Opus Dei

Si un chrétien est prêt à jeûner, à se sacrifier pour les autres, s'il peut supporter la souffrance avec joie, c'est parce qu'il ne veut pas laisser le Seigneur seul face au poids du mal et de la souffrance du monde.

Parcours dans le temps et l'espace de la dévotion envers Notre Dame du Rosaire (fêtée le 7 octobre) marquant une pause remarquable dans la cathédrale Phat Diem, au Vietnam.

En cette période de préparation du centenaire, que nous avons commencée avec les assemblées régionales, le Prélat nous invite à réfléchir sur l'identité, l'histoire et la mission de l'Opus Dei. Cette série d’articles vise à aller au cœur du charisme à travers l'un de ses aspects essentiels : la sanctification du travail. Le présent et premier article explore la spécificité de l'Œuvre dans l'Église et développe le concept de vocation et de mission dans le contexte de la vie ordinaire.

La statue de saint Josémaria figure depuis quelques années parmi les saints fondateurs sur la façade de la basilique Saint Pierre de Rome, appelée "le bras de saint Joseph". La description de cette œuvre s'élargit sur l'évènement de la fondation de l'Opus Dei, le 2 octobre 1928 : "Saint Josémaria, ému, s’était mis à genoux, en adhésion à la volonté de Dieu. Il vit un spectacle grandiose : l’élan des chrétiens, poussés par l’Esprit, dans leur sanctification au beau milieu du monde."

« Saint Michel archange, défendez-nous dans le combat ! » Une exclamation qui retentit sous de multiples formes : musicale, picturale, et bien sûr liturgique. Comme le pape François le rappelait récemment dans une audience du mercredi : " la plus grande astuce du démon est de faire croire qu'il n'existe pas ". L'invocation de l'Archange Saint Michel nous maintient en veille pour mener le bon combat.

À l'occasion de la "journée internationale de la paix" (21 septembre) nous publions à nouveau cette réflexion sur la paix à partir de ces thèmes : heureux les artisans de la paix ; prier nous rend réalistes ; forger la paix à partir de la famille.

« Le nom de la Vierge était Marie » : contemplation théologique et artistique, à l'occasion de la fête du Saint Nom de Marie, le 12 septembre.

Seul Dieu est plus grand que notre cœur, c’est pourquoi il est le seul à pouvoir le guérir, le réconcilier jusqu’au fond.

Contemplation de la gestation et de la naissance de la Vierge Marie, aux côtés de ses parents : sainte Anne et saint Joachim.

Le 15 août, l’Église célèbre la fête de l’Assomption de Marie. «Pense à Sainte Marie, la pleine de grâce, Fille de Dieu le Père, Mère de Dieu le Fils, Épouse de Dieu le Saint-Esprit : il y a place dans son Cœur pour l'humanité tout entière sans différences ni discriminations. — Chacun est pour Elle un fils, une fille.» (Saint Josémaria, Sillon, 801). Pour accompagner notre prière, (re)-lisons l’homélie de Saint Josémaria « La Sainte Vierge, cause de notre joie ».