, France

4 juillet 2007

Je prie toujours avec beaucoup d’espoir

Je connais l’Opus Dei depuis ma plus tendre enfance. J’ai fait de nombreuses neuvaines au fondateur pour obtenir de Dieu, par son intercession, un mari et une famille puisque j’ai toujours cru que c’était là ma vocation. Je suis allée à Rome à la canonisation de saint Josémaria et j’y ai renouvelé cette demande, avec ferveur. Quelques semaines plus tard, j’ai commencé à fréquenter celui qui est mon mari jusqu’à ce jour. J’ai eu une adorable petite fille qui a maintenant 3 ans et un petit garçon très beau et charmant qui en a deux. Pour des raisons difficiles à décrire, nous sommes séparés depuis le 18 février et en instance de divorce. Je prie tous les jours avec l’image de saint Josémaria. J’ignore quelle sera l’issue de cette situation actuelle, mais je sais qu’il saura trouver la meilleure formule et que Dieu, par son intercession m’aidera et veillera sur mes enfants lorsqu’ils ne seront pas avec moi pour être mon secours en des moments si durs. Je prie toujours avec l’espoir de pouvoir envoyer un jour un témoignage un peu plus encourageant et je demande à tous ceux qui vont me lire de m’aider de leur prière. Infiniment merci.

M. Espagne

29 juin 2007

J’avais cette prière dans mon esprit

Il y a plus de 14 ans j’ai été aspirante dans une communauté de religieuses qu’il a fallu que je quitte, bien malgré moi, pour aider ma famille qui traversait des moments très difficiles. J’ai commencé à travailler à Lima dans une famille qui était de l’Opus Dei. Plongée dans ce milieu chrétien, j’ai gardé et raffermi ma volonté d’offrir ma vie à Dieu. Ce fut une très belle expérience. C’est avec enthousiasme que je présentais mon travail à Dieu. La maîtresse de maison était professeur à l’université et c’est petit à petit que j’ai désiré consolider mes études supérieures, ce que j’ai fait avec le temps. Ce fut la vie de Josémaria Escriva qui toucha ma vie et me donna la sérénité. J’avais la prière de son image toujours dans ma tête : « Fais que je sache convertir tous les instants et les circonstances de ma vie en occasion de t’aimer et de servir avec joie et simplicité l’Église, le souverain pontife et les âmes. » Je sais que cette expérience a profondément marqué ma vie et c’est en pensant à saint Josémaria que j’ai voulu présenter à Dieu cette action de grâces : je suis actuellement professeur d’instruction religieuse et je peux réaliser mon vœu le plus cher : conduire les jeunes à Dieu. Merci pour tout.

Olga, Pérou

29 juin 2007

Prière d’un diacre à Sainte-Marie-de-la-Paix

Il y a quinze jours, j’étais à Rome et je n’avais pas encore pu aller prier à l’église Sainte-Marie-de-la-Paix. C’est grâce à la précieuse information de cette page web qui nous donne les numéros des bus, l’endroit où les prendre, que je me suis lancé dans cette aventure et que j’y suis arrivé. J’ai été accueilli par un jeune qui m’a montré le lieu où reposent en paix quelques personnes, des premiers de l’Opus Dei, et surtout là où se trouve saint Josémaria devant qui j’ai pu prier. Je remercie Dieu de l’occasion d’avoir pu visiter ce lieu de paix et de prière, devant les restes mortels de celui qui a éclairé toutes mes années de formation au séminaire et d’avoir pu, maintenant que je suis diacre, y parvenir dans une démarche d’action de grâces. Que Dieu vous bénisse.

E.A., Venezuela

27 juin 2007

Je pense à vous tous les 26 juin, en la fête du fondateur de l’Opus Dei

En septembre 1990, j’étais alors vicaire paroissial à Illescas (Tolède) et administrateur paroissial de Yeles et je partageais mon logement avec Xavier, un autre prêtre diocésain de la Société Sacerdotale de la Sainte-Croix. C’est lui qui m’a donné l’image du fondateur de l’Opus Dei qui, à l’époque, n’avait pas encore été béatifié. J’avais à mettre en route la catéchèse de Yeles et je ne savais pas par quel bout m’y prendre. Deux ou trois jours après avoir commencé ma prière, un membre de ma famille qui appartient à l’Opus Dei m’a téléphoné, que j’avais rencontré au mariage de sa sœur quelques mois auparavant et à qui j’avais parlé de ma nomination en tant qu’administrateur de Yeles. J’avais totalement oublié cette rencontre et notre conversation et j’ai été étonné de voir qu’il m’appelait pour m’offrir ses services et ceux d’autres jeunes qui fréquentent les moyens de formation chrétienne d’un centre de l’Opus Dei. Médusé, j’ai immédiatement compris qu’il s’agissait là d’une réponse de saint Josémaria.

Mais ce n’est pas fini. Yeles n’était pas facile. Et ces lycéens, avec ce membre de ma famille et un autre adulte venaient tous les samedis de Madrid, qui est à 40 km, avec une ponctualité héroïque, pour passer toute la matinée avec les enfants de la catéchèse.

J’étais tranquille car je savais qu’ils allaient leur apprendre la doctrine catholique. Et, qui plus est, les uns jouaient au foot avec les enfants et d’autres m’accompagnaient visiter mes malades. À la fin de la matinée, ils rentraient à Madrid, ravis, comme si c’était moi qui leur avais rendu service.

Ils n’ont jamais accepté la moindre aide financière, même pas pour régler l’essence de la voiture-espace qui les véhiculait. Ils n’ont manqué au rendez-vous qu’un seul samedi et ce fut annoncé deux mois avant. J’avoue, pour finir, que j’étais quelque peu honteux parce que je me souvenais avoir critiqué quelques fois l’Opus Dei, pour faire comme tout le monde. À la fin de l’année scolaire, ils ont accepté mon invitation à déjeuner.

Quant à moi, j’allais poursuivre des études à Rome en Octobre. Je sais que mon successeur à encore compté sur eux durant un certain temps. 17 ans se sont écoulés après ma prière à saint Josémaria. Je suis allé à Rome en 1992 pour assister à a béatification et depuis lors je pense à lui tous les 26 juin avec énormément d’affection et de reconnaissance. Saint Josémaria aime les prêtres et les aide vraiment. Que Dieu bénisse l’Œuvre pour qu’elle continue de faire beaucoup de bien à l’Église et au monde.

Gonzalo Mazarrasa Martin-Artajo, Australie

26 juin 2007

Il ne me laisse jamais seule

Depuis que j’ai rencontré saint Josémaria, je l’invoque toujours et tout marche. Je dois donc le remercier pour son secours dès que j’en ai besoin. Je viens aujourd’hui encore de vérifier qu’il ne me laisse jamais seule.

Soraia, Portugal

25 juin 2007

Une greffe était le seul espoir

Il y a dix ans, mon neveu qui avait 15 ans a eu une leucémie. Hospitalisé, il a été l’objet d’une greffe de moelle de son frère. Au Pérou, on était aux tous débuts de ce type de greffe, cependant, grâce à l’intercession de saint Josémaria, Diego fut guéri. Il a 25 ans aujourd’hui, intégré au monde du travail. Ce fut un miracle reconnu par toute la famille.

Patricia de Ferreyros, Pérou

22 juin 2007

Je sais qu’il va me conduire

J’ai demandé à saint Josémaria de m’aider à décrocher mon permis de conduire. J’en ai besoin pour mon travail. Je n’ai pas les moyens de me payer des leçons pratiques supplémentaires, j’en prends juste le minimum nécessaire pour être présentée à l’examen. Je lui demande avec ferveur de m’aider. Je n’ai pas encore passé le permis, mais je tiens à le remercier dès maintenant parce que je sais qu’il m’écoute et qu’il va intercéder pour moi.

Paloma, Espagne

20 juin 2007

Dans un tiroir

Hier, j’ai cherché partout une lettre de recommandation pour mon intégration à l’université. J’ai un désordre monstre, je ne sais jamais où je laisse mes affaires, j’ai cru que je l’avais mise à la poubelle. J’ai redressé ma tête et j’ai vu l’image de saint Josémaria que j’ai collée sur le mur de mon bureau. Je lui ai demandé très dévotement de m’aider à retrouver cette lettre. Presque immédiatement, je l’ai trouvée dans un tiroir où je n’avais pas pensé à la chercher. Ce fut miraculeux, je lui en suis très reconnaissante.

Nuri, Pérou

15 juin 2007

Hors de prix

Ma fiancée et moi attendions depuis longtemps d’avoir l’occasion de nous acheter un appartement. Les prix montaient et nous n’en avions pas les moyens. J’ai donc décidé de prier saint Josémaria à l’aide de l’image que m’avait offerte l’aumônier de mon lycée et que j’ai été très content de recevoir. Je lui ai demandé de nous obtenir un appartement à protection officielle. Et nous avons eu la chance de pouvoir accéder, en locataires, à un logement social. C’est ma fiancée qui a été retenue alors qu’elle avait fait depuis longtemps la demande, sans succès. N’ayant plus d’espoir de ce côté-là, nous ne savions pas que nous étions sur les listes d’attente. Elle n’avait reçu que des réponses négatives jusqu’au jour où une lettre lui a confirmée qu’elle avait été retenue pour cette location. Nous sommes très contents. Nous avions promis d’aller à Rome pour prier devant sa châsse si tout marchait. Nous sommes donc en train de préparer notre voyage. Merci mille fois, saint Josémaria.

Asier Iglesias, Espagne

29 mai 2007

Le PC s’est mis en route

Mon PC ne démarrait pas aujourd’hui. J’ai pensé que c’était à cause d’un virus. J’ai dit une fois la prière de l’image et il s’est mis en route. Au bout du démarrage, est apparu un message confirmant que le pc avait été récupéré à l’issue d’une grave erreur. Je n’en dis rien à Microsoft et c’est à vous que je réserve la notification.

David del Fresno y Torrecillas, Espagne

28 mai 2007

Un entretien d’embauche

Je cherchais du travail depuis des mois. Un beau jour un ami me passa une image de Saint Josémaria. Cela faisait quatre mois que je n’avais pas reçu d’appel des entreprises où j’avais envoyé mon c.v. Ce jour là je me suis mis à prier le fondateur de l’Opus Dei et quelques jours après j’ai été convoqué à un entretien d’embauche.

Arnold Carl F. Sancover, Philippines

13 mai 2007

Sans aucun problème

Au troisième mois de ma grossesse, j’ai eu une très forte hémorragie. Très déstabilisée, je suis allée chez mon docteur qui m’a demandé si j’étais catholique. C’était bien le cas, il m’a alors offert une image avec la prière pour demander l’intercession du fondateur de l’Opus Dei. Il m’a conseillé de la dire avec foi. C’est ce que j’ai fait tous les soirs avec tellement de confiance qu’un mois après mes pertes avaient disparu. Le docteur me dit qu’il s’agissait d’un miracle et me conseilla de toujours prier. Ma petite fille est née sans aucun problème. Les infirmières qui se sont succédées dans ma chambre n’en revenaient pas. Ma famille avec moi, nous disons toujours la prière à saint Josémaria avec énormément de foi.

Sol Maria Nava, Venezuela

11 mai 2007

Je n’ai jamais manqué de travail

Les premiers jours de Janvier 1998, je travaillais dans un taxi alloué, ma femme et mon fils étaient malades. Ce n’était rien de grave, mais j’avais besoin d’argent pour les médicaments et l’affaire ne tournait pas très bien. Un soir, à la fin de mon travail, une dame a pris mon taxi et en voyant ma tête, elle a compris que j’avais un souci. Je lui ai dit que j’avais besoin d’un travail stable et elle m’a tendu une petite image d’un bienheureux dont j’ignorais l’existence. Elle me conseilla de le prier avec beaucoup de foi. Elle me dit qu’il avait obtenu un travail pour son fils. Tout en lisant lentement l’histoire au dos de l’image, je me suis retourné pour remercier la dame pour ce petit carton et pour les 20 dollars qu’elle m’avait donnés : la dame n’était plus là, elle était partie sans que je m’en aperçoive. J’ai gardé l’image du bienheureux (à l’époque) Josémaria Escriva de Balaguer. Deux ou trois jours après, ma situation s’est dégradée : le véhicule que je louais est tombé en panne. Un soir, lorsque je rentrais chez moi après une journée de recherche de travail, ma mère me dit que quelqu’un que je connaissais à peine me cherchait pour m’en proposer un. Je suis allé le trouver et il me dit qu’un ami à lui avait besoin de quelqu’un de confiance pour un travail dans une grande entreprise : je serais affecté à un poste où circulait l’argent. Il me dit qu’il avait pensé à moi, ce qui m’étonna énormément car je le connaissais à peine, comme je vous l’ai dit. J’en ai été très reconnaissant et je suis rentré chez moi. J’ai pris ma petite image et j’ai compris que le fondateur de l’Opus m’avait aidé en éclairant l’esprit de ce monsieur qui avait pensé à moi pour ce travail. Depuis, Dieu merci et grâce à l’intercession de saint Josémaria, je n’ai jamais manqué de travail. En février dernier, j’ai déposé ma candidature dans une grande multinationale. À mes 38 ans, j’avais très peu de chances, mais j’ai prié très fort le fondateur de l’Opus Dei et j’ai intégré l’équipe. Tous les jours, avant de me rendre au travail, je le prie très fort pour qu’il me guide et me protège. Et non seulement pour cela : dès que je suis devant une situation difficile, je le prie et il m’aide. Aujourd’hui que je viens de voir une vidéo où un chauffeur de taxi parle de sa fille atteinte d’hydrocéphalie et guérie, j’ai pensé que j’avais été dans une situation semblable et j’en ai pleuré d’émotion n’ayant aucun doute que saint Josémaria est un saint faiseur de beaucoup de miracles. Merci, José Maria Escriva de Balaguer.

Rommel Rosas, Pérou

6 mai 2007

Elle avait changé le mot de passe

Je tiens à rapporter cette faveur de saint Josémaria. Je dois surveiller la macula de mes deux yeux et je vais fréquemment à l’hôpital de la sécurité sociale pour une campimétrie. J’avais donc un rendez-vous pour le 30 avril à 14h30. Cette heure, en plein pont du 1er mai, ne me convenait pas du tout, j’ai donc essayé de la faire changer, mais inutilement. Arrivée au dispensaire à l’heure prévue, j’ai trouvé l’infirmière soucieuse parce qu’elle essayait depuis une demie heure d’accéder au logiciel de l’appareil prévu pour ces contrôles et elle n’y arrivait pas. Elle était très contrariée et me dit qu’elle n’allait pas pouvoir faire cette campimétrie ni à moi ni aux dix autres patients qui attendaient. L’appareil ne répondait pas. Comme je connaissais cette infirmière pour l’avoir vue les fois précédentes, je lui ai avoué que j’allais me mettre à dire la prière à saint Josémaria. Ce que j’ai fait. L’infirmière s’acharnait toujours sur l’appareil. Une autre infirmière est passée par là. Elle lui a dit que le vendredi dernier elle avait changé le mot de passe. Elle est vite allée se renseigner et dès qu’elle l’a connu, l’appareil est devenu opérationnel. À la fin, elle m’a remerciée et toutes les deux nous avons renvoyé ces remerciements, de tout notre cœur, au fondateur de l’Opus Dei. Tout cela a beaucoup aidé cette infirmière. Je vous raconte cette histoire à toutes fins utiles.

Pilar Herranz, Espagne

2 mai 2007

Il n’y a qu’à lui demander les choses avec foi

Bonjour. Je vous écris pour rendre grâces pour une demande que j’ai faite à saint Josémaria. Je lui ai demandé de m’aider à progresser dans mon travail et dans mes études dans le domaine de l’informatique. En effet, cela faisait des années que je n’avais aucun avancement à cause de cela. Je dois dire avec fierté, que j’y suis désormais arrivé et que je suis, ô combien conscient, que le fondateur de l’Opus Dei et la Très Sainte Vierge ont intercédé pour moi dans ce sens. Je dois dire aussi que, de ce fait, ma situation financière est meilleure. Je tenais vraiment à en témoigner. C’est sans doute banal pour d’autres, mais je dois vous dire que saint Josémaria est à nos côtés et qu’il n’y a qu’à lui demander les choses avec foi. Pour ma part, merci mille fois.

R.L. Neves, Uruguay

30 avril 2007

Ça y est, tu peux conduire tranquillement

Mon mari a été récemment opéré. Vu l’état avancé de sa pathologie, l’intervention fut compliquée. Je suis allée le chercher à sa sortie d’hôpital. Il était tout endolori. Lui qui supporte normalement très bien à la douleur, a commencé à se plaindre intensément à chaque secousse du véhicule. Je tâchais de conduire doucement, toutefois il était très mal à l’aise. Je ne savais plus comment faire. J’ai alors mentalement invoqué, très intensément, le fondateur de l’Opus Dei. Toute de suite après, j’ai entendu mon mari, sur le siège arrière, me dire : « Ça y est, tu peux conduire tranquillement, je n’ai plus mal du tout. » Alléluia, merci saint Josémaria !

Patrizia Martinelli, Italie

2 mai 2007

Il a déjà un régime alimentaire normal

J’ai un fils merveilleux qui, du haut de ses trois ans énergiques, est une fine bouche. Depuis qu’il a été sevré, il a eu une aversion presque phobique à la plus part des produits alimentaires. Il a survécu grâce aux saucisses et au poulet. Durant de longues périodes, il refusait de goûter à autre chose. Je devais faire des mélanges savants avec ses deux produits favoris tout en essayant de lui proposer autre chose. C’était épuisant. Je ne pouvais pas m’empêcher de le comparer à mon autre fils qui n’avait jamais eu de problème de choix alimentaires. Je n’en étais que plus découragée. L’une de mes amis a vite compris que j’étais très préoccupée et que ce souci m’empêchait même de prier. Elle m’a donc proposé de faire une neuvaine au fondateur de l’Opus Dei avec la prière de son image. Nous prierions pour mon fils. J’ai noté un mieux dès le premier jour parce que mon fils m’a surprise en me demandant un bout de saumon au dîner. Le lendemain, chez un ami, il a voulu prendre un œuf dur pour la première fois ! Les avancées étaient progressives, il est arrivé à manger des sandwichs, du riz au poisson, voire même du fromage. À la fin de la neuvaine, j’ai pensé qu’il était guéri puisqu’il avait déjà un régime alimentaire normal, comme celui de tous les enfants. Ce fait peut sembler peu de chose comparé aux autres faveurs, mais je tiens à vous dire qu’il s’agit d’un vrai miracle. Merci, saint Josémaria !

Mary Dysko, UK

29 avril 2007

Un détail petit mais important

J’ai promis d’écrire ce petit détail qui, tout en étant petit, n’en est pas moins important pour moi. Je devais faire un discours devant presque 400 personnes. C’était la première fois que j’allais parler devant un public aussi nombreux. Dans mes répétitions, j’étais bloquée à un moment précis, ma voix se brisait et je me mettais à pleurer. Ceci m’était arrivé, et je n’exagère pas, des douzaines de fois. J’ai donc dit à saint Josémaria : « Toi, qui t’es ému devant sa sainteté Paul VI, rend moi ce service : « Fais que je ne sois pas émue et que ma voix ne se brise pas durant mon discours ». Quelques heures avant, j’ai réessayé et ma voix ne s’est pas brisée. Sachant ainsi que le fondateur de l’Opus Dei m’avait écoutée, je suis allée faire ma conférence complètement rassurée, dans l’assurance que la faveur m’avait été accordée. Et ce fut fait. De plus j’ai ajouté : « j’en témoignerai bien que cela m’en coûte parce que je n’aime étaler mon intimité ». J’ai été félicitée par des gens très exigeants qui n’ont pas l’habitude de porter les autres aux nues. Je veux donc montrer ma reconnaissance pour que tout le monde soit encouragé à solliciter saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, dans les affaires ordinaires.

Carmiña Suanzes, Espagne

28 avril 2007

J'avais promis que je témoignerais

Ce n'est pas par manque de respect, mais plutôt avec une immense tendresse que je les appelle mes "petits amours". J'ai la photo de Josémaria et Alvaro au dessus de mon ordinateur, et sur ma table de nuit. Récemment ma maman a du subir des examens pénibles des intestins et de l'estomac ; elle redoutait le pire. Pour être sûre de savoir qui remercier, je l'ai confiée, par la prière, à Don Alvaro. Les examens se sont bien déroulés, elle n'a pas souffert, et il n'y a rien de grave. J'avais promis que je témoignerais. En effet tous les deux sont mes pères, mes frères, mes vrais amis, présents et aimants.

M.F., France

24 avril 2007

J’ai pu avoir des billets

Saint Josémaria m’ayant fait des faveurs dans de différents voyages, je viens, un peu tard, il est vrai, vous les rapporter. Je commence par la première. Il a fait que je puisse avoir deux billets juste avant l’heure du départ. Au mois d’Août, le premier jour des congés, je devais aller en Andalousie, au sud de l’Espagne, dans une région très fréquentée par les touristes. J’ai intensément prié saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, pendant le trajet jusqu’à la gare. Au guichet, il m’a fallu insister mais j’ai finalement pu voyager le jour même, ce qui au départ semblait impossible.

L’autre faveur que je m’étais promis d’écrire concerne un voyage chez mes parents. Mon père était hospitalisé depuis quelques semaines et je suis allé le voir. Comme la distance était considérable et qu’il n’y a pas de vol direct pour y aller, il faut prendre une correspondance. J’avais un billet aller-retour, fermé et en classe touriste. Pendant mon séjour, une intervention chirurgicale fut programmée, elle devait avoir lieu le jour de mon retour. Je suis resté près de mon père et j’ai donc perdu mes droits. J’ai prié saint Josémaria pour un vol le lendemain. À l’aéroport de départ, je n’ai pas eu de problème parce que j’avais un ami qui m’a facilité les démarches. Pour celui de la correspondance, c’était plus compliqué. Le médecin m’avait fait un certificat et après plusieurs démarches, confiées bien entendu à saint Josémaria, il a été un bon passe-droit. Il s’agit d’une grande faveur car ce type de billets n’est ni échangeable ni remboursable, encore moins le lendemain de sa caducité.

E.N.V., Espagne

Avril 2007.

Une négligence

J’ai toujours eu recours à l’intercession de saint Josémaria et à celle de don Alvaro, dès que j’ai pu me procurer son image. Mon ennui n’avait d’importance que pour moi mais il était désespérant. Par négligence, j’ai oublié de fermer les deux portes de chez moi qui donnent sur la rue. J’en ai pris conscience huit heures après, mais fort heureusement et grâce à une protection spéciale, personne n’a pénétré chez moi. Je ne retrouvais plus mes clés, j’en ai conclu qu’elles étaient restées sur la porte et que quelqu’un les avait volées. Nous n’avons pas pu fermer l’œil et nous nous sommes relayés pour garder la maison. J’ai prié saint Josémaria pour qu’il me trouve les clés et j’ai promis de publier cette faveur, le cas échéant. Je les ai retrouvées juste au moment où mon père avait décidé de changer les serrures. Merci saint Josémaria !

S., Argentine

10 avril 2007

Comme prévu

Je suis pilote dans une compagnie aérienne allemande. J’avais à l’époque ma résidence principale à Frankfurt et j’ai demande un transfert de domicile à Düsseldorf où j’avais trouvé une maison pour ma famille : ma femme et l’enfant que nous attendions. Tout semblait bien se passer et nous étions déjà plongés dans l’installation de la nouvelle maison lorsque, pour des raisons de manque de personnel, on m’a refusé ce transfert. J’en ai parlé à plusieurs directeurs, mais personne ne comprenait mes raisons et mon affaire n’intéressait personne. Même le syndicat a refusé de m’aider. Mon seul recours était donc la prière à saint Josémaria, à qui j’ai confié cet ennui. Soudain, tout le monde a fait un effort, on a trouvé une solution et j’ai pu déménager comme prévu.

J.R., Allemagne

10 avril 2007

Prier pour tous les malades

J’ai lu un bulletin sur saint Josémaria et en voyant les témoignages de ses faveurs, j’ai été encouragé à demander au fondateur de l’Opus Dei d’intercéder auprès de Dieu le Père pour la santé de ma mère, de mes oncles et tantes et, en général, pour celle de tous les malades de la terre, nos frères.

Absalón Duarte, Colombie.

8 avril 2007

C’était bien un cancer

Tout d’abord, je tiens à présenter mes excuses à saint Josémaria pour ce retard à témoigner. Il y a trois ans ma mère a eu une tumeur et un cancer à la gorge a été diagnostiqué. Elle a été l’objet de plusieurs analyses en plusieurs centres hospitaliers. Elle a consulté un spécialiste oncologue. Nous étions très angoissés. Le jour prévu pour l’intervention, je suis allée à la chapelle de l’hôpital. J’avais sur moi l’image de saint Josémaria et je lui ai demandé très fort que maman n’ait rien de mauvais, sûre de sa puissante intercession. Dans ma tête j’imaginais le pire, j’étais angoissée. En effet, l’équipe médicale n’avait pas encore mesuré l’étendue du mal. Mais j’avais la foi, et je priais saint Josémaria avec tellement de force qu’à la fin de l’opération, les médecins ont dit qu’il ne s’agissait que d’un problème à la tyroïde. Deux jours après, elle était déjà à la maison parmi nous. Les médecins ne savent pas expliquer ce qui s’est passé parce que toutes les analyses et biopsies montraient bien qu’il s’agissait d’un cancer. Je rends grâces à saint Josémaria pour cette faveur et pour tant d’autres.

Maria La Torre, Pérou

7 avril 2007

Sans trop y croire

L’un des amis avec lesquels j’étais en France venait d’égarer son portefeuille. Nous avons cherché une et mille fois dans la voiture que l’on nous avait prêtée. J’ai prié saint Josémaria avec l’oraison de son image, sans trop y croire, il est vrai. Je lui ai demandé que ce portefeuille apparaisse, avec tous les documents, si possible. Deux jours après avoir rendu la voiture à son propriétaire, j’ai reçu un e-mail où il me disait avoir trouvé le portefeuille, bien en vue, dans son véhicule. Voilà une petite faveur dont je suis très reconnaissant, ce qui me porte à l’écrire.

Carlos Chiclana, Espagne

3 avril 2007

Différemment à ce que j’avais prévu

J’ai un travail professionnel sur internet. Rien ne marchait aujourd’hui et j’étais au bord du désespoir. J’ai intensément prié saint Josémaria pour que mon instrument de travail fonctionne. Après une pause de deux heures, j’ai réessayé et n’ai pas pu me connecter. « Il ne m’a pas accordé cette faveur », me suis-je dit, très déçue. Mais j’ai tout de suite réalisé que j’avais un ancien logiciel qui pouvait sans doute m’être encore utile. Et ça a marché ! J’ai dû donc admettre que Dieu m’avait été bel et bien accordé cette faveur par l’intercession du fondateur de l’Opus Dei, mais différemment.

A.ST., Allemagne

30 mars 2007

De Cuba

Je vis à Cuba. Grâce à un ami, j’ai eu Chemin, ouvrage du fondateur de l’Opus Dei. J’ai commencé à le lire et à le méditer et ma vie a changé. Ma foi est devenue plus engageante et je sais désormais que Dieu est un Père, que j’ai au ciel un bon parrain, Josémaria. J’essaye de vivre tous les jours la minute héroïque à mon lever, je suis plus ordonné et j’ai assumé ma vie de foi. Si vous en avez l’occasion, lisez ce beau livre. Il vous aidera beaucoup. Quant à moi, je le porte sur moi partout où je vais. Merci !

Lester, Cuba

29 mars 2007.

Elle est sortie du coma

Il y a deux ans, ma fille Roxana était dans le coma dans un hôpital de la ville de Chiclayo. Elle avait peu de chances de s’en sortir. Elle avait 31 ans. Quinze jours après son hospitalisation, j’étais à l’entrée de la cathédrale où j’assistais attentivement à la messe de 7 heures. J’ai eu l’impression que quelqu’un, à ma gauche, me regardait. Je ne me suis pas retourné pour ne pas me distraire à la messe, mais, soudain, je n’ai pas pu m’empêcher de tourner la tête vers l’endroit d’où il me semblait que quelqu’un m’observait. Mes yeux sont tombés sur un énorme poster de saint Josémaria Escriva. Je lui ai dit qu’après la messe, j’allais lui demander d’intercéder pour nous, mon épouse ne croyant plus que notre fille puisse s’en sortir. Je lui ai dit : demandons à ce saint d’intercéder devant Dieu le Père pour notre fille. Et nous l’avons fait. Le soir, je suis allé tout seul à l’hôpital, ma femme ne voulant plus rien savoir, et, Dieu merci, ma fille allait mieux. Le lendemain, j’ai cherché partout une image ou une photo du fondateur de l’Opus Dei et je n’en ai trouvé nulle part. J’ai été très surpris lorsque ce soir-là j’ai été au chevet de ma fille et qu’elle m’a reçu, les yeux déjà ouverts. Les patients étaient séparés par des cloisons vitrées et sur l’une d’elles il y avait une image de saint Josémaria. Je ne l’avais jamais vue auparavant et j’ignore qui l’avait collée à cette vitre. Il est devenu mon patron, mon guide et mon appui en tout. Gloire à saint Josémaria.

J.A.S., Pérou

28 mars 2007

Mais, à quel saint t’es-tu vouée?

J’étais désespérée : trouver du travail était un véritable parcours du combattant et je souffrais trop moralement et physiquement. Il me fallait surmonter un obstacle : « le manque d’expérience » puisque je suis jeune diplômé de l’université. Le diplôme professionnel est insuffisant pour trouver du travail, c’est invraisemblable. Un beau jour, grâce à de grands amis, j’ai connu saint Josémaria. J’ai cherché à en savoir davantage et commencé à le prier, avec une neuvaine. Juste avant la fin, j’ai vu les fruits de la miséricorde infinie de Dieu. J’ai reçu quelques coups de fil qui m’ont redonné espoir bien qu’ils ne correspondaient pas à ce que je cherchais. Au bout de presque un mois de prière quotidienne et de démarches, j’ai trouvé le travail tant attendu. Grâce à Dieu, à mon ange gardien et, bien entendu, à saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, j’ai frappé à la bonne porte : une merveilleuse entreprise à tous les niveaux. J’en parlais récemment à une amie qui, impressionnée par les bonnes conditions de ce travail, me demanda : mais, à quel saint t’es-tu vouée ?

A.V.M., Mexique

25 mars 2007

L’appareil a émis un signal

Il y a six mois j’ai eu un deuxième infarctus aigu du myocarde lorsque j’étais chez moi. L’équipe des urgences, médecin et infirmières, est arrivée et l’électrocardiogramme n’a émis aucun signe. Le temps passait, l’équipe était tenue de faire cet examen avant de me conduire à l’hôpital et ma femme est allée chercher une image de saint Josémaria, qui avait été placée sur sa tombe à Rome. Elle appliqua cette image sur une partie de mon corps et immédiatement l’appareil a émis un signal. L’infarctus était évident. Déjà hospitalisé, j’ai eu un arrêt cardiaque et les médecins n’étaient pas très sûrs de pouvoir me réanimer. J’ai encore dépassé ce cap et, déjà en soins intensifs, l’équipe n’était pas non plus très optimiste quant à ma récupération. Mon épouse a de nouveau placé l’image sur mon corps et j’y ai déposé un baiser. Peu de jours après, j’ai subi quelques petites interventions chirurgicales et j’ai beaucoup amélioré. Je remercie saint Josémaria pour son intercession auprès de Dieu et je le prie aussi tous les jours pour des connaissances qui en ont besoin. La prière à saint Josémaria avait déjà fait du travail chez mes enfants et dans mon couple.

M.M.C., Espagne

30 mars 2007

Il est toujours près de moi

J’ai eu une image de saint Josémaria que m’a offerte une amie et qui m’a encouragée à connaître sa vie et ses enseignements. Il est vraiment toujours près de moi.

J’écris aujourd’hui en reconnaissance pour toutes les faveurs que j’ai reçues par son intercession. À 42 ans, alors que j’avais deux enfants de 12 et 10 ans, je suis tombée enceinte. Comme j’étais inquiète, j’ai prié Dieu par l’intercession de saint Josémaria. Je me suis rendue à l’hôpital pour une visite de contrôle et on m’a proposé un examen permettant de voir si l’enfant était normal. J’ai refusé de le faire parce que j’étais prêtre à l’accueillir comme il viendrait. J’ai toujours prié pour que tout aille bien car il y avait un risque de fausse couche à tout moment. À l’accouchement, j’avais sur moi une image du fondateur de l’Opus Dei. L’infirmière qui l’a vue m’a demandé qui c’était et je lui ai dit qu’il s’agissait d’un saint qui me faisait beaucoup de faveurs. J’ai eu une petite fille que j’ai recommandée à saint Josémaria. À quatre ans, elle a eu une infection importante au rein. Je suis allée aux urgences, elle avait beaucoup de fièvre. Le docteur m’a dit que c’était sérieux et moi je n’ai jamais arrêté de la confier au fondateur. Elle a été soumise à un examen radioactif qui n’a pas permis de voir comment fonctionnait son rein mais qu’on ne pouvait plus répéter parce qu’il pouvait endommager d’autres organes. J’ai dit la prière de l’image en demandant à saint Josémaria de prendre tout en main. Peu de jours après ma fille allait bien. Un an après, on lui a de nouveau fait cet examen. Il n’y avait plus de problème. Je sais toujours que saint Josémaria veille sur elle puisque je l’a lui ai confiée.

L’an dernier, vers le mois de juin, mon aîné m’a appelée, il pleurait : maman, prie ce saint qui te fait tant de faveurs. Sa fiancée, diabétique, était aux urgences. Elle avait eu un malaise et perdu connaissance. Les analyses n’étaient pas bonnes. Le pancréas ne fonctionnait pas correctement et il fallait l’opérer. Je me suis mise tout de suite à prier saint Josémaria, je savais qu’il allait m’écouter. Je n’ai pas perdu la paix. Deux jours après, les examens étaient bons. Qui plus est, depuis, elle n’a plus besoin d’insuline ni de médicaments pour contrôler le diabète. Elle n’a qu’un régime alimentaire. Je sais que tout cela est une faveur du fondateur de l’Opus Dei.

L’an prochain, nous comptons aller à Rome pour le remercier pour tout ce qu’il fait pour notre famille.

E.O.Z., Espagne

23 mars 2007

Je sais que saint Josémaria m’a écouté

J’habite sur la rive du lac de Chapala. L’un de mes frères, marié, vient d’avoir son deuxième enfant. Pour des raisons diverses, il traversait un mauvais moment et a été amené à prendre une série de décisions très dangereuses. C’est la raison pour laquelle j’ai commencé à prier saint Josémaria pour lui, de façon pressante. J’ai eu une discussion très forte avec lui, nous nous sommes disputés. Je suis l’aîné et j’ai dû lui demander pardon parce que je m’étais emporté et l’avais fait souffrir. Je lui ai dit combien j’aimerais être un meilleur frère pour lui. Il s’est calmé et est revenu en arrière sur les décisions qu’il avait prises. Je sais que saint Josémaria m’a écouté. Aujourd’hui mon frère vient de demander à maman de l’accompagner à la paroisse, il voulait y trouver le curé. Je vous demande de prier pour que mon frère finisse par s’approcher définitivement de Dieu.

J.C.G., Mexique

22 mars 2007

Il a été à côté de Cielito durant tout le traitement

En novembre 2002, lorsqu’elle allait avoir juste deux ans, ma petite nièce Cielito a eu une leucémie. Pour placer le cathéter et pouvoir procéder à une chimiothérapie, il fallut l’opérer. Cette intervention eut lieu le 20 mars 2003 et dura trois heures. Le lendemain, elle eut une poussée de fièvre, elle était abattue et triste. La fièvre ne la quitta que deux jours plus tard mais la nuit du 24 mars elle reprit de plus belle. Sa maman prit l’image du fondateur de l’Opus Dei et commença à le prier avec ferveur. Soudain, elle sentit une brise fraîche venant de la porte et reprit la température à Cielito. Elle avait totalement chutée. […] Nous savons que le fondateur de l’Opus Dei a été près d’elle non seulement en cette nuit-là, mais tout au long de son traitement de trois ans. Elle est actuellement rétablie. Nous comptons toujours sur l’aide de saint Josémaria.

G.B.T., Mexique

22 mars 2007

L’enfant s’est réveillé

Bonjour, les amis de saint Josémaria… Je suis médecin pédiatre dans un hôpital de Lima. Je veux partager avec vous un grand miracle du fondateur de l’Opus Dei. Il y a un mois j’ai appris qu’un petit de deux ans et 11 mois, fils de l’une de mes amies, était très malade : une encéphalite virale. Il était dans le coma, entubé et connecté à un appareil respiratoire. Le docteur avait peu d’espoir de le guérir, vu son état et que le scanner laissait voir que le cerveau était atteint. Cependant, avec ma grande dévotion à saint Josémaria Escriva, je savais qu’il y avait un espoir. J’ai donc pris l’une de mes images de saint Josémaria et l’ai offerte à mon amie. Je lui ai demandé de prier avec beaucoup de foi et d’avoir confiance en lui. Vingt jours plus tard, l’enfant s’est réveillé et a commencé à récupérer bien qu’il ait encore quelques séquelles dues à la gravité de son état. Le 24 mars prochain, le petit Santiago aura trois ans et je veux vous demander de prier avec moi et sa maman pour que sa croissance soit normale et qu’il puisse connaître saint Josémaria et l’ait toujours présent dans sa vie, comme il est dans la nôtre. Que Dieu vous bénisse.

N.A., Pérou

21 mars 2007

D’excellents rapports

Je dois de nombreuses faveurs à saint Josémaria mais je tiens à vous raconter celle-ci. Devenus propriétaires pour la première fois, (encore une faveur), mon mari et moi avons déménagé il y a neuf ans et nous avons eu la surprise de constater que nos voisins les plus proches étaient un peu spéciaux. Nous étions aimables et courtois avec eux et cependant ils ne nous adressaient pas la parole, pas plus à nous qu’aux autres d’ailleurs. Dès que nous avions des problèmes de copropriété, ils étaient toujours un obstacle. C’était fort désagréable. J’ai donc décidé de demander à saint Josémaria de « s’y mettre » et j’ai commencé par une prière quotidienne. Un beau jour, alors que nous changions une citerne d’eau chez nous, ils m’ont demandé de faire très attention. Nous avons commencé à parler et depuis, ils ont complètement changé. Nos rapports sont désormais excellents. Ce sont les meilleurs voisins que nous n’ayons jamais eus : aimables, respectueux, solidaires, prêts à donner un coup de main, ils gâtent nos enfants, nous sommes les seuls à savoir qu’ils vont s’absenter et nous leur gardons la maison. Ils font de même avec nous lorsque nous partons en vacances. Grâce à saint Josémaria, la situation s’est renversée : il nous a aidé à vivre la charité avec nos voisins et à apprendre à nos enfants à faire de même.

M. H., Argentine

17 février 2007

Jour après jour, heure après heure, instant après instant

Depuis mes 14 ans, – j’en ai maintenant 26—, j’ai entendu parler chez moi de celui que j’appelle « monseigneur ». avec beaucoup de respect. À partir de 15 ans, j’ai eu des images avec son visage et sa prière. Il a été d’abord ‘serviteur de Dieu’, puis ‘bienheureux’ et ensuite ‘saint’. À un moment donné (en 2002, je crois) mon neveu a eu une appendicite et a été hospitalisé. Les médecins de service nous ont fait comprendre que l’opération était délicate et qu’il pourrait en garder des séquelles sur sa jambe gauche. Ma foi m’a poussé à le recommander à saint Josémaria Escriva et l’opération s’est très bien déroulée. Nous jouons maintenant au foot ensemble sans aucun problème… Par la suite j’ai commencé à travailler dans une université privée de mon pays, après une convocation à entretien suite à laquelle on devait m’appeler. J’ai tout confié à saint Josémaria et cela fait quatre ans que je fais partie de l’équipe de cette université. Jour après jour, heure après heure, instant après instant, je sanctifie mon travail et je lui suis reconnaissant pour tout ce qu’il a fait pour moi et ma famille…

José Quisquinay, Guatemala

12 février 2007

Il m’aide à être un bon professionnel

Gloire à Dieu ! J’ai trouvé l’esprit de l’Opus Dei dans ma période d’étudiant. L’un de mes camarades vivait dans cet esprit. Puis, à un moment donné, tout a changé dans ma vie : sans travail, tout m’était pénible. Cependant je n’ai jamais laissé tomber le chapelet et je tiens à dire à tous ceux qui sont troublés de ne jamais laisser la récitation du rosaire. La Sainte Vierge nous aide toujours et au moment voulu puisqu’Elle connaît bien notre vie et ce qui est le mieux pour nous. Grâce à l’intercession de la Sainte Vierge, j’ai trouvé du travail. Ce fut dur au début. Mais je me suis procuré Chemin, Sillon et Forge, ouvrages de saint Josémaria que je médite quotidiennement. Je vis désormais en syntonie avec cet esprit qui m’aide à être un bon professionnel et j’ai l’intention de demander l’admission d’ici peu dans l’Opus Dei. Mais il faut encore que je sois mieux préparé spirituellement. L’amour du Christ l’emporte toujours.

Marek, Pologne

7 février 2007

Tout est résolu

Je publie mon témoignage en remerciant saint Josémaria pour son intercession devant le Seigneur. Après avoir fait une neuvaine, tout est résolu : j’avais un problème assez grave dans mon travail. Comme je le lui avais promis, j’envoie tout sur sa page. Merci beaucoup.

Carlos, Espagne

2 février 2007

Quelque chose brillait sur une marche

Jeudi 14 août 2003, Juan Antonio, mon mari, et ma fille Monica sont partis à la piscine de notre lotissement. Il avait oublié d’enlever son alliance. En rentrant de la piscine, il réalisa qu’il ne l’avait plus à son doigt. Il était sûr de l’avoir laissé tomber dans l’eau. Il est parti la chercher. J’ai pris l’image du fondateur de l’Opus Dei et j’ai fait une neuvaine à la fin de laquelle le téléphone a sonné. Mon époux avait retrouvé la bague, il me dirait comment. Il est catholique mais non pratiquant, pas très croyant. Il m’a expliqué qu’arrivé à la piscine, il a tourné autour plusieurs fois puisqu’il était persuadé que l’alliance était dedans. Au bout d’un moment, il a capitulé et lorsqu’il allait rentrer, il a vu que quelque chose brillait sous une marche extérieure. Il ne pensait pas à la bague parce qu’il n’avait jamais été de ce côté. Mais, à tout hasard, il s’est approché et il a trouvé l’anneau. Cela l’a étonné que l’anneau brille et soit là. Après ce récit, je lui ai dit que dès qu’il était parti, j’avais pris l’image de saint Josémaria et m’était mise à prier. Pour moi, la façon dont il l’avait retrouvé était une preuve de l’aide du Père. Il a hésité un peu, mais a fini par être d’accord avec moi. En effet, disait-il, si la bague n’avait pas brillé, je ne l’aurais jamais retrouvée parce qu’elle était très cachée sous la marche.

D.C., Etats-Unis

4 février 2007

Un cauchemar

L’été dernier après des analyses d’urine, on m’a diagnostiqué une grave maladie. J’ai été hospitalisé. Je devais y rester deux ou trois mois. C’était juste au début des vacances et j’allais partir avec ma famille. J’ai prié saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei, et lui ai promis que je témoignerais de son intercession s’il me tirait de ce cauchemar. Soudain, le lendemain, un docteur est venu me voir pour me dire qu’il n’y avait plus de souci. Je pouvais rentrer chez moi et faire une vie normale, avec quelques petites limitations. Je suis profondément reconnaissant à ce qui est pour moi une intervention miraculeuse de saint Josémaria. J’en rends témoignage.

Francisco Valenzuela Villalobos, Espagne

1er février 2007

Tout va pour le mieux

En mai 2002 on m’a diagnostiqué un cancer du sein ainsi que l’altération d’un gène qui provoque des rechutes et diminue l’espérance de vie. J’ai donc pensé que le Seigneur m’éprouvait, que cela nous aiderait à tenir bon en famille et nous apporterait de bonnes choses. Avant le diagnostique, je me suis confiée à saint Josémaria pour qu’il m’aide à être forte et à ne pas perdre la sérénité. Et c’est ce qui s’est passé, je puis vous l’assurer. C’est grâce à son intercession que j’ai le courage de commencer à me battre contre cette maladie. Je savais qu’en 2002, année de la canonisation de notre Père, année de son centenaire et avec la confiance d’être sa fille, il ne pouvait pas ne pas intercéder pour moi. Ce fut le cas. Je suis arrivée aux Etats-Unis, dans un hôpital qui commençait à peine à étudier mon cas sur des patients ayant ce gène positif et on m’a appliqué le meilleur protocole de traitement. J’ai offert, en cette période, tous mes ennuis pour qu’il y ait de nombreuses vocations dans le monde et pour que commence le travail apostolique de l’Œuvre en Russie et dans d’autres régions lointaines. Je dois avoir que mes souffrances étaient plutôt morales. Je peux aujourd’hui vous communiquer dans la joie que je suis guérie par l’intercession du fondateur de l’Opus Dei.

Je vous écris en ce moment de l’hôpital où j’ai subi le traitement et où on l’on me fait toujours des examens. On vient de me dire que tout va pour le mieux. Je suis témoin du pouvoir et de la grandeur de la prière dans la Communion des Saints. On sent cette prière en nous. J’aimerais aussi vous dire combien cette situation m’a aidée à faire de l’apostolat et à faire connaître saint Josémaria en distribuant ses images. Je vous embrasse.

Sandra de Madrid, Honduras

30 janvier 2007.

Des réponses à temps

Bonjour, j'avais une démarche difficile à réaliser, je n'arrivais pas à joindre mon interlocuteur et j'attendais surtout sa réponse à un dossier urgent... J'ai commencé à prier avec le texte de l'image de saint Josémaria en composant le numéro de téléphone et j'ai obtenu un avis favorable au dossier! Merci mon Dieu et merci Père !

J'ai eu une autre faveur de taille, je souhaitais faire une retraite et en posant mes congés, ma chef me dit qu’il était impossible que je parte à ce moment-là et m'exposa les difficultés du service. Nous avons commencé à chercher à résoudre les difficultés, intérieurement je demandais de l'aide au Père... et finalement, tout s'est arrangé, et ma chef s'est proposée pour travailler plus pour que je puisse partir.

Helene, France

28 janvier 2007

Trois faveurs

Il y a plus de trois ans que je confiai à une comptable la régularisation ma situation fiscale et lui remis tous mes documents. Inexpérimentée, je lui ai fourni mes originaux sans en garder de copie. Je n’eus plus de contact avec elle et j’oubliai ce problème. Il y a quelques semaines j’ai été l’objet d’une amende et je me suis fait du souci car si j’étais contrôlée dans ce sens, ne pas avoir de pièces à présenter pouvait être grave. J’ai donc demandé à saint Josémaria de m’aider à récupérer ces dossiers. La première faveur qu’il m’a accordée ce fut l’adresse électronique de la comptable que quelqu’un d’autre m’a procurée. Je lui ai écrit le jour même, elle m’a appelée. Mais elle m’a dit qu’elle avait remis mes documents à quelqu’un d’autre et qu’il n’allait pas être facile de les récupérer. Le lendemain elle m’a en effet confirmé qu’elle ne les récupérerait pas. J’ai donc demandé à saint Josémaria de m’aider au moins à rester calme (je ne dormais plus depuis quelques nuits) et de ne pas avoir de contrôle officiel. La seconde faveur fut donc ma tranquillité en dépit du fait de savoir ces papiers irrécupérables. Mais, ô surprise, il y eut une troisième faveur : quelques jours plus tard, la comptable me joignit pour me dire qu’on lui avait remis mes dossiers et que nous pouvions nous rencontrer pour les étudier. J’espère toujours que je n’aurai pas de contrôle, mais je sais au moins que si j’en ai un, tout sera en règle.

Adriana, Mexique

23 janvier 2007

Un endroit sûr et agréable

Chers amis de saint Josémaria, je tenais à vous écrire pour vous rapporter quelque chose de très beau qui m’est arrivé cette semaine. Il y a quelques jours, le directeur du foyer où je suis logée m’a dit qu’il avait vendu l’immeuble et j’allais recevoir une note me demandant de déloger dans les 30 jours. Mon avenir m’inquiétait. J’ai demandé de l’aide mais même mes meilleurs amis m’ont tourné le dos. À New-York, si l’on a des revenus moyens et aucune possibilité d’emprunter, il est très dur de trouver un lieu sûr et agréable pour vivre. Peu de jours après des refus d’agents boursiers et de propriétaires, j’étais démunie et triste et j’ai commencé à perdre mon sommeil, à ne pas me concentrer au travail. J’ai appelé l’Italie et ma mère, qui a compris mon souci, m’a conseillé de prier avec elle par l’intercession de notre cher saint Josémaria et la Sainte Mère Seaton (elle dit qu’ils sont ses parents spirituels à New-York). Le lendemain, j’ai eu un coup de fil pour une place libre en foyer et je suis allée la visiter intriguée et sans trop d’espoir. Un jour plus tard, on m’a appelée pour me dire que j’avais décroché le logement et juste un jour avant la date fixée pour mon expulsion. Je n’en revenais pas : un lieu sûr et agréable, pas loin de mon travail et à un prix raisonnable. Ma nouvelle compagne de chambre est une jeune fille aimable et mon voisin le plus proche… la seule église catholique des environs !!! Réellement, je suis bénie et heureuse. Je vous embrasse très fort.

Silvana Tasca, USA

22 janvier 2007.

Suite à une neuvaine faite à saint Josémaria

Bonjour. Je vous écris pour rendre témoignage suite à une neuvaine faite à saint Josémaria. En effet, mon mari a été malade plusieurs semaines durant… les antibiotiques n’y faisaient rien… Il ne pouvait plus aller au travail. Je connaissais déjà le saint, mais un jour ma sœur m’a dit : faisons une neuvaine à saint Josémaria… J’ai alors prié avec l’image du saint via le site… mon mari a commencé à aller de mieux en mieux. Aujourd’hui, il a repris le travail et est pratiquement guéri. Je remercie donc saint Josémaria pour son intercession. Je rends aussi grâce à notre Seigneur Jésus de m’avoir écoutée.

Danièle D., Allemagne

21 janvier 2007

La perte d’un portable

Saint Josémaria était un bon père, et quel père ! J’ai toujours pensait qu’il aimait à se mettre en quatre pour accorder des faveurs à ceux qui le sollicitaient. Je n’avais pas encore eu l’occasion de vous écrire pour vous en rapporter quelques unes. Mais ce qui m’est arrivé est si impressionnant, que je n’hésite plus.

J’ai l’habitude tous les vendredis de faire du footing avec un ami dans un parc madrilène, la Casa de Campo. Le cinq janvier dernier, nous rentrions après avoir fait notre parcours habituel. J’ai demandé à mon ami de prolonger la course pour être en meilleure forme et prendre encore un peu de soleil. Il a refusé, en me proposant de rentrer par le chemin le plus court en accélérant notre rythme, pour accroître notre travail physique. J’ai donc commencé à courir sur un raccourci au terrain dénivelé et 20 minutes avant d’arriver chez moi, je me suis aperçu que je n’avais pas mon portable. Il était sans doute tombé dans l’une de mes descentes. Nous savons tous que ce qui est précieux dans ce « petit engin » c’est bien l’information qu’il contient plus que l’appareil lui-même. Le mien n’est pas de grande valeur. Je dis à mon ami de m’accompagner pour m’aider à le chercher parce que j’étais sûr de l’avoir égaré dans l’une des pentes. Il en fut agacé cependant nous sommes revenus au pas de couse là où je pensais l’avoir laissé tomber. Il va sans dire que dans ce trajet, j’ai prié saint Josémaria pour qu’il nous aide à le trouver, tout en accélérant le pas pour arriver sur les lieux le plus vite possible. Au bout du raidillon, nous avons fait presque quinze mètres en arrière et mon ami m’a montré du doigt le portable par terre. – Le voilà. Je lui ai demandé s’il avait prié pour qu’on le trouve. - Pas du tout, j’étais agacé parce que cela me faisait perdre mon temps.

Je lui ai avoué que j’avais prié saint Josémaria et que je le remerciais pour cette faveur si évidente en ce début 2007. Je me disais que si pour un portable égaré, saint Josémaria répondait au quart de tour, que ne ferait-il pas devant les besoins plus pressants ou urgents que nous avons tous : notre progrès dans la foi, notre intimité avec Jésus-Christ, le service de l’Église, nos relations conjugales, l’apostolat, la fidélité à notre vocation…

Il y a un dicton chez nous qui dit que celui qui sait trouver un bel arbre peut profiter d’une bonne ombre. Je suis de plus en plus convaincu que chercher l’appui de saint Josémaria dans tout nos besoins est très rassurant.

José Manuel Liste Pérez, Espagne

5 janvier 2007

Petite faveur, mais évidente

Pour faire un travail précis, j’ai enlevé les deux bagues auxquelles je tiens beaucoup et les ai mises dans la poche de mon pantalon. Or je n’en ai retrouvé qu’une. Je n’en revenais pas. Je me suis mise immédiatement à chercher la deuxième en disant la prière à saint Josémaria. Je venais de la terminer lorsque je l’ai retrouvée dans un endroit peu visible. C’est une petite faveur, mais évidente à mon avis. Merci, Père.

A.St., Allemagne

5 janvier 2007