Mark Lee, Singapour : « j’ai mis 30 ans à répondre oui à Dieu »
Mark a découvert l'Opus Dei dans les années 90, mais pendant des décennies, il a hésité à dire oui à Dieu, convaincu qu'il n'était pas prêt. Finalement, une retraite l'a aidé à comprendre que Dieu n'appelle pas les gens parfaits, mais aide ceux qu'il appelle à devenir plus saints. Aujourd'hui, en tant que mari, père, et gestionnaire de portefeuilles, il trouve sa joie dans la prière, sa force dans son travail et une plus grande présence auprès de sa famille et de son entourage.
Laura : " j'ai compris que prier, écouter mon propre cœur, c'était la même chose qu'écouter Dieu "
Laura a 31 ans et vit à Valence. Elle a appris à prier étant petite, ce qui a marqué le rythme et le contenu de ses décisions. Répondre à la vocation de numéraire a été pour elle le début d'un chemin qu'elle parcourt aujourd'hui en tant qu'administratrice dans l'Opus Dei, un domaine dans lequel elle conjugue sa passion pour créer, communiquer et prendre soin des personnes.
Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."
Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.
Juan, Mexique : Le secret d'un maçon
Comment être heureux ? Google donne 501 000 000 réponses en 0.84 secondes, toutes aussi différentes les unes que les autres. Cela fait cinquante ans que Juan travaille comme ouvrier dans le bâtiment, il vit dans la ville de Guadalajara, dans l’Etat de Mexico.Il dit qu’il a trouvé sa réponse. Voici son secret.
Shiró, Kenya : "Aucun homme n'est une île... Nous avons besoin les uns des autres."
Shiró est heureuse d'être entourée de gens : « J'ai besoin des autres, et sentir qu'ils ont besoin de moi me pousse à donner le meilleur de moi-même. » Cette ouverture l’a conduite à commencer des études liées à la santé, puis à l’hôtellerie et à la restauration dans son pays, le Kenya. Elle a également lancé une initiative sociale pour aider les enfants des rues. Toutes ces expériences l’ont confirmée dans sa vocation à l’Opus Dei en tant que numéraire auxiliaire.
Mónica, Bolivie : « Chaque changement dans la vie est une nouvelle opportunité de grandir. »
Mónica, née à Cochabamba, vient d'une famille aux origines diverses. Après des études en ingénierie agronomique à Buenos Aires, elle a poursuivi en philosophie et enseignement. Elle s'est consacrée à des projets de développement et à l'enseignement, en mettant l'accent sur sa spécialité : « le changement », car sa vie a été marquée par diverses opportunités et évolutions professionnelles.
Ana Cecília, Brésil : « J’ai découvert que mon rêve pouvait prendre une autre dimension »
De son enfance à Curitiba jusqu’à son engagement dans l’Opus Dei, Ana Cecília a suivi un cheminement de découverte personnelle. À travers la médecine et sa relation avec Dieu, elle a trouvé sa vocation : transformer des vies et donner un nouveau sens à son rêve de maternité en se mettant au service des autres.
Eva, Espagne : le chemin de la découverte de sa vocation : "transformer les maisons en foyers"
Je suis Eva Burniol, je viens du quartier d'Horta, à Barcelone, et je suis numéraire auxiliaire. J'ai 34 ans et j'adore la montagne, courir... Ça me défoule, ça me détend. J'aime énormément la nature. J'aime lire, écrire, sortir avec mes amis... Tout ce qui touche à la mode, être à jour sur tout. Il me manque du temps !
Rosaura: "Nous sommes passés des 'énergies' à la vérité du Christ"
La conversion des parents de Rosaura a radicalement changé l'atmosphère de leur foyer pendant des années. Dans sa famille, on est passé d'une spiritualité New Age à la découverte du Christ. Elle et sa mère, décédée en 2024, racontent leur retour à l'Église et leur vocation à l'Opus Dei en tant que surnuméraires.
Mariana, Argentine : "le mieux, pour la santé d'une institution, c'est de suivre sa conscience"
Mariana, originaire de Salta, a fait des études de Communication Sociale et a travaillé comme photographe, mais elle s'est tournée maintenant vers le jardinage. Selon elle, son travail professionnel est un espace où elle peut trouver Dieu, quelle que soit la situation. Elle prend également soin de sa mère, alitée depuis qu'elle a eu un AVC, il y a deux ans.









