En octobre 2015, je décidai un beau jour de quitter mon travail, tout en connaissant la crise et le taux de chômage très élevé au Brésil.
Mais, mal à l’aise à mon poste, j’y renonçai quand même .
J’entrepris sur-le-champ ma prière à saint Josémaria avec la neuvaine que ma belle sœur m’avait procurée. Je fus convoquée à des entretiens sans trop m’en faire, je me disais que si ça ne marchait pas c’était que j’avais mieux à espérer.
J’ai trouvé début mai dernier le travail dont je rêvais.
J’en conclus qu’il ne faut jamais perdre espoir quand c’est l’amour qui nous pousse à travailler et à ne chercher que le bien