Opus Dei

Alors que les Jeux Olympiques de Pékin viennent de commencer, nous vous proposons le témoignage de deux surnuméraires de l'Opus Dei, partis vivre en Chine pour raisons professionnelles.

Daniel Mwangi Mwaniki est un Kenyan installé à Almeria, en Espagne. Il a 31 ans et travaille en Andalousie pour pouvoir envoyer une aide à sa famille.

Depuis plusieurs années, Anne anime des réunions d’approfondissement de la foi à Gagny, en Seine Saint Denis.

Cecilia Gil, sociologue specialiste de la justice sociale dans le monde du travail, parle de l’influence de saint Josémaria dans sa vie.

« J’ai 82 ans, 8 enfants, 25 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants. Je suis surnuméraire depuis plus de trente ans et je remercie Dieu tous les jours pour ma vocation à l’Opus Dei et pour la vocation de deux de mes enfants. » Kay Kiernan de Dublin, Irlande.

Membre de l’Opus Dei, Alexandra est mère de famille et exerce une activité professionnelle dans le domaine de la communication.

Par cette phrase d’une humoriste connue, Isabelle Caride, 33 ans, qui vit à Murcie (Espagne), nous parle de son quotidien entre sa famille et son travail dans un supermarché. Une vie simple, qu'elle apprend à vivre sous le regard de Dieu.

Rafael Pich, père de 16 enfants, ingénieur et chef d’entreprise, est membre- cofondateur de la Fondation Internationale de la Famille et vice-président de l’International Federation for Family Development (IFFD), ONG qui a le statut de consultant auprès de l’ONU.

L’histoire du premier numéraire canadien. Chimiste à la retraite, Joe Atkinson n’aurait jamais pensé, alors qu’il arrivait à Boston en 1957 pour commencer son doctorat au « Massachusetts Institute of Technology » (MIT), que la chimie et sa foi allaient bientôt acquérir une toute nouvelle signification.

Quatre fidèles de la prélature de l’Opus Dei en Grande-Bretagne ont récemment témoigné en ligne sur leur vie dans l’Opus Dei dans un blog intitulé «Faith Column» hébergé par «the New Statesman», un magazine d’actualité.