La plaie de l'Agneau
La plaie du cœur de Jésus souffrant certifie l'amour jusqu'àu bout, garantit la miséricorde qui rachète.
La soif du salut
"J'ai soif" : toute la soif de l'humanité semble se donner rendez-vous dans ce cri de détresse.
Un ange et un homme, consolateurs du Christ
Commentaire de l'abbé Fernandez aux tableaux de Giotto et de Titien : l'ange de l'agonie et Simon de Cyrène.
Bien vivre la semaine Sainte
La Semaine Sainte constitue l'un des sommets de la vie de l'Église, qui culmine avec Pâques. L'abbé Pégourier nous propose quelques clés pour mieux en profiter.
Gethsémani : prière et agonie de Jésus
Les récits évangéliques nous permettent repérer le lieu où Jésus se recueillit après la Dernière Cène: il sortit et à son habitude, il alla au Jardin des Olivers (Lc 22, 39): de l’autre côté du Cédron (Jn 18, 1), et, avec les Apôtres, il arriva sur le lieu dit Gethsémani (Mt 26, 36; Mc 14, 32). Ces données correspondent à un jardin avec une presse à huile qui lui donnait son nom et qui était en dehors de l’enceinte de Jérusalem, à l’est de la ville, sur la route de Béthanie.
Vivre la Semaine Sainte 2011
Quelques textes et vidéos pour vous aider à vivre la Semaine Sainte 2011. Les textes sont joints au format PDF, pour que vous puissiez les télécharger et les lire facilement.
Commentaire d’Évangile : le Christ vit
Évangile du dimanche de Pâques et son commentaire
Au fil de l’Évangile du dimanche des Rameaux
Commentaire pour le Dimanche des Rameaux (Cycle B). " Allez au village qui est en face de vous. Dès que vous y entrerez, vous trouverez un petit âne attaché (...) détachez-le et amenez-le". Jésus nous détache, comme il l'a fait pour l'âne, pour nous faire participer à sa gloire, à son abandon sans condition. C'est notre destin, notre merveilleuse aventure. Dieu avait un plan pour cet âne. De la même manière, il a un plan pour chacun d'entre nous, un plan de liberté et de gloire.
Au fil de l’Évangile de lundi saint : le parfum du cœur
Commentaire du lundi saint. "La maison fut remplie de l'odeur du parfum". Marie et Judas ont senti le même parfum : la bonne odeur du Christ. Mais le parfum qui s'échappait du cœur de chacun était très différent, tout comme leur façon d'accueillir le don de l'amour de Jésus.