Abondance de lumière
‘Avvenire’ quotidien italien, a publié le 23 février dernier un article de mgr Echevarria, prélat de l’Opus Dei qui parle de la vocation du chrétien à l’apostolat. Voici la traduction de ce texte.
Pourquoi aimait-il la liberté?
Saint Josémaria ne cessait de dire qu’il aimait la liberté. Il s’appuyait sur le fait que le Christ est mort sur la Croix pour obtenir pour nous « la liberté des enfants de Dieu ». Le professeur Lluis Clavell fait l’analyse de ce lien entre la liberté et la Croix.
Cornelio Fabro et Saint Josémaria Escriva
Il y a une profonde syntonie entre l’investissement de Cornelio Fabro qui, à la lumière de la philosophie réaliste et chrétienne, assume et met en valeur tout ce qu’il y a de positif dans la pensée moderne et l’attitude intellectuelle du fondateur de l’Opus Dei.
Clés théologiques de l’enseignement de saint Josémaria Escriva
Le deuxième volume de “Vie quotidienne et sainteté dans l’enseignement de saint Josémaria” vient d’être publié. Cet ouvrage des professeurs E.Burkhart et J. Lopez expose théologiquement et de façon systématique l’ensemble du message de saint Josémaria concernant la sanctification du travail professionnel et la vie quotidienne.
Ce trésor incalculabe qu'est la liberté
En quelques traits vigoureux d'un homme passionné de Dieu, Saint Josémaria trace le portrait de l’homme libre. Parce qu’il se sait enfant de Dieu et irrévocablement choisi par ce Père très aimant, l’homme retrouve en lui la force de se défaire de tout lien pour répondre aux engagements de l’amour.
Conscience chrétienne et culture politique
Voici l’exposé "Conscience chrétienne et culture politique dans les enseignements de saint Josémaria Escriva de Balaguer" que mgr Angel Rodriguez Luño, doyen de la faculté de Théologie de l’Université Pontificale de la Sainte-Croix, à Rome, a fait à l’occasion des 46èmes journées des Questions Pastorales, célébrées à Castelldaura, en Espagne, le 25 et 26 janvier 2011.
Les richesses de la foi
Article que saint Josémaria publia dans le quotidien madrilène ABC le 2 novembre 1969. Le fondateur de l’Opus Dei parle de l’amour de la liberté comme de l’un des trésors de la foi chrétienne.
Quelle fut l’attitude du fondateur face à la Seconde République ?
Le fondateur de l’Opus Dei adopta face à la IIème République une attitude semblable à celle de nombreux Espagnols de l’époque, aux différentes sensibilités.
Avait-il l’espoir d’une solution par la force?
Il n’était pas partisan de la violence : « La violence ne me semble apte ni pour vaincre ni pour convaincre » (cf. RODRÍGUEZ PEDRAZUELA, A., Un mar sin orillas, Rialp, Madrid 1999, p. 65).