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Mariana, Argentine : "le mieux, pour la santé d'une institution, c'est de suivre sa conscience"

Mariana, originaire de Salta, a fait des études de Communication Sociale et a travaillé comme photographe, mais elle s'est tournée maintenant vers le jardinage. Selon elle, son travail professionnel est un espace où elle peut trouver Dieu, quelle que soit la situation. Elle prend également soin de sa mère, alitée depuis qu'elle a eu un AVC, il y a deux ans.

Mon histoire

Maria José, Espagne: "Pour moi, aider les autres c'est rendre ce que j'ai reçu"

María José est avocate et vit avec son mari et son fils à Madrid. Depuis le retour du régime taliban en Afghanistan en août 2021, elle aide les femmes afghanes à trouver asile en Espagne. Après avoir commencé avec quelques personnes, elle a créé un réseau qui soutient aujourd'hui 110 familles. « La prière m'aide à intégrer tous les aspects de ma journée », dit-elle. Sa foi la pousse à s'engager à améliorer, par son travail, la réalité qui l'entoure.

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Tiago, Portugal: "Je cherche à profiter au maximum de la vie"

Tiago est originaire de Porto, il travaille comme ingénieur mécanique et adore les compétitions automobiles. À 20 ans, il a perdu son grand-père, ce qui l'a amené à se poser de nombreuses questions. Un ami, décédé dans un accident cet été-là, lui avait parlé pour la première fois de l'Opus Dei. La découverte de la prière a marqué le début d'un chemin qui l'a conduit à discerner sa vocation dans l'Œuvre en tant que numéraire.

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Laura, Gérone: "Ma mère me disait: mais sais-tu dans quoi tu t'es embarquée ?"

L'histoire de Laura Ramió Lluch est celle d'une femme passionnée par les animaux, la montagne et la recherche, qui a trouvé dans l'Opus Dei un chemin de foi et de conviction personnelle, malgré les résistances initiales de sa famille.

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Marina, Espagne : « Je veux être numéraire auxiliaire dans tout ce que je fais. »

Marina est une numéraire auxiliaire de l'Opus Dei qui s'engage dans plusieurs projets sociaux pour aider les enfants à l'hôpital, distribuer de la nourriture aux familles dans le besoin et s'occuper des personnes âgées. Sa vocation donne de l'unité à toutes ces activités et la motive à donner de manière concrète, tout en transmettant l'affection de Dieu aux autres.

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Anaca, Espagne : « J’essaie de créer de l’harmonie, comme dans une symphonie. »

Anaca est numéraire auxiliaire. Sa mission est de rassembler les personnes et de créer un sentiment de famille, en faisant en sorte que chaque individu fasse partie d'une symphonie d’harmonie et de bonheur.

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Ale, Bolivie : « J'ai pensé à ces moments où j'avais été heureuse, et je me suis souvenue de mes années à l'Opus Dei. »

Ale est une Bolivienne, mère de deux enfants, psychothérapeute et médecin. Elle a consacré une grande partie de sa vie au service social. Inspirée par l'enseignement de saint Josemaría, elle a compris que la pauvreté n'est pas seulement matérielle, mais aussi un manque d'amour et de Dieu. Avec son mari, elle a choisi de se consacrer à la réhabilitation sociale. À la mort de celui-ci dans un accident, elle a compris qu'elle devait poursuivre, soutenue par sa foi.

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Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."

Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.

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Maria Angeles, Espagne: "Je regarde un peu en arrière et je vois que j'ai une vie bien remplie "

Mª Angeles a connu l'Opus Dei par hasard, lorsqu'un professeur de son lycée lui a parlé de la possibilité de vivre dans un Centre d'étude et de travail (CET). Elle y a surtout appris trois choses : « D'abord, à concilier études et travail, à mieux utiliser mon temps, car à la maison, je ne faisais pas grand chose. Ensuite, cela m'a aidée à connaître la vie chrétienne, vécue de manière cohérente. Et la troisième chose, qui a favorisé plus tard la découverte de ma vocation, connaître l'Opus Dei de l'intérieur

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Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"

Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.

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