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Des années difficiles

”Si nous prions tous ensemble, si nous y mettons un peu de notre bonne volonté, le Seigneur nous accordera sa grâce et cette nuit noire, cette terrible nuit, passera. L’aube se lèvera et le matin regorgera de soleil”

Récits biographiques

Le concile Vatican II

Le 25 janvier 1959, lorsqu’il apprit que le concile avait été convoqué, le fondateur de l’Opus Dei montra sa joie et son espérance et commença à prier et à demander des prières “pour l’heureuse issue finale de cette grande initiative qu’est le Concile oecuménique”.

Sur cent âmes, cent nous intéressent

Saint Josémaria avait vu, le 2 octobre, que l’Opus Dei s’adressait à tout type de personnes

L’expansion

De 1946 à 1960, l’Opus Dei a commencé à travailler apostoliquement dans plusieurs pays : le Portugal, l’Italie, la Grande-Bretagne, la France, l’Irlande, les États-Unis, le Kenya, le Japon, parmi tant d’autres.

Joie, douleur, confiance

« Savez-vous pourquoi l’ Oeuvre s’est tellement développée ? Parce qu’on l’a malmenée, traitée comme un sac de blé que l’on roue de coups, mais la semence est si petite qu’elle ne s’est pas abîmée, au contraire, elle s’est répandue aux quatre vents ».

Un voyage à Rome

Le Christ, Marie et le Pape étaient les grands amours de sa vie. Il était finalement arrivé tout près du Vice-Christ, en cette nuit du 23 au 24 juin 1946.

Au service des prêtres

« J’ai commencé à prêcher beaucoup, beaucoup de retraites spirituelles — elles duraient à l’époque sept jours — dans différents diocèses d’Espagne. J’étais très jeune et j’éprouvais une grande honte.

Recommencer

Après avoir franchi les Pyrénées, il fit un court séjour à Pamplune puis il s’installa à Burgos. De là, dans l’étroitesse et les privations, dans un pays dévasté, il fit un intense apostolat.

La guerre civile d’Espagne

Dans cette guerre fratricide, il y eut aussi le déchaînement d’une forte persécution religieuse, l’une des plus sanglantes de l’histoire de l’Église.

Les Premières Années

1928, 1929, 1930... C’étaient les années où Saint Josémaria devait réaliser ce bon vouloir divin alors qu’il ne comptait ni sur des gens préparés, ni sur des moyens financiers ni sur un quelconque mécénat.