Parfait? Je n'ai pas encore rencontré
Je suis Ronan, de Belfast, au nord de l'Irlande, où j'ai fait des études d'informatique et où je travaille depuis, au département de la promotion de software.
St. Josemaría et l'Obéissance
Je l'ai personnellement connu en 1974, au Chili. Je faisais partie de l'Œuvre, depuis un certain temps déjà. Je faisais des études de droit et je pense à quelque chose de précis qui m'est personnellement arrivé.
Saint Josémaria et mon travail de peintre
Ana María Balmaceda, Chilienne, artiste peintre, fit la connaissance de saint Josémaria en 1974. Elle apprit du fondateur de l'Opus Dei à faire que la foi imprègne son travail, à « laisser l'empreinte de Dieu à travers les couleurs, à toujours peindre même si l'envie n'est pas au rendez-vous. C'est là ma sanctification ».
Saint Josémaria et les parents
Monseigneur Jaime Fuentes, né à Montevideo, ancien journaliste, est docteur en théologie. En 1967 il s'installa à Rome, où il travailla auprès de saint Josémaria. Il est évêque de Minas (Uruguay)
Un guide spirituel pour notre temps
Née à Léningrad en 1947, Tatjana Gorichewa créa le premier mouvement féministe russe. Philosophe de formation, elle fut éduquée dans l’athéisme officiel du régime communiste soviétique. Après sa conversion au christianisme, elle déploya une intense activité intellectuelle qui entraîna son arrestation suivie de l’expulsion de son pays.
Une amitié de 43 ans
Monseigneur Pedro Altabella rencontra saint Josémaria au début des années 20 à Saragosse. Il évoque ici quelques souvenirs de la longue amitié qui les liait : « J’aimerais évoquer quelques traits de la riche personnalité sacerdotale du fondateur de l’Opus Dei. Je pense que les contacts fréquents que j’ai eus avec au fil de ces 43 ans m’autorisent à essayer de le faire ».
La coopération, un rêve réalisé
« Je ne rêve que de contribuer à la liberté et à la dignité de l’homme par les chemins de l’esprit. » Ces propos de saint Josémaria ont été recueillis par Manuel Aznar, grand formateur de journalistes, dans son article : « Requiem personnel de joie et d’espérance », publié dans La Vanguardia, quotidien de Barcelone, le 6 juillet 1975.
Dieu cherche à nous rendre heureux
Mary Wanjiku, du Kenya, a découvert chez saint Josémaria l'optimisme qui découle de se savoir aimé de Dieu et de comprendre que Dieu cherche à nous rendre heureux.
J’ai un ange à mes côtés. Ce fardeau n’est pas lourd
Je suis Isabel Merino. Je fais partie de l’Opus Dei depuis 25 ans, je suis mariée et j’ai quatre enfants.