Opus Dei

Un prêtre s’adresse à saint Josémaria: "Père, nous prêtres, que faire pour être profondément humains, avec notre désir d’être divins?"

Pour que tu ne les gaspilles pas, je vais te dire quels sont les trésors de l’homme sur la terre : la faim, la soif, la chaleur, le froid, la douleur, le déshonneur, la pauvreté, la solitude, la trahison, la calomnie, la prison…

Un médecin s’adresse à saint Josémaria Escriva ‘il y a des jours où le devoir professionnel nous vole tout notre temps. Que faire pour toujours me sanctifier et diriger ma maison ?’

La Confession est le sacrement du pardon de Dieu. Nous y trouvons le Christ « qui est Père et Mère » dit saint Josémaria.

La joie et la surprise de saint Josémaria furent très grandes lorsque, quelques mois après le 2 octobre 1928, le Seigneur lui fit comprendre que l’Opus Dei était aussi pour les femmes.

Qu'elle soit intense, ta dévotion pour notre Mère. Elle qui sait répondre avec tant de délicatesse aux présents que nous lui offrons. — En plus, si tu récites tous les jours le Saint Rosaire dans un esprit de foi et d'amour, Notre Dame se chargera de te conduire très loin sur le chemin qui mène à son Fils.

Père, concrètement, comment pouvons-nous quitter vivre l’« omnibus » ? Saint Josémaria répond à la question d’un prêtre, le 26 octobre 1972, à Madrid.

“Père, je suis hébreu”, dit au départ Roberto Ackerman à saint Josémaria. Le fondateur de l’Opus Dei répondit, du tac au tac, que les grands amours de sa vie étaient aussi des Hébreux.

Images d’une réunion de saint Josémaria avec des prêtres, à Pamplune en 1972

Les choses les plus simples de la vie ordinaire servent à la prière. Une soupière cassée, par exemple. Le fondateur de l'Opus Dei se voyait ainsi : comme une soupière cassée - par les péchés - mais réparée - par le sacrement de la pénitence.