Opus Dei

Mariée, mère de 5 enfants, Apolline fait partie de l'Opus Dei comme surnuméraire depuis 11 ans. Elle nous parle de son engagement, de liberté, de correction fraternelle et de finances.

Fatuma Hirsi Mohamed fait un MBA à la Strathmore Business School, une œuvre collective de l’Opus Dei au Kenya. Elle est actuellement cadre dirigeant du « Nation Media Group’s » (un groupe de communication) et présidente de la « Public Relations Society » du Kenya.

Elizabeth et Christian ont 5 enfants. Ils nous expliquent chacun à leur façon, pourquoi ils ont voulu faire partie de l'Opus Dei. Ici, Christian témoigne.

Etudiant en gestion, Tony a choisi de passer ses vacances à encadrer des séjours avec des jeunes du Club Fennecs, de Paris. Il nous parle de sa mission d'éducateur.

Carmen Diez pense au prêtre, ami de son fiancé, qui célébra son mariage. Angel Santos Ruiz et Carmen se sont mariés en 1941, et ce fut le fondateur de l’Opus Dei qui bénit leur union. Ils ont entretenu une longue amitié avec lui dont ils nous livrent quelques souvenirs.

Suite du témoignage de Céline Tendobi, médecin congolais qui essaie de mettre son art au service des plus démunis, pour les aider à vivre une vie plus humaine.

En République Démocratique du Congo, Céline Tendobi découvre sa vocation à l'Opus Dei. Elle trouve là le moyen de vivre sa foi et sa profession, la médecine. Elle se met au service des plus démunis, et contribue au développement d'un centre médical à Kinshasa.

La vie de Zhanara, originaire du Kazakhstan, a changé à Amsterdam. C’est en Hollande qu’elle a embrassé la foi catholique. Dans son cheminement de conversion, il lui a fallu « ouvrir son cœur et son esprit ».

Shahrookth Khambatta Damania nous raconte…

Luis Torres, surnuméraire de l’Opus Dei, a soixante-dix ans. C’est un retraité totalement investi dans une institution qui accueille les personnes sans domicile fixe à Gijon (Asturies)