Opus Dei

Le Panthéon, comme son nom l’indique, était le temple que les Romains avaient construit en l’honneur de leurs nombreux dieux. Il fut construit, tel qu’il est aujourd’hui, sous l’empereur Adrien, entre 118 et 128.

Interview avec le numéro deux de cette prélature personnelle qui fête aujourd’hui ses 25 ans.

Dans l’Église catholique, le mois de novembre est particulièrement éclairé par le mystère de la communion des saints, union et l’entraide des chrétiens entre eux : ceux qui sont encore sur terre, ceux qui, assurés déjà de parvenir devant Dieu, se purifient des vestiges de leurs péchés au purgatoire

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.

Las prélatures personnelles sont des institutions appartenant à la structure hiérarchique de l’Église. Jean-Paul II, par la constitution apostolique Ut Sit du 28 novembre 1982, érigea l’Opus Dei en une prélature personnelle de portée internationale.

Pour de nombreux fidèles qui assistaient à la Messe d’Action de grâces le 7 octobre, Place Saint-Pierre, la visite de Sa Béatitude Théoctiste, patriarche de l’Église orthodoxe roumaine, à la fin de l’audience du Saint-Père, fut une authentique surprise.

À la fin de la messe d’action de grâces pour la canonisation de Josémaria Escriva de Balaguer, célébrée par le prélat de l’Opus Dei sur la Place Saint-Pierre, le pape Jean-Paul II reçut en audience les assistants à la canonisation.</

”Si nous prions tous ensemble, si nous y mettons un peu de notre bonne volonté, le Seigneur nous accordera sa grâce et cette nuit noire, cette terrible nuit, passera. L’aube se lèvera et le matin regorgera de soleil”

Le 25 janvier 1959, lorsqu’il apprit que le concile avait été convoqué, le fondateur de l’Opus Dei montra sa joie et son espérance et commença à prier et à demander des prières “pour l’heureuse issue finale de cette grande initiative qu’est le Concile oecuménique”.