Premier congrès de l’institut Murray Hill

Des femmes de renommée dans le milieu universitaire et d’ONG dédiées à l’amélioration de la société — parmi elles l’auteur Élisabeth Fox-Genovese et la présidente du Independent Women’s Forum, Anita Blair — ont participé aux conférences du premier congrès de l’institut Murray Hill intitulé « la femme et la transformation de la culture ». 15/03/2001

Des femmes de renommée dans le milieu universitaire et d’ONG dédiées à l’amélioration de la société — parmi elles l’auteur Élisabeth Fox-Genovese et la présidente du Independent Women’s Forum, Anita Blair — ont participé aux conférences du premier congrès de l’institut Murray Hill intitulé « la femme et la transformation de la culture ».

Plus de deux cent femmes, professionnelles et étudiantes, ont été impliquées dans des échanges animés d’idées sur le rôle de la femme dans la formation de la culture. Le congrès a eu lieu du 5 au 8 octobre 2000, à New York. Jutta Burggraf, théologienne et professeur à l’université de Navarre (Espagne), Cécile Royals, présidente du National Institute of Womanhood (Washington, D. C.) et l’éducatrice Patricia Farnsworth, fondatrice et présidente du Link Institute, ont aussi donné des conférences.

Des thèmes comme « l’éducation de la femme et la formation de la culture », « un nouveau féminisme pour le XXIème siècle, une perspective théologique », « une économie en faveur de la famille », et « la femme et son influence sur la culture » ont été traité. L’institut Murray Hill organisera un congrès annuel, qui focalisera encore son attention sur les problèmes et les défis de la femme lors du troisième millénaire.

L’institut Murray Hill se consacre à l’étude de la contribution de la femme à la société, particulièrement à travers son travail dans les milieux professionnels les plus divers. L’institut cherche à comprendre et à satisfaire les besoins de la femme qui a une profession et des étudiantes qui se préparent à s’incorporer au monde du travail. À travers des conférences, des congrès, des séminaires et des publications, l’institut essaie de promouvoir un féminisme positif. Les activités de l’institut s’inspirent de la pensée du bienheureux Josémaria Escriva, fondateur de l’Opus Dei.