Recueil de témoignages pour l’Année de la Foi

L’Année de la Foi s’achève dimanche 24 novembre, en la fête du Christ Roi. Voici un recueil des témoignages de plusieurs personnes ayant découvert la joie de la foi, dont l’histoire a déjà été publiée ici. Recueil de témoignages pour l’Année de la Foi

L’Année de la Foi s’achève dimanche 24 novembre, en la fête du Christ Roi. Voici un recueil des témoignages de plusieurs personnes ayant découvert la joie de la foi, dont l’histoire a déjà été publiée ici.

Suite à un cahier clandestin. Dalia, Lituanie : " J’ai grandi à Alytus, petite ville entourée de bois et de lacs dans la région de Dzukija, au sud-est de la Lituanie.

J’ai une sœur et un frère jumeau. Dès notre plus jeune âge, maman et grand-mère nous ont éduqués dans la foi et, malgré les difficultés, elles ont veillé à ce que nous assistions tous les dimanches à la messe.

Voir la vie autrement. Mariam, Belgique : " Il m’est arrivé quelque chose qui m’a fait réfléchir. Un vendredi, j’y ai trouvé une jeune fille qui pressait son pas. « Pourquoi es-tu si pressée ? Je cherche mon manteau. Ton manteau? Et où vas-tu? Je vais à la Messe.

Je me suis dit: À la messe? Que va-t-elle chercher à la messe un vendredi soir ? »

Dieu se laissait trouver, il m’a convaincu. Francisco, Espagne : "Le 26 juillet 2011, j’allais en Pologne, avec une escale à Amsterdam. Dans un Boeing 737-800, je sommeillais dans mon siège central, en écoutant un peu de musique.."

Derrière les pages d’un livre. Lassi, Finlande : " À mon insu, je glissais sur la pente savonneuse de la voie rapide de la vie, vers la destruction de mon âme. Ceci dit, grâce aux enseignements de saint Josémaria, j’ai été en mesure de trouver une issue adéquate et de m’arrêter pour vérifier si la direction que j’avais prise était correcte. ."

Dieu déclenche toujours son plan B. Juan Carlos, Espagne : “« Être bon ne me disait vraiment rien, je pensais d’ailleurs que je l’étais déjà. Je préférais m’amuser et faire de l’argent. Mais le bon Dieu me fit comprendre que bien que n’ayant pas suivi son plan A, il avait pour moi un plan B ».

Du “christianisme sociologique” à la rencontre avec Dieu. Pedro Luis, Espagne : " Quant à moi, je réalisai combien j’étais à côté de tout et compris il y avait un Dieu tout proche avec lequel je pouvais partager mes instants de vie. Il m’avait aimé et continuait de le faire, au jour le jour."

Découverte d’un monde inconnu. Dulce Rosa, Costa Rica : " À quinze ans, je suis allée en Californie pour y poursuivre mes études secondaires. J’ai passé toute cette période de ma vie sans aller à l’église. Revenue au Costa Rica, tout a commencé à bouger : j’avais de plus en plus envie d’être près de Dieu et sa présence grandissait dans mon cœur sans trop savoir comment. "

Mon voyage vers la foi. Saida, Kenya : " Nous sommes cinq frères et sœurs et je suis la plus jeune.

Baptisés dès leur jeune âge, mes frères et sœurs ont aussi reçu les autres sacrements, avec le consentement de papa. Or quand je suis née, il s’est dit que j’attendrais l’âge adulte pour choisir moi-même d’être musulmane ou catholique.

Traduire des livres de feu . Hijung Shin, Corée : " J’étais à l’université, aux Etats-Unis, quand une amie m’offrit un exemplaire du livre Chemin. Ce fut le premier ouvrage de saint Josémaria que j’ai lu. J’ai été profondément touchée et j’ai voulu en lire d’autres. ."

Je cherchais la beauté et j’ai rencontré Dieu. Josefina, Argentine: "J’avais 25 ans. J’ai plié bagage et je suis partie à Valencia, sous prétexte d’aller préparer un Master en architecture. Je dis bien « sous prétexte » car en réalité je tenais à m’en aller, n’importe où. Je n’étais pas heureuse, j’avais besoin de changer. Je n’aurais jamais imaginé que mon changement allait être aussi radical."

Dieu dans ma vie d’épouse, de mère et de médecin. Joanna, Suède: " Mes parents ont toujours tâché d’assurer notre formation catholique et ont fait en sorte que nous rencontrions d’autres amis catholiques. La tâche n’a pas été simple pour eux compte tenu qu’en Suède il n’y a que 1% de catholiques."

Dieu vous a réservé quelque chose. María, Costa Rica: " Je suis sûre que ma mère, du haut du Ciel, est heureuse de voir qu’après tant d’années perdues, j’ai retrouvé le nord."

Quitter le brouillard. Fausta, Suisse: " Les raisonnements de mes parents que je percevais en leur bonté et leur vérité, ne me suffisaient plus. Cela engendrait fréquemment la dispute chez nous."