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Cardinal Stanisław Dziwisz, Cracovie. Secrétaire personnel du pape Jean-Paul II
Don Alvaro venait fréquemment déjeuner avec le saint-père. Le pape, qui aimait à s’entretenir sur différents sujets, tenait aussi à le remercier pour la participation de l’Opus Dei à la vie de l’Église. J’étais toujours frappé par sa grande responsabilité quant à la vie de l’Église, quant à l’Église elle-même. Il cherchait à étayer toutes les actions de l’Église par sa prière, par la fidélité à sa doctrine.
Monseigneur Carlos Amigo Vallejo. Cardinal emérite de Séville.
Dans sa simplicité, il était pour moi quelqu’un d’avenant, de très pieux. On était à l’aise avec lui, on ne se lassait jamais de lui parler. C’était, bien entendu, un maître, un maître pour beaucoup de choses. Je pense qu’il nous a appris à savoir échanger les uns avec les autres, à avoir une grande sérénité dans des moments difficiles. Je crois que, dans l’Église, nous devons lui en être reconnaissants.
Pat Anderson. Collaboratrice de mgr Del Portillo dans la direction de l’Opus Dei.
Je pense à son départ en Terre Sainte, en mars 1984. Il était sur le point de nous quitter et il nous apprit que Jean-Paul II voulait que l’Opus Dei s’installe au Kazakhstan. Il nous a avoué : « Mes filles, je ne sais pas comment cela va se faire, nous avons besoin d’un miracle, mais le Saint-Père y tient, nous allons donc le faire ». C’est une preuve de plus de sa vie au service de l’Église.
Vittorio Messori. Écrivain, avait interviewé don Alvaro pour son livre “Enquête sur l’Opus Dei”
Je pense à don Alvaro comme à quelqu’un de paternel, de très courtois et avenant. Je pense à lui comme à un vrai prêtre.
Joaquín Navarro-Valls. Porte-parole du Saint-Siège (1981-2006)
Don Alvaro fut constamment présent à partir du pontificat de Pie XII et jusqu’à celui de Benoît XVI. Aussi, tous les pontificats ont constamment bénéficié de la stature morale et intellectuelle de don Alvaro
Colette Kenmogne. Maîtresse de maison au Cameroun
Je suis sûre qu’il est au Ciel. En effet, il a combattu le bon combat, il nous a appris à placer le Seigneur partout., au cœur de nos activités, au sommet de nos activités. Je suis sûre qu’il mérite aujourd’hui la récompense que le Seigneur a préparée pour nous tous.
Scott Hahn. Écrivain et théologien
En survolant New-York, il aperçut la statue de la Liberté, et dit tout de suite : « En la découvrant maintenant, je me dis qu’il faudrait placer sur l’autre rive la statue de la Responsabilité ». Quant aux catholiques américains, il nous encouragea à réaliser combien il est important de communiquer avec la vérité de la Foi.