L’humilité de sourire

A., USA

Le mari de mon amie était au chômage depuis plusieurs mois.

Je m’en veux de ne pas avoir suggéré plus tôt de faire la neuvaine du travail à Saint Josémaria à cette famille qui m’est si chère.

Tous les deux l’ont faite et trois jours après la fin, ils ont eu des promesses d’embauche. Le mari fut appelé à reprendre son travail dans une affaire qu’il avait quittée il y a cinq ans. Ce poste était un pas en arrière dans sa profession. Il l’a quand même accepté parce que sa famille en avait besoin.

Il était soucieux et, la veille de sa reprise, il avoua à sa femme qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir s’y faire à ce poste pour lequel il était surqualifié et avoir en plus l’humilité de sourire.

Il a décidé alors de faire la partie B de la neuvaine du travail à saint Josémaria pour lui demander de l’aider à bien travailler en cette circonstance pénible.

Il état donc au travail depuis une semaine lorsqu’il fut contacté par une autre entreprise qui lui offrait un poste bien meilleur. Il leur dit qu’il ne pouvait pas l’accepter parce qu’il venait de s’engager ailleurs. Mais son chef l’ayant appris lui conseilla d’accepter, de choisir ce qui était préférable pour sa famille, il se débrouillerait pour le remplacer chez lui. Ce couple est très reconnaissant à saint Josémaria, si généreux.