Comment peut-on assurer que saint Josémaria fonda l’Opus Dei en 1928 alors qu’à cette date l’Œuvre ne comptait sur aucun membre?
Le terme fondation a plusieurs sens. Il peut avoir un sens juridico-canonique, un sens associatif ou un sens propre aux instituts religieux.
Quelles difficultés l’Opus Dei a-t-il trouvées à ses débuts?
Au début, la nouveauté et l’originalité du message spirituel proposé par Escriva ne furent pas comprises dans certains milieux catholiques.
Pardonner
“Il faut unir, il faut comprendre, il faut pardonner. Ne dresse jamais une croix, uniquement pour rappeler que certains hommes en ont tué d'autres. Ce serait l'étendard du diable. La Croix du Christ consiste à se taire, à pardonner et à prier pour les uns et pour les autres, afin que tous obtiennent la paix”.
Quel type de personnes saint Josémaria fréquentait-il au début de l’Opus Dei?
En tant que prêtre, il s’occupait d’un large éventail de personnes, de tous les milieux sociaux.
Retransmission en direct
Le prélat de l’Opus Dei célèbrera, samedi 23 octobre, à 11h00, la messe sur l’esplanade de la bibliothèque de l’Université de Navarre. Elle sera retransmise en direct.
Quelle était la pensée politique des premiers membres de l’Opus Dei?
C’étaient, pour la plupart, de jeunes étudiants dans toutes les branches, issus de toutes les régions et aux tendances et aux sensibilités politiques très différentes.
Le pape en Espagne
En moins de 36 heures, Benoît XVI va faire plus de 4000 kilomètres pour visiter Saint-Jacques-de-Compostelle et Barcelone, les 6 et 7 novembre prochain.
Quelle fut l’attitude du fondateur face à la Seconde République ?
Le fondateur de l’Opus Dei adopta face à la IIème République une attitude semblable à celle de nombreux Espagnols de l’époque, aux différentes sensibilités.
Comblez d'amour cette terre
"Dieu nous aidera à être saints, en oeuvrant avec le sens de la justice. En remplissant de charité nos devoirs de justice, en mettant tout notre coeur à l'ouvrage".
Avait-il l’espoir d’une solution par la force?
Il n’était pas partisan de la violence : « La violence ne me semble apte ni pour vaincre ni pour convaincre » (cf. RODRÍGUEZ PEDRAZUELA, A., Un mar sin orillas, Rialp, Madrid 1999, p. 65).