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Inma, Espagne: "chaque décison m'a aidée à comprendre qui je suis et quelle était ma place"

Inma vive en Valencia y es la segunda de siete hermanos. Fue numeraria auxiliar del Opus Dei durante un tiempo. Tras un período de reflexión y oración, entendió que su lugar no estaba ahí: “Me costó mucho porque yo adoro la vocación de numeraria auxiliar”.

Mon histoire

Shiró, Kenya : "Aucun homme n'est une île... Nous avons besoin les uns des autres."

Shiró est heureuse d'être entourée de gens : « J'ai besoin des autres, et sentir qu'ils ont besoin de moi me pousse à donner le meilleur de moi-même. » Cette ouverture l’a conduite à commencer des études liées à la santé, puis à l’hôtellerie et à la restauration dans son pays, le Kenya. Elle a également lancé une initiative sociale pour aider les enfants des rues. Toutes ces expériences l’ont confirmée dans sa vocation à l’Opus Dei en tant que numéraire auxiliaire.

Mon histoire

Heloiza, Brésil : « J’ai trouvé dans la gastronomie une façon de servir et de créer du lien avec les autres. »

Heloiza est numéraire auxiliaire de l'Opus Dei depuis 34 ans. Née à Lorena, elle a déménagé à São José dos Campos avec sa mère après l’assassinat de son père lors d’un vol, alors qu’elle avait 10 ans. Sa vie a été marquée par d’autres épreuves, comme la maladie. Passionnée de pâtisserie, elle a lancé son entreprise "By Chef Helô" pendant la pandémie. Son histoire est un véritable témoignage de résilience.

Mon histoire

Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »

Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »

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Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»

Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.

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Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"

Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.

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Maria Angeles, Espagne: "Je regarde un peu en arrière et je vois que j'ai une vie bien remplie "

Mª Angeles a connu l'Opus Dei par hasard, lorsqu'un professeur de son lycée lui a parlé de la possibilité de vivre dans un Centre d'étude et de travail (CET). Elle y a surtout appris trois choses : « D'abord, à concilier études et travail, à mieux utiliser mon temps, car à la maison, je ne faisais pas grand chose. Ensuite, cela m'a aidée à connaître la vie chrétienne, vécue de manière cohérente. Et la troisième chose, qui a favorisé plus tard la découverte de ma vocation, connaître l'Opus Dei de l'intérieur

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Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."

Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.

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Ale, Bolivie : « J'ai pensé à ces moments où j'avais été heureuse, et je me suis souvenue de mes années à l'Opus Dei. »

Ale est une Bolivienne, mère de deux enfants, psychothérapeute et médecin. Elle a consacré une grande partie de sa vie au service social. Inspirée par l'enseignement de saint Josemaría, elle a compris que la pauvreté n'est pas seulement matérielle, mais aussi un manque d'amour et de Dieu. Avec son mari, elle a choisi de se consacrer à la réhabilitation sociale. À la mort de celui-ci dans un accident, elle a compris qu'elle devait poursuivre, soutenue par sa foi.

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Mónica, Bolivie : « Chaque changement dans la vie est une nouvelle opportunité de grandir. »

Mónica, née à Cochabamba, vient d'une famille aux origines diverses. Après des études en ingénierie agronomique à Buenos Aires, elle a poursuivi en philosophie et enseignement. Elle s'est consacrée à des projets de développement et à l'enseignement, en mettant l'accent sur sa spécialité : « le changement », car sa vie a été marquée par diverses opportunités et évolutions professionnelles.

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