Les Témoignages les plus lus en 2009
Les témoignages écrits ou vidéos de l’année 2009 qui, chaque mois, vous ont le plus marqués.
« Consacrer une année au sacerdoce n’est pas une mesure superflue ! »
L'abbé Petit, prêtre de l'Opus Dei, est l'official du tribunal écclésiastique de Marseille. Il nous livre son point de vue concernant l'année sacerdotale.
Mes enfants vont au Club
Armelle et Bertrand ont 4 garçons. Tous les deux sont membres de l’Opus Dei depuis plus de 20 ans. Trois de leurs garçons fréquentent les activités d’un club dont l’aumônerie est assurée par l’Opus Dei.
Aurélie à Jérusalem
Aurélie, mariée et mère de deux enfants, est membre de l’Opus Dei. Elle revient à Paris après trois années passées à Jérusalem.
Devenir Kazakhe
Claudia Valbuena n'avait jamais imaginé qu'elle puisse vivre si loin de son Chili natal. Il y a plus de dix ans, elle est arrivé au Kazakhstan pour commencer le travail apostolique de l'Opus Dei. "S'habituer à l'endroit" a été un long processus. Elle habite et travaille maintenant à Almaty
J’en ai rêvé, Dieu l’a fait... en mieux
Patrice, ingénieur informaticien, a connu l'Opus Dei en 1989. Près de 20 ans plus tard, il l'a redécouvert, et s'est senti appelé à en faire partie
Au travail de jour comme de nuit
Comment mettre Dieu dans son travail (parfois nocturne), avec ses collègues et dans sa famille ? Hélène, mère de 3 enfants et coopératrice de l'Opus Dei, répond à nos questions.
"Vivre en se serrant plus ou moins la ceinture"
Père de cinq enfants, Pablo travaille dans l’administration publique. Ses enfants sont encore jeunes et leur éducation est son principal souci. Ils doivent apprendre à gérer leur liberté de manière responsable, à réussir et à se tromper
Elle travaille pour la femme en Inde
Fatima Villanueva nous décrit l’aventure dans laquelle elle s’est embarquée il y a trois ans : Kamalini, un centre de formation pour la femme en Inde, à New Delhi.
« En Chine, j’ai vu une église persécutée et une piété à l’état pur ».
« Seigneur si tu veux que je parte en Chine, donne-moi un signe » demanda le prêtre Esteban Aranaz. En sortant de l’église, une religieuse orientale s’approcha de lui : « Bonjour, mon père. Auriez-vous la bonté de prier pour la Chine, mon pays ? »