Opus Dei

"Avec sa lance il lui ouvrit le côté" : une invitation à franchir cette Porte d'indulgence et de pardon. Ce texte nous introduit à la contemplation de la Croix du Christ, sacrement suprême de la miséricorde divine.

Première vidéo de la série "En route. Les différentes manières d’aider les autres", produite en l’année jubilaire de la miséricorde. Son but ? Seconder le désir du pape François : que les chrétiens contemplent la miséricorde de Dieu et en fassent leur style de vie.

Seigneur, pourquoi nous invites-tu à accueillir l’étranger ? Que veux-tu donc nous apprendre ? Le Prélat de l'Opus Dei développe une réponse à partir de l'exemple de la Sainte Famille et conclut par la dévotion avec laquelle nous recevons le Seigneur dans la communion eucharistique.

Penchons-nous ce mois-ci sur deux œuvres de miséricorde corporelles qui concernent deux types de pauvreté : ne pas avoir de quoi se vêtir et être privé de liberté.

Le tableau du Christ de la Miséricorde, commenté dans cet article, traduit le désir du Christ de redonner l'espérance spécialement à celui qui se sent écrasé sous le poids du péché.

Remercions le Saint-Père en actes et en prières pour ce jubilé spécial, véritable temps de grâce pour l'Église et pour le monde.

Pardonner est le propre de Dieu : une grâce à demander spécialement pendant cette année jubilaire de la Miséricorde. Nous vous proposons une neuvaine, soutenue par la méditation de textes de Saint Josémaria pour obtenir, par son intercession, la grâce de savoir pardonner.

Le commentaire du Prélat de l'Opus Dei de chaque oeuvre de miséricorde commence par la visite et le soin des malades. Comme ces jeunes qui accompagnaient saint Josémaria, nous pourrons découvrir Jésus chez les malades et les personnes démunies.

Cette année, Noël s’inscrit dans une année jubilaire de la miséricorde divine. L’Enfant est la révélation et l’ambassadeur d’une tendresse éternelle. L'Enfant Jésus appelle et Jésus adulte continue d'appeler et à changer les coeurs par la puissance de sa miséricorde.

Difficile d’entendre ces mots. Et pourtant Soleen y tient ! Nous avions fait sa rencontre à Grenoble à l’occasion d’un stage de français organisé par le Centre Lanfrey. Nous vous proposons aujourd’hui de revenir sur l’incroyable parcours qui a mené cette jeune femme de 17 ans à fuir son Irak natal avec sa famille.