Édition de Saint Rosaire pour les jeunes

L’ Association Infobrax a présenté le 27 juillet dernier à Arequipa, au Pérou, la quatrième édition péruvienne du livre Saint Rosaire, de Saint Josémaria Escriva.

L’ Association Infobrax a présenté le 27 juillet dernier à Arequipa, au Pérou, la quatrième édition péruvienne du livre Saint Rosaire, de Saint Josémaria Escriva. Une centaine de personnes ont assisté à cette présentation au salon Mariano Melgar de l’Université Saint-Augustin d’Arequipa. Il s’agit d’une édition illustrée, de 23 cm x 24cm, en papier couché mat, avec une couverture en carton, tirée à 1000 exemplaires, visant un public de jeunes.

Le Père Miguel Arce, aumônier du lycée Notre-Dame du Pilier, souligna la qualité littéraire de cet ouvrage qui introduit facilement le lecteur sur la voie de la piété grâce aussi aux illustrations des mystères du Rosaire.

Ce livre inclut une illustration sur la façon de dire le chapelet

Cette édition a été illustrée par l’artiste Carmen Garcia Veliz, diplômée de l’École des Beaux-Arts de Lima et sa composition a été confiée à Sandra Florian Torreblanca. Les illustrations sont faites à la peinture traditionnelle avec des crayons de couleurs et de l’acrylique sur une surface en bois de pin. Lors de cette présentation, le public a pu en apprécier quelques tableaux originaux.

Luis Enrique Cam, directeur du bureau d’information de l’ Opus Dei au Pérou a expliqué comment cette publication a vu le jour, promue par l’Association Infobrax avec la participation de la Fondation Studium.

Les commentaires des mystères lumineux, dont saint Josémaria ne connaissait évidemment pas l’existence, sont ajoutés dans cette version que Mgr Xavier Echevarria, Prélat de l’Opus Dei, introduit.

Une planche d’autocollants détachable avec différentes illustrations du livre est offerte dans chaque exemplaire.

La première édition de Saint Rosaire est de 1934. Depuis, plus d’un million d’exemplaires a été imprimé dans le monde, en plus de 30 langues. La première version péruvienne des Éditions Andina, en 1977, était une version bilingue (quechua-castillan).