Comment a-t-il assumé sa condition de prêtre durant la guerre ?
Très différemment, en fonction des circonstances extérieures diverses de ce conflit.
Pourquoi a-t-il décidé de fuir à travers les Pyrénées ?
Cette décision ne fut pas facile à prendre car en 1937 il était plongé dans un gros dilemme.
Ouverture du Synode pour les Eglises Orientales
Le 10 octobre 2010, Benoît XVI a présidé la messe concélébrée avec les Pères synodaux pour l'ouverture de l'Assemblée spéciale pour le Moyen Orient du Synode des évêques
Qui prit en charge les dépenses d’Escriva durant la guerre et qui régla la traversée des Pyrénées ?
Il faut partir d’une idée préalable : en temps de guerre la valeur de l’argent et son utilité varient au gré des circonstances.
Comment sont-ils entrés en contact avec les passeurs?
Un prêtre historien aragonais, Pascual Galindo (Santa Fe de Huerva, 1892 - Saragosse, 1990), avait réussi à joindre l’autre zone en conflit en partant de Barcelone et grâce aux services de passeurs qui s’investissaient dans les évasions de personnes à travers les Pyrénées catalanes.
'La rumeur de l'eau', séjour de saint Josémaria à Burgos
"La rumeur de l’eau. Parcours historique sur les pas de saint Josémaria à Burgos ». Ce livre a été présenté le 6 octobre en cette ville de Castille, lors du huitième anniversaire de sa canonisation.
Qui l’aida à traverser les Pyrénées? Quel fut le montant perçu pour ce service ?
L’organisation qui gérait cette évasion était composée par un groupe de personnes de Peramola (Lérida), des mas des environs.
Qui l’accompagnait en cette traversée des Pyrénées? Qui était de l’Opus Dei et qui ne l’était pas ?
Il fut accompagné de sept hommes jeunes. Certains avaient 35 ans, comme lui. C’était le cas de José Maria Albareda qui s’était incorporé à l’Opus Dei en pleine guerre civile.
Lettre du Prélat (octobre 2010)
Mgr Echevarria nous parle des Anges Gardiens, que l'Eglise fête le 2 octobre, jour choisi par Dieu pour fonder l'Opus Dei.
De quel bord étaient les premiers membres de l’Œuvre ?
Au début de la guerre, la plupart des civils espagnols en âge militaire furent enrôlés dans un camp ou dans l’autre, selon la couleur du commandement de la zone où ils se trouvaient.