Opus Dei

Nicolas et Anne-Claire ont 5 enfants et ont accepté de répondre à nos questions sur Noël

Raymond Dyssyrama Takeli a créé au Togo, en 2005, une ONG pour permettre à quelques jeunes d'aller à l'école. « Je suis surnuméraire de l’Opus Dei – explique-t-il – et l’on m’a très souvent parlé de la responsabilité des chrétiens dans la justice sociale. Alors j’ai décidé de faire quelque chose… »

Geneviève Frémont est surnuméraire de l’Opus Dei. Mère de 7 enfants, âgés de 11 à 25 ans, elle nous explique comment elle a su, au cours des années, faire de l’Avent un temps de fête et de prière en famille.

Éducateur de rue, écrivain. Bruno Leroy, qui n’est pas membre de l’Opus Dei, nous explique comment saint Josemaria l’aide dans son travail quotidien au service des plus démunis.

Sophie, 32 ans, est professeur d'histoire

Martin Frigola, jeune entrepreneur catalan, est parti en Côte d'Ivoire pour participer au développement des activités apostoliques de l'Opus Dei dans ce pays. Il raconte ici quelques-unes des initiatives prises pour aider la société ivoirienne.

Martin Frigola, jeune entrepreneur catalan, s’est installé il y a vingt ans en Côte d’Ivoire. Il nous parle des différentes « affaires » qu’il a menées dans sa vie.

Elizabeth et Christian ont 5 enfants. Ils nous expliquent chacun à leur façon, pourquoi ils ont voulu faire partie de l'Opus Dei. Ici, Elisabeth témoigne.

Mariée, mère de 5 enfants, Apolline fait partie de l'Opus Dei comme surnuméraire depuis 11 ans. Elle nous parle de son engagement, de liberté, de correction fraternelle et de finances.

Fatuma Hirsi Mohamed fait un MBA à la Strathmore Business School, une œuvre collective de l’Opus Dei au Kenya. Elle est actuellement cadre dirigeant du « Nation Media Group’s » (un groupe de communication) et présidente de la « Public Relations Society » du Kenya.