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Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»

Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.

Mon histoire

Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »

Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »

Mon histoire

Heloiza, Brésil : « J’ai trouvé dans la gastronomie une façon de servir et de créer du lien avec les autres. »

Heloiza est numéraire auxiliaire de l'Opus Dei depuis 34 ans. Née à Lorena, elle a déménagé à São José dos Campos avec sa mère après l’assassinat de son père lors d’un vol, alors qu’elle avait 10 ans. Sa vie a été marquée par d’autres épreuves, comme la maladie. Passionnée de pâtisserie, elle a lancé son entreprise "By Chef Helô" pendant la pandémie. Son histoire est un véritable témoignage de résilience.

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Shiró, Kenya : "Aucun homme n'est une île... Nous avons besoin les uns des autres."

Shiró est heureuse d'être entourée de gens : « J'ai besoin des autres, et sentir qu'ils ont besoin de moi me pousse à donner le meilleur de moi-même. » Cette ouverture l’a conduite à commencer des études liées à la santé, puis à l’hôtellerie et à la restauration dans son pays, le Kenya. Elle a également lancé une initiative sociale pour aider les enfants des rues. Toutes ces expériences l’ont confirmée dans sa vocation à l’Opus Dei en tant que numéraire auxiliaire.

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Inma, Espagne: "chaque décison m'a aidée à comprendre qui je suis et quelle était ma place"

Inma vive en Valencia y es la segunda de siete hermanos. Fue numeraria auxiliar del Opus Dei durante un tiempo. Tras un período de reflexión y oración, entendió que su lugar no estaba ahí: “Me costó mucho porque yo adoro la vocación de numeraria auxiliar”.

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Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."

Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.

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Sandra, Espagne : "J'ai vécu 22 ans convaincue que Dieu n'existait pas"

Sandra n'avait pas la foi lorsqu'elle a mis les pieds pour la première fois dans un centre de l'Œuvre, où elle était invitée par une amie. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, elle est agrégée et raconte le processus de sa rencontre avec Dieu, en qui elle a vu un Père.

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Pedro, Argentine : « J’ai été numéraire et je ne changerais rien à mon parcours »

Pedro est architecte, spécialisé dans les ONG. Il poursuit actuellement un master en économie urbaine. En mai, il épousera Ine. Son chemin de discernement vocationnel l’a rapproché de l’Opus Dei, institution à laquelle il a appartenu pendant quelques années et dont il garde un souvenir plein de reconnaissance : « Je ne regrette pas d’être celui que je suis aujourd’hui, et je suis ce que je suis grâce à tout le chemin que j’ai parcouru », affirme-t-il.

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Mónica, Bolivie : « Chaque changement dans la vie est une nouvelle opportunité de grandir. »

Mónica, née à Cochabamba, vient d'une famille aux origines diverses. Après des études en ingénierie agronomique à Buenos Aires, elle a poursuivi en philosophie et enseignement. Elle s'est consacrée à des projets de développement et à l'enseignement, en mettant l'accent sur sa spécialité : « le changement », car sa vie a été marquée par diverses opportunités et évolutions professionnelles.

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Eva, Espagne : le chemin de la découverte de sa vocation : "transformer les maisons en foyers"

Je suis Eva Burniol, je viens du quartier d'Horta, à Barcelone, et je suis numéraire auxiliaire. J'ai 34 ans et j'adore la montagne, courir... Ça me défoule, ça me détend. J'aime énormément la nature. J'aime lire, écrire, sortir avec mes amis... Tout ce qui touche à la mode, être à jour sur tout. Il me manque du temps !

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