“La race des enfants de Dieu”
Enfants de Dieu. — Porteurs de la seule flamme capable d'illuminer les chemins terrestres des âmes, de la seule flamme qui ne sera jamais mêlée d'ombres, de pénombres ou d'obscurités. — Le Seigneur se sert de nous comme de flambeaux, pour que cette lumière éclaire... Il dépend de nous qu'ils soient nombreux, ceux qui ne restent pas dans les ténèbres, mais qui marchent au contraire sur des chemins qui mènent à la vie éternelle. (Forge, 1)
“Les gens parfaits on ne les trouve qu'au Ciel”
Il est plein de défauts, celui-là! Ah bon!... Mais, d'une part les gens parfaits on ne les trouve qu'au Ciel; d'autre part, toi aussi tu traînes tes défauts et, malgré tout, on te supporte: plus encore, on t'estime parce qu'on t'aime de l'amour que Jésus-Christ donnait aux siens, qui étaient d'ailleurs bien chargés de misères! — Retiens cette leçon! (Sillon, 758)
“Que jamais je ne cesse de pratiquer la charité”
Il n'est pas compatible d'aimer Dieu à la perfection et de nous laisser dominer par l'égoïsme, ou par l'apathie, dans nos rapports avec notre prochain. (Sillon, 745)
“Pardonner à tous”
Tu ne seras bon que si tu sais voir les bonnes choses et les vertus des autres. C'est pourquoi, quand tu devras corriger quelqu'un, montre-toi plein de charité, fais-le au moment opportun, et sans l'humilier; fais-le dans le souci d'apprendre et de devenir meilleur dans ce domaine où tu corriges un autre. (Forge, 455)
“Introduire le Christ parmi les pauvres”
C'est par "le sentier d'un mécontentement juste" que les masses sont parties et qu'elles sont en train de partir. Comme cela fait mal!... mais combien de gens déçus avons-nous fabriqués, parmi ceux qui se trouvent spirituellement ou matériellement dans le besoin! — Il faut introduire de nouveau le Christ parmi les pauvres et les humbles: c'est précisément chez eux qu'Il se trouve le plus à l'aise. (Sillon, 228)
“Quand tu devras corriger quelqu'un, montre-toi plein de charité”
Tu ne seras bon que si tu sais voir les bonnes choses et les vertus des autres. C'est pourquoi, quand tu devras corriger quelqu'un, montre-toi plein de charité, fais-le au moment opportun, et sans l'humilier; fais-le dans le souci d'apprendre et de devenir meilleur dans ce domaine où tu corriges un autre. (Forge, 455)
“Ne néglige pas la pratique de la correction fraternelle”
Ne néglige pas la pratique de la correction fraternelle, qui est une manifestation évidente de la vertu surnaturelle de la charité. Il en coûte! Il est tellement plus facile de ne rien faire. C'est plus facile! Mais ce n'est guère surnaturel. -Et de ces omissions, tu devras rendre compte à Dieu. (Forge, 146)
“Pratique la charité sans poser de limites”
Aime et pratique la charité, sans poser de limites, sans faire de discriminations, car c'est cette vertu qui nous distingue en tant que disciples du Maître. — Mais, sauf à ne plus être une vertu, cette charité ne peut te conduire à mitiger la foi, à limer les arêtes qui la définissent, à l'édulcorer jusqu'à la transformer, comme certains le prétendent, en quelque chose d'amorphe, privé de la force et de la puissance de Dieu. (Forge, 456)
“Apprenez à faire le bien”
Et quand tu te trouves avec quelqu'un? Vois en cette personne une âme: une âme qu'il faut aider, qu'il faut comprendre, avec laquelle il faut vivre et qu'il faut sauver. (Forge, 573)
“Aimer nos ennemis”
Nous ne sommes pas de bons frères de nos frères les hommes si nous ne sommes pas disposés à nous conduire avec droiture, même dans les cas où ceux qui nous entourent interprèteront mal notre comportement et réagiront de façon désagréable. (Forge, 460)