Je suis catholique, j’ai 29 ans et je suis épouse et mère à temps complet. Nous avons une exploitation de porcs, de brebis et de poulets et un chien, dans un petit village du Leatherhead, en Angleterre.
J’avais entendu parler de l’Opus Dei bien longtemps avant de le connaître personnellement. Avant qu’un ami ne m’en parle directement, j’avais beaucoup de préjugés, acceptés sans plus. Mais, au fil du temps, j’ai mieux compris et apprécié l’apostolat de l’Opus Dei qui m’a aidée à éclaircir les idées que j’avais sur la foi et permis de découvrir qu’à travers mon travail ordinaire, avec toutes ses pénibilités et avec tant de petites victoires au jour le jour, je suis en mesure de m’approcher davantage du Christ et de la sainteté à laquelle il nous appelle tous au quotidien.
Désormais je participe régulièrement aux retraites, aux récollections et aux autres moyens de formation proposés aux coopérateurs dans les centres de l’Œuvre. Ils sont très enrichissants. C’est en priant et en collaborant financièrement que je m’applique à être une bonne coopératrice.
J’ai compris que les coopérateurs sont “les parents proches” et les amis des membres de l’Opus Dei et c’est justement cela que nous prétendons être. Nous sommes bénéficiaires des biens spirituels de la Prélature et notre prière, notre aide en tout genre sont vitales pour le bien-être de cette famille.