Au douzième mois de sa grossesse, l’écographie de ma femme montrait un bébé normal et en pleine forme. Dans celle de la 19ème semaine, il y avait quelque chose de peu habituel et un médecin a été consulté. On nous a demandé de revenir le lendemain pour un deuxième examen au cas où cette situation se serait normalisée pendant la nuit. L’écographie du lendemain montrait une petite boule.
Le médecin nous a dit que les images reflétaient une tumeur, un coccix-tératome. Cela peut arriver une fois sur 40.000 naissances et ce n’est pas génétique. Le rapport écrit que nous avons eu correspondait à ce que nous avons trouvé sur internet. Si l’arrivée de l’enfant devait être provoquée, il ne survivrait pas.
On nous a demandé de passer une autre écographie trois semaines plus tard pour surveiller tout cela. Le gynécologue et le spécialiste pré-natal conseillaient en effet une écographie toutes les trois semaines pour suivre le cas et voir l’effet que cela provoquait dans les organes internes, les reins, la vessie et le cœur, tout spécialement. Nous nous sommes mis tous les deux à demander à saint Josémaria d’intercéder pour nous et l’avons prié pratiquement tous les soirs.
La tumeur croissait et elle s’est stabilisée, ce fut constaté lors de la dernière écographie le 6 juin. Or, lorsque Dominic est né, le 30 juin 2003, on n’a pas trouvé cette tumeur interne. On s’attendait à la trouver au niveau de sa taille, à gauche. Là il n’y avait qu’un petit pli dans la peau. Le pédiatre et le chirurgien qui firent encore un contrôle, n’ayant trouvé aucune trace de tumeur chez l’enfant, ont dû donc annuler l’intervention chirurgicale prévue pour l’extirper.
Peu après sa naissance nous avons placé une image de saint Josémaria dans le berceau de l’enfant. Les sages femmes qui s’occupaient de Dominic et de ma femme nous posaient des questions sur cette image. Ma femme leur parlait de saint Josémaria. Nous avions aussi confié la guérison de l’enfant et sa naissance sans problèmes au Cénacle de la Prière au Coeur Immaculé et nous disions le chapelet en famille à cette intention. Les médecins continuent de dire que ce qui s’est passé n’a pas d’explications médicales.