Opus Dei

Quand Mané Ribeiro, en surfant sur internent, découvrit l'Opus Dei, elle retrouva la paix et la joie qu'elle avait perdues. Depuis, elle tâche de «convertir tous les instants et les circonstances de sa vie en occasion d’aimer et de servir», avec la prière de l'image de saint Josémaria.

Il avait été convenu entre eux que tant que leur affaire tiendrait, il n’installerait pas de commerce textile à Barbastro pouvant être leur concurrent.

Le terme fondation a plusieurs sens. Il peut avoir un sens juridico-canonique, un sens associatif ou un sens propre aux instituts religieux.

Au début, la nouveauté et l’originalité du message spirituel proposé par Escriva ne furent pas comprises dans certains milieux catholiques.

En tant que prêtre, il s’occupait d’un large éventail de personnes, de tous les milieux sociaux.

“Il faut unir, il faut comprendre, il faut pardonner. Ne dresse jamais une croix, uniquement pour rappeler que certains hommes en ont tué d'autres. Ce serait l'étendard du diable. La Croix du Christ consiste à se taire, à pardonner et à prier pour les uns et pour les autres, afin que tous obtiennent la paix”.

C’étaient, pour la plupart, de jeunes étudiants dans toutes les branches, issus de toutes les régions et aux tendances et aux sensibilités politiques très différentes.

Le fondateur de l’Opus Dei adopta face à la IIème République une attitude semblable à celle de nombreux Espagnols de l’époque, aux différentes sensibilités.

Il n’était pas partisan de la violence : « La violence ne me semble apte ni pour vaincre ni pour convaincre » (cf. RODRÍGUEZ PEDRAZUELA, A., Un mar sin orillas, Rialp, Madrid 1999, p. 65).

"Dieu nous aidera à être saints, en oeuvrant avec le sens de la justice. En remplissant de charité nos devoirs de justice, en mettant tout notre coeur à l'ouvrage".