L’Opus Dei et les femmes

Marlies Kücking, directrice centrale de l'Opus Dei

Saint Josémaria Escriva, fondateur de l’Opus Dei :

« Bien entendu, je ne vois pas la raison qu'il y a, quand on parle du laïcat — de sa tâche apostolique, de ses droits et devoirs, etc. —, de faire une distinction ou discrimination à l'endroit de la femme. Tous les baptisés — hommes et femmes — participent également à la dignité commune, à la liberté et à la responsabilité des enfants de Dieu… Si l'on excepte la capacité juridique de recevoir les ordres sacrés — distinction qui doit être maintenue, à mon avis, pour de multiples raisons, également de droit divin positif —, j'estime qu'on doit reconnaître pleinement à la femme dans l'Église — dans sa législation, dans sa vie interne et dans son action apostolique — les mêmes droits et les mêmes devoirs qu'aux hommes »

Entretiens avec Mgr Escriva, n. 14, Éditions Le Laurier, 2002.

Saint Josémaria Escriva :

« La présence de la femme dans l'ensemble de la vie sociale est un phénomène logique et tout à fait positif et qui fait partie de cet autre phénomène, plus ample, auquel je me référais antérieurement. Une société moderne, démocratique, doit reconnaître à la femme le droit de prendre part activement à la vie politique et doit créer les conditions favorables pour que toutes celles qui le souhaitent puissent exercer ce droit. »

Entretiens avec Mgr Escriva, n. 90, Éditions Le Laurier, 2002.

Xavier Echevarria, évêque-prélat de l’Opus Dei :

«Je rends souvent grâce à Dieu quand je vois que les femmes de l’Opus Dei travaillent dans tous les secteurs de la société. Elles gèrent des coopératives et des hôpitaux, travaillent dans les champs et les usines, sont titulaires de chaires universitaires et enseignent à l’école ; elles sont juges, politiciennes, journalistes, artistes…, d’autre se dévouent exclusivement et avec autant de passion et de professionnalisme au travail du foyer. Chacune suit son propre chemin, consciente de sa dignité, fière d’être une femme, et gagne le respect de tous, jour après jour ».

Extrait d’un entretien publié dans El Mercurio (Chili), 21 janvier 1996.

Professeur Élisabeth Fox-Genovese :

« L’Opus Dei détient un record enviable en matière d’éducation des pauvres et d’encouragement des femmes, qu’elles soient célibataires ou mariées, à accomplir les occupations qu’elles ont choisies. Finalement, l’Opus Dei existe pour apporter à tout travail – du plus humble au plus prestigieux – dont notre monde dépend, dignité et respect, sainteté et sens».

Extrait d’une communication du 3 janvier 2004.

Maria Valdeavellano, secrétaire régionale de la Prélature aux États-Unis :

« Les femmes jouent un rôle dans le gouvernement de l’Opus Dei à chaque niveau – local, national et international — y compris pour l’élection du Prélat ».

Extrait d’une déclaration du 14 janvier 2004.