EXPANSION APOSTOLIQUE DE L’OPUS DEI : UNE VISION SYNTHETIQUE

1. Première expansion en Espagne (1928-1945). 2. Expansion hors d'Espagne : premiers pays européens et américains (1946-1953). 3. De nouveaux continents : Afrique et Asie (1954-1962). 4. L’arrivée en Océanie et dans d'autres nouveaux pays (1963-1975).

1. Première expansion en Espagne (1928-1945).
2. Expansion hors d'Espagne : premiers pays européens et américains (1946-1953).

3. De nouveaux continents : Afrique et Asie (1954-1962).

4. L’arrivée en Océanie et dans d'autres nouveaux pays (1963-1975).


Lorsque saint Josémaria vit l'Opus Dei en 1928, il était convaincu qu'elle était et devait être universel(le). Cette certitude ne put se concrétiser que des décennies plus tard. Dans les lignes qui suivent, nous allons essayer de résumer comment l'Opus Dei s'est répandu aux quatre coins du monde. À cette fin, nous consacrons un chapitre à l’expansion initiale en Espagne (1928-1945), fondement de sa diffusion internationale qui commença en 1945 lorsque la fin de la seconde guerre mondiale le permit. Nous nous concentrerons ensuite sur son extension à d'autres pays.

1. Première expansion en Espagne (1928-1945)

Pendant les dix-sept premières années de son existence, l'Opus Dei ne s'est développée qu'en Espagne. Cependant, outre de nombreux autres aspects, sa destinée universelle était déjà évidente dans l'insistance avec laquelle saint Josémaria recommandait l'étude des langues aux premiers membres de l'Opus Dei. En effet, le fondateur les encourageait, et obtenait le matériel nécessaire, pour qu'ils étudient l'anglais, le français, l'allemand, et même le japonais et le russe, y compris pendant les années de la guerre civile.

De 1928 jusqu'au début de la guerre civile espagnole (1936-1939), le seul centre de l'Opus Dei fut l’Académie - Résidence DYA à Madrid, même si les personnes qui devraient se rendre à Valence étaient déjà prévues et si l'on se préparait à débarquer au-delà des Pyrénées, à Paris en France. Toutefois, le déclenchement de la guerre civile mit un terme à ces projets d'expansion (cf. Entretiens 32). Pendant les trois années de guerre, saint Josémaria concentra toutes ses énergies à parvenir au plus grand nombre de personnes possible : les jeunes membres de l'Opus Dei, les anciens résidents de DYA et les autres étudiants qui participaient aux moyens de formation de l'Opus Dei. La situation difficile créée par la guerre fit que, pendant ces années, le contact se perdit avec certains élèves et avec presque toutes les femmes qui s’étaient approchées de l'Opus Dei, et que l'Académie - Résidence DYA fut détruite. D'une certaine manière, il fallut tout recommencer.

La fin des hostilités en Espagne coïncida avec le début de la Seconde Guerre mondiale, ce qui empêcha la propagation hors d'Espagne. C’est pour cette raison que l'Opus Dei, entre 1939 et 1945, se développa principalement dans différentes villes espagnoles. De nouveaux centres virent le jour dans certaines d'entre elles : à Valence (1939), Barcelone (1940), Valladolid (1940), Saragosse (1942), Bilbao (1945) et Séville (1945), et des voyages réguliers se firent dans de nombreuses autres villes au fur et à mesure que le nombre de personnes se sentant attirées par l'esprit de l'Opus Dei augmentait.

Cependant, bien que l'expansion internationale de l'Opus Dei n'ait pas officiellement commencé, certains de ses membres se rendirent dans diverses villes étrangères ‒ surtout en Europe ‒ pour étudier ou travailler. Grâce à l'apostolat de ces personnes, l'Opus Dei commença à être connu hors d'Espagne. Ainsi, pendant cette période d'attente, à certains moments, il y eut des membres de l'Opus Dei en Italie, au Portugal, en Allemagne, en Belgique, aux États-Unis, au Danemark, en France, en Angleterre et en Suisse. Le cas le plus évident est sans doute l'Italie, puisqu'entre 1942 et 1945, José Orlandis et Salvador Canals vécurent en permanence à Rome.

2. Expansion hors d'Espagne : premiers pays européens et américains (1946-1953)

La fin de la Seconde Guerre mondiale ouvrit les frontières en Europe et permit à saint Josémaria d'entamer une nouvelle phase d'expansion internationale. Ce n'était pas facile, car l'Opus Dei était encore jeune et comptait peu de personnes. On estime qu'en 1946, il y avait 278 membres : 239 hommes et 29 femmes, presque tous d'origine espagnole (cf. IJC p. 195). Malgré ce petit nombre, le fondateur de l'Opus Dei n’hésitait pas à préparer des personnes, même si elles n'étaient qu’un petit nombre, à partir dans d'autres pays (cf. AVP, III, p. 319).

En outre, le début du travail dans de nouveaux lieux exigeait certaines démarches préalables que saint Josémaria décrivit plus tard : « Avant de partir, disait le fondateur, nous étudions toujours avec soin les circonstances du pays : ses caractéristiques particulières, les difficultés possibles, la manière la plus sûre de commencer le travail (ndt sous-entendu : apostolique), le type d’œuvre collective à commencer en premier, les moyens financiers sur lesquels nous pouvons compter, les personnes sur place avec lesquelles nous devons prendre d’abord contact, etc. Il s'agit d'un travail préliminaire, que j'ai souvent appelé la préhistoire d'une Région ; et que j'ai fait moi-même dans plusieurs pays, avec quelques-uns de vos Frères que Dieu Notre Seigneur, dans sa grande bonté, a placés à mes côtés » (AVP, III, p. 318).

L'arrivée de l'Opus Dei dans d'autres pays a demandé beaucoup d'efforts et a supposé de surmonter de nombreuses difficultés : l’adaptation des personnes à des cultures différentes, des difficultés économiques pendant des décennies, des malentendus sur l'esprit de l'Opus Dei et, parfois, un développement lent du travail apostolique. Les personnes qui ont réalisé l'expansion ont surmonté ces obstacles parce qu'elles étaient conscientes de ce que saint Josémaria leur avait enseigné : que l'Œuvre accomplissait la volonté de Dieu et que, en plus de leur vie de relation avec Dieu, il était particulièrement important d’être unis au fondateur et les uns aux autres.

a) Expansion en Europe

Les circonstances de l'Europe d'après-guerre conditionnèrent le choix des pays dans lesquels le travail apostolique pouvait commencer. Dans un premier temps, il semblait nécessaire d'écarter, en raison de leur situation politique ou économique, l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique et la Hollande, ainsi que les pays restés dans l'orbite soviétique. C'est pourquoi le fondateur décida de commencer dans les cinq nations européennes les plus favorables : Portugal, Italie, Angleterre, France et Irlande.

Le premier pays où le travail apostolique commença fut le Portugal voisin. Saint Josémaria s’impliqua directement dans la préparation préalable. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le fondateur visita plusieurs villes portugaises pour évaluer les possibilités dans ce pays. À la suite de cette visite, il fut décidé de commencer dans la ville universitaire de Coimbra par l'installation d'une résidence pour étudiants. C'est dans ce but qu'en février 1946, plusieurs membres de l'Opus Dei s'y rendirent et qu'en octobre de la même année, ils inaugurèrent la résidence universitaire de Montes Claros.

Dans le même temps, on réalisait des démarches pour démarrer en Italie. Comme dit plus haut, il y avait des membres de l'Œuvre à Rome depuis 1942. La présence de personnes de l'Opus Dei en Italie avait été motivée par la nécessité d’obtenir l'approbation sans laquelle il était difficile d'envisager une expansion internationale. Pour résoudre cette question, Alvaro Del Portillo s'était rendu à Rome le 26 février 1946 et saint Josémaria l'avait suivi quelques mois plus tard. La présence du fondateur à Rome peut être considérée comme le début du travail apostolique stable en Italie.

Les démarches entreprises à Rome pour obtenir un nouvel agrément non seulement ne ralentirent pas l'expansion, mais la stimulèrent au contraire. En décembre 1946, plusieurs membres de l'Opus Dei se rendirent à Londres pour y faire connaître l'Œuvre. Il s'agissait d'étudiants qui s'y rendirent grâce à des bourses d'études sans réussir à créer la résidence universitaire ‒ Netherhall House ‒ avant 1952. Le 24 février 1947, l'Opus Dei est reconnu comme un Institut séculier de droit pontifical. Grâce à cette configuration juridique, il devint plus facile de s'implanter dans de nouveaux pays. Ainsi, en octobre 1947, les premiers membres se rendent à Paris (France) et à Dublin (Irlande).

Le développement du travail apostolique en France fut lent. Le premier centre pour hommes fut érigé en 1952, et les femmes, arrivées en 1958 (bien qu'une française ait déjà approché l'Œuvre quelque temps auparavant), ouvrirent une résidence universitaire appelée Rouvray. En Irlande, les fruits mûrirent plus vite, et lorsque les femmes arrivèrent en 1952, plusieurs jeunes femmes avaient déjà demandé leur admission. À Londres, Paris et Dublin, les membres de l'Opus Dei qui s’installèrent étaient des étudiants de troisième cycle disposant de peu de ressources financières. La situation de pénurie dans laquelle ils vivaient faisait que, dans un premier temps, ils ne disposèrent pas des moyens matériels adéquats pour faire connaître l'esprit de l'Opus Dei.

Peu après, ce fut le tour de l'Allemagne. Les précédents immédiats dataient de l'été 1952 lorsque plusieurs membres de l'Opus Dei y avaient passé la période estivale. Cependant, le travail apostolique stable y commença en mai 1953, lorsqu’ils purent obtenir une maison à Bonn.

b) Expansion dans les Amériques

Ni la jeunesse des fidèles de l'Opus Dei ni le manque de ressources financières ne purent stopper l'expansion de l'Opus Dei dans le monde. En 1948, saint Josémaria chargea Pedro Casciaro et deux autres membres de l'Opus Dei de faire un voyage en Amérique pour sonder les possibilités d'implantation sur ce continent. Au cours de cet itinéraire de plusieurs mois entre avril et septembre 1948, ils visitèrent de nombreuses villes au Mexique, aux États-Unis, au Canada, au Chili, au Pérou et en Argentine. À son retour, Casciaro informa saint Josémaria des résultats de ses recherches, et le fondateur décida de commencer au plus vite au Mexique et aux États-Unis (cf. Cano, 2007, pp. 44-47).

À la mi-décembre 1948, Pedro Casciaro s'embarqua pour le Mexique avec deux jeunes professionnels, mais cette fois avec la détermination de rester et de commencer l'apostolat de l'Opus Dei en Amérique. Une fois trouvé un endroit pour se loger, le 6 mars 1950, des femmes de l'Opus Dei arrivèrent à leur tour. Entre-temps, en février 1949, José Luis Múzquiz et Salvador Martínez s'étaient envolés pour Chicago. Quelques mois plus tard, ils trouvèrent un emplacement pour ouvrir une résidence pour étudiants, qu'ils appelèrent Woodlawn. Les femmes arrivèrent très vite, quelques mois plus tard, au début de l'année académique 1949-1950, avec Nisa González Guzmán à leur tête.

Dans ces premiers balbutiements, bien que toujours avec l'approbation de la Hiérarchie (ndt ecclésiastique) locale, l'initiative était venue de saint Josémaria. Cependant, les évêques avaient rapidement commencé à demander à l'Opus Dei de venir travailler dans leurs diocèses. Le fondateur a toujours voulu répondre à ces demandes, comme lorsqu'il a reçu de l'évêque de Rosario (Argentine), Antonio Caggiano, futur cardinal, une demande pour que l'Opus Dei commence à travailler dans son diocèse. Saint Josémaria décida d'envoyer en Argentine Ricardo Fernández Vallespín, Ismael Sánchez Bella et Francisco Ponz, qui débarquèrent le 11 mars 1950. Ils se rendirent à Rosario, une ville universitaire, et en peu de temps, ils y installèrent une petite résidence pour loger quelques étudiants. Les femmes suivirent un peu plus tard, le 7 décembre 1952.

Outre l'Argentine, d'autres fidèles de l'Opus Dei s’installèrent dans divers pays d'Amérique latine au cours de ces années. Le 5 mars 1950, Adolfo Rodríguez Vidal se rend à Santiago (Chili) et quelques mois plus tard, le 9 novembre, les femmes de l'Œuvre arrivent. Un an plus tard, en 1951, c'est au tour de la Colombie et du Venezuela, puis, en 1953, de la capitale du Guatemala et du Pérou.

Ainsi, lors du jubilé d'argent de l'Opus Dei, le 2 octobre 1953, l’œuvre était installée de manière stable dans treize pays : cinq européens et huit américains, où six langues étaient parlées : l'espagnol, le portugais, l'italien, le français, l'anglais et l'allemand. La plupart des membres de l'Opus Dei qui vinrent dans ces lieux étaient des étudiants et dans tous les cas des jeunes. Tout comme les prêtres qui étaient eux aussi de récents ordonnés. Cependant, le nombre de membres se multiplia et, en 1950, l'Opus Dei comptait près de trois mille fidèles, dont vingt-trois prêtres (cf. IJC, p. 301).

3. Nouveaux continents : Afrique et Asie (1954-1962)

Au cours des années suivantes (1954-1962) le rythme d'expansion se maintint. La présence de l'Opus Dei s’accrut progressivement tant en Amérique qu'en Europe, aussi bien en termes de nombre de fidèles que de nouveaux pays. Cependant, la grande nouveauté de cette période fut le début du travail dans deux nouveaux continents, l'Afrique et l'Asie, lorsque certains membres de l'Opus Dei s’installèrent à Nairobi (Kenya) et à Osaka (Japon).

a) Expansion en Europe

L'Opus Dei se développait déjà dans plusieurs pays, mais saint Josémaria continuait à pousser son extension à d'autres lieux. Ainsi en 1956 elle débuta en Suisse, en 1957 en Autriche, et quelques années plus tard, en 1960, en Hollande. Il fallait également encourager la venue des femmes dans les pays où les hommes travaillaient déjà ; ce fut le cas par exemple en octobre 1956 quand, quelques femmes s'installèrent définitivement en Allemagne (cf. AVP, III, p. 321).

b) Expansion en Amérique

L'année 1954 marque le début du travail apostolique en Équateur, même si Juan Larrea vivait à Quito, la capitale, depuis 1952. Pendant ces deux années, Larrea avait fait connaître l'esprit de l'Opus Dei à ses amis (cf. Larrea, 2007, pp. 113-125). Quelques années plus tard, en 1956, c'est au tour de l'Uruguay. Et l'année suivante, en 1957, les premiers partirent pour le Brésil et le Canada. Au Brésil concrètement ils arrivèrent le 19 mars 1957 et quelques mois plus tard, le 19 septembre 1957, les femmes de l'Opus Dei arrivèrent à Rio de Janeiro.

On commença aussi au Salvador en 1958, au Costa Rica en 1959 et au Paraguay en 1962.

c) Expansion en Asie et en Afrique

En 1958, trente ans après sa fondation, il y avait des centres de l'Opus Dei dans différents pays, tant en Europe qu'en Amérique. Cependant, il fallait encore commencer sur de nouveaux continents comme l'Afrique et l'Asie. Saint Josémaria, bien que ne pouvant compter que sur peu de personnes, ne voulut pas attendre plus longtemps et accepta deux demandes provenant d'évêques au Japon et au Kenya. Dans les deux cas, il lui avait été demandé de promouvoir une institution universitaire dans leurs pays respectifs.

En effet, l'évêque Monseigneur Taguchi d'Osaka était soucieux de la christianisation du Japon et de la situation des jeunes étudiants dans son diocèse. Pendant un séjour à Rome, il en avait parlé au cardinal Ottaviani qui lui avait suggéré de contacter le fondateur de l'Opus Dei. À la suite de cette conversation, saint Josémaria décida de commencer au Japon. Quelques fidèles s'y rendirent en novembre 1958 (cf. AVP, III, pp. 355-356), et deux ans plus tard, le 15 juillet 1960, les femmes arrivèrent. À la nouveauté du démarrage en Asie s’ajoutait le fait que, pour la première fois, des fidèles de l'Opus Dei allaient travailler dans un pays à faible minorité catholique (cf. Mélich, 2007, pp. 130-134).

Une demande similaire fut fondamentalement la raison pour laquelle saint Josémaria décida de commencer au Kenya. En 1957, le délégué apostolique au Kenya, Mgr Mojaisaky Perrelli, demanda au fondateur de l'Opus Dei d'envoyer des personnes pour créer une université à Nairobi. Saint Josémaria ne put refuser et proposa à quelques fidèles de l'Œuvre d’aller travailler au Kenya : en octobre 1958, ils y partirent avec pour mission de réaliser un projet éducatif universitaire, le futur Strathmore College. Les femmes y arrivèrent peu après, en juillet 1960, et créèrent une école de secrétariat, Kianda.

Parallèlement à son expansion dans le monde entier, le nombre de membres de l'Opus Dei augmentait jusqu’à dépasser les trente mille en 1960, parmi lesquels trois cent sept prêtres (cf. IJC, p. 301).

4. Arrivée en Océanie et dans d'autres nouveaux pays (1963-1975)

Au cours de cette dernière période, l'expansion vers de nouveaux pays se fit à un rythme plus modéré ; elle ne se produisit que dans cinq pays, un par continent. L'étape la plus importante, car elle signifiait la présence de l'Opus Dei sur les cinq continents, fut le début des travaux à Sydney, en Australie. En 1963, plusieurs membres de l'Opus Dei se rendirent à Sydney où ils installèrent une résidence universitaire. Deux ans plus tard, ils étaient suivis par des femmes. En 1966, le Warrane College fut inauguré.

En 1964, Escrivá de Balaguer décida de commencer dans un nouveau pays asiatique de tradition catholique : les Philippines. Le fondateur espérait qu'avec le temps, les Philippins seraient en mesure de diffuser le message de l'Opus Dei dans toute l'Asie.

Il y avait encore des pays européens où commencer. En 1965, année de la fin du Concile Vatican II, saint Josémaria sentit que le moment était venu de partir pour la Belgique. La même année, il décida également de commencer le travail apostolique dans un autre pays d'Afrique : le Nigeria. Enfin, le dernier pays où le travail apostolique a commencé du vivant de saint Josémaria fut Porto Rico, en 1969.

Dans les dernières années de sa vie, le fondateur s'attacha à consolider le travail commencé dans les différents endroits. En outre, de 1972 à 1975, il parcourut la péninsule ibérique (Espagne et Portugal) et une grande partie de l'Amérique latine, où il rencontra les fidèles de l'Opus Dei et de nombreuses autres personnes engagées dans le travail apostolique pour les conforter dans leur foi et les encourager dans leur vie chrétienne.

A la mort du fondateur en 1975, l'Opus Dei travaillait régulièrement dans trente-deux pays sur cinq continents et comptait plus de soixante mille membres de quatre-vingts nationalités.

Thèmes connexes : Allemagne ; Argentine ; Australie ; Autriche ; Belgique ; Brésil ; Canada ; Chili ; Colombie ; Costa Rica ; Équateur ; El Salvador ; France ; Grande-Bretagne ; Guatemala ; Italie ; Irlande ; Japon ; Kenya ; Mexique ; Nigeria ; Paraguay ; Pérou ; Philippines ; Portugal ; Porto Rico ; Pays-Bas ; Suisse ; États-Unis ; Uruguay ; Venezuela.

Bibliographie:AVP, III, pp. 313-365; Hugo de Azevedo, “Primeiras viagens de S. Josemaria a Portugal (1945)”, SetD, 1 (2007), pp. 15-39; Víctor Cano, “Los primeros pasos del Opus Dei en México (1948-1949)”, SetD, 1 (2007), pp. 41-64; Rafael Gómez Pérez El Opus Dei. Una explicación, Madrid, Rialp, 1992; Juan Larrea, “Dos años en Ecuador (1952-1954) : recuerdos en torno a unas cartas de san Josemaría Escrivá de Balaguer”, SetD, 1 (2007), pp. 113-125; María Estela Lara, “Dos años en Ecuador (1952-1954) ; recuerdos en torno a unas cartas de san Josemaría Escrivá”, SetD, 1 (2007), pp. 113-125; María Estela Lépori de Pithod, “El contexto histórico de la posguerra y la expansión del Opus Dei en América Latina”, in GVQ, II, pp. 119-134; Antonio Mélich, “Koichi Yamamoto (1940-1983) et les débuts de l'Opus Dei au Japon”, SetD, 1 (2007), pp. 127-157.

Fernando Crovetto