Si une femme vient à lire ceci…
Saint Josémaria reprit dans son livre Chemin le passage de l’Évangile qui parle des femmes qui suivaient Jésus. “Je demande à Dieu que si une femme vient à lire ceci, elle en soit saintement jalouse, d’une jalousie qui la remplisse d’efficacité”. Voici le commentaire du professeur P.Rodriguez à cette citation. Chemin.
Exposition de photos au Guatemala
La bureau d’information de l’Opus Dei au Guatemala inaugurera l’exposition itinérante « Saint Josémaria. Son chemin au Guatemala ». Des photos, des panneaux d’information, des posters sur le fondateur de l’Opus Dei y sont exposés.
Saint Josémaria et les parents
Monseigneur Jaime Fuentes, né à Montevideo, ancien journaliste, est docteur en théologie. En 1967 il s'installa à Rome, où il travailla auprès de saint Josémaria. Il est évêque de Minas (Uruguay)
Faire attention aux autres
Cette année je vous propose des considérations à la lumière de la Lettre aux Hébreux: « Faisons attention aux autres pour nous encourager à la charité et aux bonnes œuvres » . Ces propos éclairent trois aspects de la vie chrétienne : le souci d’autrui, la réciprocité et la sainteté personnelle.
La correction fraternelle
La correction fraternelle est une remarque que le chrétien fait à son prochain pour l’aider sur le chemin de la sainteté. Jésus nous exhorte à la pratiquer. Récemment Benoît XVI a rappelé l’importance de cette manifestation de charité.
Savoir se taire, savoir parler
« Tu ne regretteras jamais de t’être tu, mais très souvent d’avoir parlé », assurait saint Josémaria qui disait par ailleurs que “l’enfer est pavé de bouches cousues” Quelques textes pour considérer la sagesse du silence et de la parole bien placée.
L’œcuménisme est d’abord une question de prière et de charité
Jutta Burggraf, théologienne décédée en novembre 2010, pensait que l’œcuménisme n’est pas seulement une affaire concernant la doctrine théologique ou la collaboration pastorale. C’est tout d’abord une question de prière et de charité.
Rendre les autres heureux
Tu me demandes ce que tu pourrais bien faire pour cet ami, afin qu'il ne se sente pas seul. — Je te redirai comme d’habitude que nous avons à notre disposition une arme merveilleuse qui résout tout : la prière... D'abord prier. Et ensuite, faire pour lui ce que tu voudrais que l'on fasse pour toi, dans les mêmes circonstances...