Opus Dei

Le 12 avril 1957, le Saint-Siège créait la Prélature Nullius de Yauyos , par la Bulle Apostolique «Expotulanti Venerabili», et confiait cette nouvelle Prélature à la Société Sacerdotale de la Sainte Croix.

« Des rebelles » : telle est la définition que le cardinal Julian Herranz donne du pape Jean-Paul II et du fondateur de l’Opus Dei, saint Josémaria Escriva de Balaguer.

« Les gens étaient d’origine très modeste, leur religion populaire était rattachée à la fête d’un saint, mais ils n’avaient aucune idée de ce qu’était la foi. Le baptême, oui ; mais par exemple, ils ne connaissaient pas le sacrement de pénitence. »

La prélature de Yauyos fut érigée le 2 octobre 1957 par Manuel Botas, Conseiller de l’Opus Dei au Pérou.

Développement et assistance est le nom d’une ONG de volontaires à Madrid. Les bénévoles consacrent une partie de leur temps à l’accompagnement des malades dans les hôpitaux et des personnes seules.

La liberté n'est pas seulement un droit, elle comporte une responsabilité qui engage les chrétiens à s'impliquer dans les questions de société, en proposant, dans le pluralisme, des solutions aux problèmes de chaque époque.

« Chacune est prise comme elle est, et reçoit ce dont elle a besoin », raconte Helena qui habite Les Ecoles, à Paris, une résidence pour jeunes filles dont les activités de formation chrétienne ont été confiées à l’Opus Dei.

Polonais, Michal et Joasia Magner travaillent au Canada depuis 7 ans. Michal est à 150 km du centre de l’Opus Dei le plus proche. Il n’est pas de l’Œuvre, toutefois il nous dit combien l’aide spirituelle qu’il y reçoit périodiquement l’aide à être un chrétien meilleur.

Interview de Martín Rhonheimer (Zürich, 1950), Professeur d’éthique et de philosophie politique à l’Université Pontificale de la Sainte-Croix, à Rome, à propos de son livre « Transformer le monde. L’actualité de l’Opus Dei »[1] Ce livre aborde des questions relatives au rapport entre vérité et liberté, au pluralisme social et à la sécularité de l’État.