Opus Dei

« Comme toute fête chrétienne, celle que nous célébrons aujourd’hui est, avant tout, une fête de paix. [...] Mais regardons aussi le monde: pourquoi n’y a-t-il pas de paix sur la terre? ». Saint Josémaria se pose cette question dans son homélie du 4 avril 1971, Dimanche des Rameaux.

Jaime Fuentes écrit ses souvenirs sur saint Josémaria Escriva. En effet, dans la vie de quelqu’un qui aspire à la sainteté, même le plus petit de ses gestes peut être sacré. Cette certitude l’a encouragé à publier « Lutter par amour », un petit livre avec ses souvenirs. « J’ai vécu près du fondateur de l’Opus Dei pendant dix ans, de 1964 à 1974. Au fil du temps, ces petits souvenirs sont devenus un trésor pour moi».

Lors d'une rencontre à Pampelune, en Espagne, en 1972, saint Josémaria parlait de l'importance de la lutte dans les petites choses de chaque jour, parce que "l'amour fait devenir grand ce qui est petit".

À partir des années trente, Saint Josémaria Escriva de Balaguer, avec une force inhabituelle, proclama l’appel à la sainteté, l’idée que le travail, la vie de famille et les relations sociales sont des chemins de sainteté.

La vie chrétienne est un perpétuel commencement et recommencement, un renouvellement de chaque jour.

Vois comme elle est miséricordieuse, la justice de Dieu! — La justice humaine punit celui qui avoue sa faute. La justice divine, elle, lui pardonne.

Le Seigneur compte sur nous pour rapprocher les âmes de la sainteté, pour les approcher de Lui, pour les unir à l'Église, pour étendre le règne de Dieu à tous les cœurs.

« Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. » Jésus lui répondit : « Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ’

Une grande foule s’étant amassée, et des gens étant venus de diverses villes, Jésus dit en parabole : « Le semeur sortit pour semer sa semence ; et pendant qu’il semait, une partie tomba le long du chemin, et elle fut foulée aux pieds, et les oiseaux du ciel la mangèrent […].

Commentaire du mercredi de la 5ème semaine du temps ordinaire. « Ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur." Les progrès scientifiques en médecine ont permis une connaissance toujours plus détaillée du corps humain, de ses réactions, de ce qui lui fait du bien et de ce qui lui fait du mal. Cependant, il serait utile de se demander si nous faisons au moins autant d'efforts pour avoir une âme pure que pour avoir un corps sain.