Chemin
Lis ces conseils lentement. Médite avec calme ces considérations. Ce sont des choses que je te dis à l’oreille, en confidence d’ami, de frère, de père. Ces confidences, Dieu les écoute.
70 ans de Chemin
La première édition de Chemin, premier livre de saint Josémaria Escriva, considéré comme un classique de la littérature spirituelle, aura 70 ans le 29 septembre prochain. Depuis cette parution, en 1939, il a été traduit en de très nombreuses langues et son tirage dépasse les quatre millions et demi d’exemplaires. Les écrits du fondateur de l’Opus Dei s’adressent à des chrétiens courants pour les inviter à s’engager dans une relation d’amitié avec Dieu et à l’entretenir.
Notre nounou et Chemin
Elle était de Lastres, petit village de pêcheurs des Asturies. Elle s’appelait Azucena Olivar Sanchez, mais pour mes frères et sœurs et pour moi c’était notre « nounou », d’une grande efficacité pour ma mère qui n’arrivait pas à s’en sortir avec ses neuf enfants, le travail de la maison et des voyages d’affaires avec mon père qu’elle accompagnait au Mexique où il avait des entreprises.
Saint Josémaria d’après saint Josémaria
Un livre vient de paraître qui pourrait être la réponse à tous ceux qui se posent des questions sur l’Opus Dei après avoir lu le roman ou vu le film « Da Vinci Code ».
Première édition de Forge en chinois
La première édition de Forge en chinois a été publiée par les éditions ‘Spring’, en novembre dernier, lors du 80ème anniversaire de la fondation de l’Opus Dei.
Saint Rosaire
Un matin de décembre 1931, après avoir célébré la messe, Josémaria écrit ce petit livre d’un seul jet. Il faisait passer dans ces pages sa façon de méditer les mystères de la vie de Jésus et de Marie et de réciter le chapelet.
Chemin de Croix
Mon Seigneur et mon Dieu, sous le regard aimant de notre Mère, nous allons t’accompagner sur le chemin de douleur qui fut le prix de notre rachat
Aimer l’Église
Recueil de trois homélies sur des sujets d’ecclésiologie, prononcées en 1972 et 1973 par l’auteur, alors que les convulsions de l’ère post-conciliaire le faisaient souffrir terriblement. Le titre met bien en valeur l’amour filial de l’Église qui s’échappe de ces pages.