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Heloiza, Brésil : « J’ai trouvé dans la gastronomie une façon de servir et de créer du lien avec les autres. »

Heloiza est numéraire auxiliaire de l'Opus Dei depuis 34 ans. Née à Lorena, elle a déménagé à São José dos Campos avec sa mère après l’assassinat de son père lors d’un vol, alors qu’elle avait 10 ans. Sa vie a été marquée par d’autres épreuves, comme la maladie. Passionnée de pâtisserie, elle a lancé son entreprise "By Chef Helô" pendant la pandémie. Son histoire est un véritable témoignage de résilience.

Mon histoire

Avec Saint Joseph

Alors que nous entamons notre chemin vers la fête de Saint Joseph, jalonné par les 7 dimanches qui nous séparent encore du 19 mars, nous vous proposons quelques textes et vidéos pour apprendre à mieux connaître le patron de l’Église universelle.

Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."

Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.

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Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»

Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.

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Exhortation apostolique, Redemptoris Custos

Redemptoris Custos (Le Gardien du Rédempteur) de Saint Jean-Paul II, publiée en 1989 et dédiée à Saint Joseph, met en lumière son importance auprès de Jésus et de la Vierge Marie. Elle souligne sa mission de père nourricier, protecteur et modèle de foi et de travail humble, invitant les fidèles à imiter sa fidélité, son obéissance et sa proximité avec Dieu.

Ale, Bolivie : « J'ai pensé à ces moments où j'avais été heureuse, et je me suis souvenue de mes années à l'Opus Dei. »

Ale est une Bolivienne, mère de deux enfants, psychothérapeute et médecin. Elle a consacré une grande partie de sa vie au service social. Inspirée par l'enseignement de saint Josemaría, elle a compris que la pauvreté n'est pas seulement matérielle, mais aussi un manque d'amour et de Dieu. Avec son mari, elle a choisi de se consacrer à la réhabilitation sociale. À la mort de celui-ci dans un accident, elle a compris qu'elle devait poursuivre, soutenue par sa foi.

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Sandra, Espagne : "J'ai vécu 22 ans convaincue que Dieu n'existait pas"

Sandra n'avait pas la foi lorsqu'elle a mis les pieds pour la première fois dans un centre de l'Œuvre, où elle était invitée par une amie. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, elle est agrégée et raconte le processus de sa rencontre avec Dieu, en qui elle a vu un Père.

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Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »

Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »

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Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."

Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.

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Pedro, Argentine : « J’ai été numéraire et je ne changerais rien à mon parcours »

Pedro est architecte, spécialisé dans les ONG. Il poursuit actuellement un master en économie urbaine. En mai, il épousera Ine. Son chemin de discernement vocationnel l’a rapproché de l’Opus Dei, institution à laquelle il a appartenu pendant quelques années et dont il garde un souvenir plein de reconnaissance : « Je ne regrette pas d’être celui que je suis aujourd’hui, et je suis ce que je suis grâce à tout le chemin que j’ai parcouru », affirme-t-il.

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