Exhortation apostolique, Redemptoris Custos
Redemptoris Custos (Le Gardien du Rédempteur) de Saint Jean-Paul II, publiée en 1989 et dédiée à Saint Joseph, met en lumière son importance auprès de Jésus et de la Vierge Marie. Elle souligne sa mission de père nourricier, protecteur et modèle de foi et de travail humble, invitant les fidèles à imiter sa fidélité, son obéissance et sa proximité avec Dieu.
Avec Saint Joseph
Alors que nous entamons notre chemin vers la fête de Saint Joseph, jalonné par les 7 dimanches qui nous séparent encore du 19 mars, nous vous proposons quelques textes et vidéos pour apprendre à mieux connaître le patron de l’Église universelle.
Sandra, Espagne : "J'ai vécu 22 ans convaincue que Dieu n'existait pas"
Sandra n'avait pas la foi lorsqu'elle a mis les pieds pour la première fois dans un centre de l'Œuvre, où elle était invitée par une amie. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, elle est agrégée et raconte le processus de sa rencontre avec Dieu, en qui elle a vu un Père.
Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."
Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.
Inma, Espagne: "chaque décison m'a aidée à comprendre qui je suis et quelle était ma place"
Inma vive en Valencia y es la segunda de siete hermanos. Fue numeraria auxiliar del Opus Dei durante un tiempo. Tras un período de reflexión y oración, entendió que su lugar no estaba ahí: “Me costó mucho porque yo adoro la vocación de numeraria auxiliar”.
Shiró, Kenya : "Aucun homme n'est une île... Nous avons besoin les uns des autres."
Shiró est heureuse d'être entourée de gens : « J'ai besoin des autres, et sentir qu'ils ont besoin de moi me pousse à donner le meilleur de moi-même. » Cette ouverture l’a conduite à commencer des études liées à la santé, puis à l’hôtellerie et à la restauration dans son pays, le Kenya. Elle a également lancé une initiative sociale pour aider les enfants des rues. Toutes ces expériences l’ont confirmée dans sa vocation à l’Opus Dei en tant que numéraire auxiliaire.
Heloiza, Brésil : « J’ai trouvé dans la gastronomie une façon de servir et de créer du lien avec les autres. »
Heloiza est numéraire auxiliaire de l'Opus Dei depuis 34 ans. Née à Lorena, elle a déménagé à São José dos Campos avec sa mère après l’assassinat de son père lors d’un vol, alors qu’elle avait 10 ans. Sa vie a été marquée par d’autres épreuves, comme la maladie. Passionnée de pâtisserie, elle a lancé son entreprise "By Chef Helô" pendant la pandémie. Son histoire est un véritable témoignage de résilience.
Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »
Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »
Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»
Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.
Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"
Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.