Opus Dei

Le chemin de Croix n’est pas un acte de piété triste. Mgr Escriva a montré à maintes reprises que la joie chrétienne a des racines en forme de croix. Si la Passion du Christ est un chemin de douleur, elle est aussi la voie de l’espérance, celle de la victoire assurée

En ouvrant le Saint Evangile, songe que ce qui y est rapporté — les oeuvres et les paroles du Christ —, tu ne dois pas seulement le savoir, mais le vivre.

Tu m’as écrit : « Prier, c’est parler avec Dieu. Mais de quoi ? » — De quoi ? De Lui, de toi : joies, tristesses, succès et défaites, nobles ambitions, soucis quotidiens…, faiblesses ! actions de grâces et demandes, Amour et réparation.

Passage illustré de l’homélie "La mort du Christ, vie du chrétien"

Un matin de décembre 1931, après avoir célébré la messe, Josémaria écrit ce petit livre d’un seul jet. Il faisait passer dans ces pages sa façon de méditer les mystères de la vie de Jésus et de Marie et de réciter le chapelet.

Mon Seigneur et mon Dieu, sous le regard aimant de notre Mère, nous allons t’accompagner sur le chemin de douleur qui fut le prix de notre rachat

Saint Josémaria conseillait d’être près de la Vierge en disant le saint rosaire

‘Jésus commença dès lors à découvrir à ses disciples qu’il devait se rendre à Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des anciens, des princes des prêtres et des scribes, être mis à mort et ressusciter le troisième jour’ (Mt 16, 21).

Ils prirent Jésus et l’emmenèrent. Jésus, portant sa croix, arriva hors de la ville au lieu dit du Crâne, en hébreu Golgotha ; c’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, Jésus au milieu.

Son âme brûlait du désir de contempler le visage du Seigneur, face à face. « Seigneur, j’ai une envie folle de voir ta face, d’admirer ton visage, de te contempler...! »